• Zwicker Daniel

     

     
     
     


    Eglise St. Bartholomé

    Zwicker Daniel

     

    Zwicker Daniel est né à Dantzic, le 22 janvier 1612. Il était le fils de Frédéric Zwicker, Ministre de l'église de St. Bartholomé à Dantzic, et fut éduqué pour un métier dans le médical à Königsberg, où, en temps voulu, il eut son diplôme de Docteur. Il entra à l'université de Königsberg, le 8 juin 1629, et souscrivit au serment académique habituel le 30 juillet 1630, pendant que Reimer était Recteur et tint une discussion publique sur l'anatomie le 27 octobre 1634, dont Daniel Bekher, Licencié et Professeur de Médecine, présidait sur celle-ci. Son assiduité dans ses poursuites littéraires et scientifiques, pour lesquelles il s'appliqua largement, ayant un esprit de recherche et  possédant de bonnes dispositions naturelles, il ne s'autorisait pas facilement de changer d'orientation pour ses recherches quant à la vérité. Le cultivé Jean Fabricius parla de lui comme d'un homme de piété et d'intégrité, et bien qu'une personne qui errait, il ne l'aurait jamais fait si obstinément.

    C'est au-delà du doute, que Florian Cricius fut le premier à faire adopter les principes unitariens dans l'esprit de Daniel Zwicker, et Hartknoch dit, que Frédéric Zwicker, le frère aîné de Daniel, succéda à son père comme Ministre de l'église de St. Bartholomé, et dans laquelle maison Daniel résida, usant de sa  plus grande influence pour le ramener aux principes de sa naissance. Mais bien que Battsaccus et d'autres éminents Théologiens de la ville de Dantzig combinèrent leurs efforts avec ceux de son frère clérical, leurs arguments restèrent vains, et comme c'était l'occasion pour davantage de controverses, par sa conversation et ses écrits publiés, il fut appelé à quitter la ville sur un ordre des Magistrats, et il alla en Pologne. Ici, à l'assemblée de Siedliski, dans l'année 1643, il était présent avec Hesychius, après quoi il résida un certain temps à Strassin, prêt de Danzic, et alors partit en Moravie. Un récit particulier de la manière avec laquelle il s'employa lui-même, durant son séjour dans ce pays, peut être vu dans une lettre, qu'il adressa à Ruarus, le 18 juillet 1654, et laquelle est insérée dans le Premier Siècle des lettres de Ruarus (N°.70). Il fut d'accord avec les Frères moraves pour défendre une communauté de biens, et recommanda l'adoption de sa pratique à l'ensemble du monde chrétien. Retournant de Moravie avant la fin de l'année 1654, il prit de nouveau son domicile au village de Strassin, où il apparaît qu'il y habita plus de trois années.  En 1657, il alla aux Pays Bas, et ensuite divagua et dépérit pendant plusieurs années dans ce pays, et mourut à Amsterdam, le 10 novembre 1678, dans sa soixante septième année, laissant derrière lui une grande famille de jeunes enfants, avec de très faibles ressources. Il dit à Fabricius, dans l'année 1670, qu'il avait, avec répétitions, expérimenté la pleine providence de Dieu, au cours de sa vie. Alors à un moment, il dit, qu'un certain jour, pour lequel il n'avait pas le moindre possibilité de se procurer les moyens de subsistances, et que sa femme était conduite par la verge du désespoir, il pria Dieu avec grande ferveur, et exigea qu'elle fasse de même, et leurs prières ne restèrent pas sans réponses, un messager arriva avant le crépuscule, lui amenant, d'un certain ami inconnu, une bourse contenant une centaine de florins hollandais. Il dit aussi, qu'il avait été appelé devant les Magistrats pour différentes occasions, qui lui ordonnaient de quitter la ville, sur le compte de sa religion, mais il y a toujours eu une personne d'autorité, qui, en considération de son âge et de ses scrupuleux accomplissements des devoirs conférés sur lui comme citoyen, qui étendit sur lui le bouclier de sa protection, et inversait la sentence fatale.

    Comenuis dédicaça pour Zwicker, le 3 février 1661, une nouvelle édition de la "Théologie Naturelle" de Raymond Sebond, à la base publiée à Venise en 1581, et le recommanda à son attention, comme un livre d'un grand mérite.

    Jean Adrian Osiander, faisant allusion aux idées religieuses de Zwicker, dit, qu'il se disait pour ne pas être un luthérien ni un calviniste ni un remonstrant, ni même un socinien, ou encore un mennonite, et qu'il ne suivait aucune des sectes de son époque et ne communiait avec aucune. Il est certain, cependant, qu'il était antitrinitaire, et le premier et le plus distingué des écrivains unitariens qui tombèrent sous les réprimandes de l'Evêque Bull. Le biographe de ce prélat, (Robert Nelson,) donne le compte suivant de Zwicker et de ses opinions.   

    "Il était avant Sandius, et Sandius et M. Gilbert Clerke avaient seulement copiés dans la manière d'après cette enseigné Dantzicker, ainsi le reste fit aussi, qui s'étaient engagés de ce côté de la controverse. Quand il avait entre trente et quarante ans, il se mit à examiner les prétentions de plusieurs religions, professées par ceux auprès de qui il vivait : et quand il arriva à l'âge de trente sept ans, il écrivit et imprima une discussion par moyen de questions. 'Un homme chrétien est-il toujours obligé d'apprendre et de se poser des questions ? Et à environ la moitié d'une année après ceci, une discussion qu'il appela, 'Une courte et vraie démonstration, où et quand les Saintes Ecritures sont convenables, et où elles sont figurativement expliquées et comprise'. Ces deux furent publiées par lui en hollandais supérieur, sa langue native, avec 'Droit et confession des chrétiens zélés'. Et quand il arriva dans les environs de quarante ans, il publia, dans la même langue, 'Un récit historique des motifs d'abandon de ses opinions dans lesquelles il avait été d'abord éduquées', car il avait été élevé comme luthérien. Mais pour son changement de religion, étant obligé de quitter son propre pays, il se retira aux Pays Bas pour sa sécurité et sa pratique, où il connut Curcellaeus : et ici, il est ajouté à son célèbre 'Quaternio,' une discussion de ce même Zwicker, mais sans son nom, contre Maresuis, le grand ennemi de Curcellaeus et de Blondel. Le titre de celui-ci, 'Judicium de Johanna Papissa contra Maresium,' dans lequel il découvrait un grand fond de l'enseignement ecclésiastique, avec une sagacité et  une pénétration de jugement requises pour faire une bonne critique. A ce moment ou dans les environs de cette même période, il imprima à Amsterdam son 'Irenicum Irenicorum, ' etc., ou 'La triple règle pour le réconciliateur des chrétiens modernes', la première de celle-ci fut établie pour être la raison universelle de l'humanité, la seconde, les écritures sacrées et la troisième, la tradition catholique, ou témoignages des écrivains ecclésiastiques approuvés. Ceci fit le plus grand bruit de tous ses écrits, qui étaient nombreux, et qui amena de nombreuses réponses d'hommes cultivés. Il fut publié sans nom : et l'auteur qui était caché pouvait ne pas être découvert, mais Sandius, qui le connaissait personnellement, et un privé dans le secret, décida que le monde connaisse ces nouvelles pièces, dès qu'il serait possible qu'elles soient données sans aucun danger. Le bon Comenius, le dernier Evêque de Bohème, était malheureusement engagé avec le Dr. Zwicker dans cette controverse, par lequel la cause ne devait pas souffrir qu'un peu. Zwicker fit un triomphe impitoyable sur l'honnête ancien Prélat, sous le nom de 'Irenico-mastix.' Il n'y a pas moins que trois sévères revendications pour ce Irenicum, successivement mises en avant par lui, contre les attaques de Comenius, Hoornbechius et autres. Ainsi, ici il courait toujours une solide confusion pour ce livre, qui avait perverti beaucoup, et continuait toujours de faire du dégât, ses arguments étant traduits aussi et récemment mis dans notre propre langue, que l'infection de celui-ci pouvait se répandre ici, pour laquelle, le Dr. Bull entreprit ce travail, et s'en acquitta lui-même, à la satisfaction de tous ceux qui étaient capables de peser sans préjudice ce qu'il avait écrit. Ce Dr. Zwicker avait publié plusieurs autres livres, en latin et en hollandais inférieur et supérieur, sur des sujets variés, mais principalement pour la défense des unitariens. Il mourut à Amsterdam dans l'année 1678, âgé de soixante six ans et dix mois. Maintenant parlons un peu de ses sentiments, particulièrement de son Irenicum. 

    Il prétendit, que la simplicité de l'Evangile du Christ, comme on le croyait parmi les anciens nazaréens, fut d'abord corrompue par Simon Magus et ses disciples : que les plus primitifs chrétiens, juifs et gentils, croyaient en Dieu le Père, comme dans le seul vrai Dieu, et ne reconnaissaient pas à Jésus Christ n'importe quelle autre capacité que  son humaine création, jusqu'à ce que le platonisme et le gnosticisme entrent dans l'Eglise : Que les disciples de ce Simon ont d'abord interpolé et changé la doctrine entendue au sujet de Dieu et du Christ, qui avait été prêchée par les apôtres de notre Seigneur, et introduirent un autre Christ, qui préexista et était distinct de celui qui est né de la Vierge Marie : Que la formation éternelle et divine de la Parole n'était pas mieux qu'un rêve des Simoniens, destructive des notions communes pour l'humanité, et de la vérité de l'Evangile, alors construite sur cet Homme que Dieu avait oint et présenté pour être un Sauveur : Que le début, pour le moins, de l'évangile attribué à St Jean, n'a jamais été écrit par cet apôtre, mais par certains hérétiques en dehors de l'école de Simon : Que les mêmes hérétiques simoniens avaient interdits certains versés sous le nom de Orphée, et faisant mention de la Voie ou la Parole du Père engendrée par lui avant que le monde soit créé, et qu'il consulta dans la création en conséquence, et que Justin Martyr, y étant imposé par ces prétendus versets Orphiques, comme s'ils avaient vraiment été composés par Orphée lui-même, et par lui venaient de Moïse, d'où il prit son opinion pour la formation du Christ de Dieu le Père, avant les fondations du monde, comme l'esprit, la voix, la raison du Père, pour que finalement le monde par son esprit engendré ou voix puisse venir, et que ce divin rejeton puisse descendre pour converser parmi les hommes et puisse après longtemps devenir lui aussi un Homme : Que par ailleurs la première perversion de l'Evangile par la magie simonienne, et par la contrefaçon de l'orphisme et des oracles sibylles, là il y avait plusieurs autres raisons qui concouraient, pour induire Justin et ses disciples à embrasser aussi facilement l'opinion de la préexistence du Christ et sa formation avant tous les mondes, telle la connaissance et l'affection de Justin pour la philosophie platonique, la mémoire du paganisme pas encore détruite, certaines traces particulières dans les esprits des gentils convertis et les préjudices en faveur du schéma communément reçu, pour une pluralité de dieux pas véritablement éteinte, et l'ordinaire coutume de déifier grandement et extraordinairement les personnes, et une sorte de répugnance en tout, pour l'adoration de quelqu'un qui n'est pas plus qu'un homme. En tout, il conclut, que la préexistence et la divine formation de notre Sauveur étaient inconnues des apôtres, et qu'elles étaient des idées qui venaient de Simon Magus, mais devaient leurs croissance et établissement des philosophes païens qui embrassèrent la religion chrétienne, et mélangèrent leur philosophie avec elle, et cependant il travailla à exposer au plus grand mépris, le grand homme de ce temps parmi les gentils convertis au christianisme, et un, qui en raison qu'il avait servi deux fois pour stopper la furie des deux persécutions, par deux célèbres apologies qu'il avait écrites au nom des chrétiens, et pour représenter cette même personne, qui avait eu une si grande importance parmi les chrétiens primitifs et les martyrs, et qui vivaient en communion avec les disciples des apôtres, comme la principale corruption du christianisme, et  celui qui introduisit un nouveau Christ et un nouvel évangile, en raison qu'il avait parlé si pleinement de la préexistence et de la divinité du Christ : néanmoins, il avait été suivi par l'auteur du 'Jugement pour les Pères touchant la Trinité', qui avait pris son frisson des flèches qui avait tuées la personne et la doctrine de ce martyr béni, et pour plusieurs autres, qu'il avait écrit en défense des anciens hérétiques et hérésies, ainsi de renverser la 'Défense de la Foi Nicéenne', et l'autorité de ses témoins anti-nicéens". (La vie du Dr. Georges Bull, dernier Seigneur Evêque de St. David, etc., par Robert Nelson, Esq., Sect. LXIX).  

    Ce fut probablement cette dernière remarque, qui amena le Dr. Horsley, quand l'Archidiacre de St. Alban accusa le Dr. Priesley d'avoir emprunté de Zwicker les arguments, par lesquels il essayait de prouver, que la doctrine des premières croyances en Christ était unitarienne. "Notre historien moderne", dit l'Archidiacre, dans sa célèbre accusation, "avait produit peu, si non rien, des arguments, qui étaient directement pour ce but, qui soient trouvés dans les écrits de Zwicker ou bien d'Episcopius. Pas un simple argument peut être trouvé dans les écrits soit de Zwicker ou Episcopius, qui soit resté sans réponse et rendu confus par notre enseigné Dr. Georges Bull, après Seigneur Evêque de St. David". (Tracts de Horsley dans la controverse avec Priestley, p. 10). En faisant ces affirmations le Dr. Horsley était singulièrement infortuné, particulièrement en ce qui concerne Zwicker, car le Dr. Priesley était  totalement ignorant des œuvres, et même du nom de cette écrivain, et S. Crellius avait montré que l'Evêque Bull lui-même, ayant lu seulement le "Irenicum Irenicorum", et non les trois défenses de ce travail, était souvent porté à censurer Zwicker avec des erreurs et un fond insuffisant. Mais ce qui tendait toujours à plus émousser l'œuf de l'accusation du Dr. Horsley, est la circonstance, (laquelle transpira accidentellement durant la controverse), que sa propre connaissance des écrits de Zwicker venait des critiques de l'Evêque Bull, et il n'avait même jamais vu une copie de l"Irenicum". 

    Il avait joint une liste des écrits de Zwicker, d'abord formée pas Sandius, puis élargie pas Bock. 

    1. La question, Si un homme chrétien est toujours obligé d'apprendre et de questionner ? 1649, 4to. Allem. 

    2. Une courte et vraie démonstration quand et où l'Ecriture devrait être littéralement ou figurativement expliquée et comprise. 1650, 4to. Allem. Celui-ci fut aussi publié en hollandais, 1678. 

    3. Droits et confession de chrétiens zélés. 1650, 8 vo. Allem. 

    4. Compte historique de D.D.Z (Dr. Dan Zwicker) Abandon de sa première opinion. 1651. Allem. 

    5. Sur le danger même, et par aucun moyen l'Etat Chrétien pour toutes possibilités de faire une sorte de secte. Zwicker fait allusion à ces écrits dans une lettre pour Ruarus, datée en 1654. (Cent i. N. 70). 

    6. Une révélation du vrai catholicisme, qui est un solide jugement de la plus pacifique et certaine doctrine des chrétiens, dans laquelle il rend manifeste la fragilité de ceux qui sont opposés aux monarchiens (ou unitariens). 1655. Allem. Une traduction en hollandais de cette parution en 4 to., avec une préface par Adrian Swartepaard, datée en 1678 à Amsterdam, 4 to. 

    7. Quelques remarquables spécimens de malheureuses contestations du Dr. Abraham Calovius, dans une naturelle et révélée religion, entreprenant contre le livre de Jean Crellius et Franck, concernant le Dieu Un le Père (sous le nom de A. Etudient de la littérature sacrée). Amst. 1650. 4 to. 

    8. Irenicium Irenicorum : ou le triple droit du réconciliateur des chrétiens modernes, nommément, la raison entendue de l'humanité, Ecriture sacrée, et tradition. Amst. 1658. Des réponses à ce travail furent publiées par Comenius, Maukischius, et le Dr. Bull, et pour sa première section par Jean Paul Fehvinger.  

    9. Jugement concernant "Pape Jean rétabli" de Maresius. Celui-ci était placé dans les mains de Stéphen Curcelleaus en 1658, et ajouté pour son "Quatre éléments de dissertations contre Maresius". 

    10. L'Eglise visible du Christ se tient toujours et triomphe contre les Portes de l'Enfer, etc. Amst. 1660, 4to. Belg. 

    11. Irenico-Mastyx (Pt. i.) : ou, une nouvelle confirmation de l'Infaillibilité pour le "Irenicum Irenicorum," par une exposition de la futilité de la réfutation accusatrice de Comenius. Amst. 1661, 8 vo. Comenius répondit à celui-ci dans le cours de la même année. 

    12. Vereenings-Schrift der Christenen, etc. 1661, 4to. Une version de celui-ci, de l'hollandais en latin, fut publiée en 1662, 8 vo., à laquelle fut fixé le titre suivant. "Henoticum Christianorum, seu Disputationis Mini Celsi Senensis : Quatenus in Haereticis coërcendis progredi liceat? Lemmata potissima, etc. Amst. 1662", 8 vo.  

    13. Irenico-Mastyx (Pt. Ii. : ou, un nouveau et mémorable exemple da la plus malheureuse attaque de Jean Amos Comenius sur l'auteur du "Irenicum Irenicorum". 1662, 8 vo. Celui-ci était une brève réponse de l'attaque de Comenius sur N°11. Cet auteur se défend dans "Une troisième réprimande contre Zwicker, etc., Amst. 1662,8vo" qui était immédiatement suivie, de la part de Zwicker. 

    14. Irenico-Mastygis Pars Specialis : ou, une confusion finale de Comenius, Hoornbeek, Marenius et autres. 1662, 8 vo. Mais la date dans la page du titre était 1667, qui apparaît pour être une erreur typographique. 

    15. Brèves notes sur les deux discussions de Maukischius, Professeur à Dantzic, -un contre "Remarquables spécimens pour la malheureuse attaque de Colovius sur Crellius", et l'autre contre "La révélation du catholicisme vrai. Amst. 1664". Ces notes étaient transmises par l'auteur à son frère, Frederick Zwicker, de Dantzic, de qui Maukischius les recevait en manuscrit, avec une demande qu'il souhaitait les réfuter. 

    16. "Contraignez-les pour qu'ils rentrent" : ou sur l'opposition qui est montrée aux Eglises, et dont il les réforma aussi. 1666, 4 to. 

    17. Contre Joachim Stegmann, fils, sur la magistrature, la guerre, etc. 

    18. L'ancienne Eglise désarmée affirme encore correctement après le Lapse de si nombreux siècle : ou, la dernière réponse d'une anonyme annotation pour la trentième collection d'un collecteur, anonyme lui aussi, concernant la magistrature, la force physique, la peine capitale et les guerres chrétiennes légales. 1666, 4 to. Une traduction hollandaise de celui-ci apparue en 1668, 4 to. 

    19. Une preuve évidente que I Cor: XIV fut mal expliqué même pour ces jours par les avocats de la liberté de parler. Amst. 1668 et 1680. Editée par David Ruarus.  4to. Belg.  

    20. La liberté des églises rassemblées fermement démontrée dans l'Ecriture, et merveilleux exemples de la divine providence dans ces dernières trois cent années. 1668, 4 to. Belg. 

    21. L'avocat non apostolique de la liberté de parler dans l'église évanescente. 1666. Belg. 

    22. Le Josias du Nouveau Testament. 1670, 4to. Belg. Dans la même année, une version latine de celui-ci apparue sous le titre, "Novi Foederis Josias". 4 to. 

    23. Un argument contre la préexistence des âmes humaines : inséré, avec une réponse, par Christopher Sandius Junior, dans son Traité "Sur l'origine de l'âme. 1670", 8 vo. 

    24. Réfutation de la réponse de Christopher Sandius pour le précité argument. MS. 

    25. La révélation pour la démonologie parmi les chrétiens : ou, la victoire des protestants. 1672, 4 to. C'était traduit en hollandais. 

    26. La révélation des ennemis de la croix du Christ : ou, les actes d'une conférence avec quatre amis sur le Magistrat, s'il peut porter la croix du Christ ? Etc. 1672, 4 to. Belg.  

    27. Seconde partie de la révélation de la démonologie parmi les chrétiens : ou, une lettre pour Cornelius Häzart, le jésuite. 1675; 4 to. Lat. 

    28. Un lettre pour Martin Ruarus concernant les Frères Moraves, datée le 18 juillet 1654 à Dantzic, et inséré dans le premier siècle des épîtres de Ruarus. 

    29. Autre lettre pour Marin Ruarus sur la Parole "Aula," sur les Frères moraves, sur une communauté de biens, et sur une pauvreté chrétienne, datée le 20 août 1654 à Dantzic, et formant le N° 73 du premier siècle des épîtres de Ruarus. 

    30. Trois lettres : la première de Daniel Zwicler pour Jean Van Kuyck, la seconde, de Van Kuyck, en réponse à la précédente, et la troisième, de Zwicker en réponse, pour laquelle il n'y a pas eu de réponse. Amst. 1678, 4to. Belg. Ces lettres sont sur l'argument contre la suprême déité de Jésus Christ de Jean XVII: 3, et y sont insérées par une préface de la plume de Adrian Swartepaard.

    31. Trente et un droits fondamentaux, par lesquels la totalité de l'Ecriture peut être expliquée et comprise. Amst. 1678, 4to. Belg. Ce papier fut annexé à une version hollandaise pour le tract "Sur la révélation du catholicisme vrai." Il semble répondre au N°2, avec lequel il est possible de l'identifier. 

    32. Une réponse aux théologiens de Wittenberg "Réfutation du catéchisme de Rakow". Allem. 

    33. Brèves mais amples annotations pour tester un court mais formel discours de Jean Paul Felwinger, publiées à Nuremberg, en 1637. MS.

    34. Le miroir des chrétiens et non chrétiens : ou, une solide réponse pour la question, Qui ne sera pas sauvé, et qui sera condamné? –duquel, il apparaît, que pas un homme parmi un millier n'atteindra le salut. Allem. MS. 

    35. Sur la nature du Fils de Dieu. Allem. MS. 

    36. Le mystère de la Trinité expliqué et rendu manifeste : ou, l'élévation et progrès de l'opinion concernant la Trinité ? Allem. et latin. MS. 

    37. Sur la vérité de la religion chrétienne. MS. 

    38. Pauvreté chrétienne révisé. Allem. A ceci est ajouté, dans le même langage, le consentement des enseignants de l'Eglise primitive, appelés Pères, comme pour l'illégalité des chrétiens possédant des richesses. MS. 

    39. Le dernier triomphe : ou un avertissement pour toutes les sectes,- pour, catholiques, grecs, luthériens, la Réformée, remonstrants, collegiants, quakers, mennonites, et monarchiens, ou Frères Polonais, qu'ils doivent amander leurs doctrines et leurs vies, s'ils veulent être sauvés. Belg. MS.  

    40. Une lettre pour son frère, Frédéric Zwicker, écrite à Dantzic, le 20 août 1662. Allem. 

    41. Autre lettre pour son frère, datée du 22 juillet 1662, Amsterdam. Allem.  

    42. Une comparaison pour les sept sectes principales des jours présents parmi les chrétiens, pour quels articles de foi ils s'accordent, et pour lesquels ils différent. Belg. MS. 

    43. La simple, et ancienne confession apostolique concernant le Fils de Dieu. MS. 

    44. Remarquables évènements sur la fondation du monde. MS. 

    45. Annotations pour le traité sur le manger du sang. MS.  

    46. Réfutation d'un traité de Valentin Smalcius, écrite par lui contre les Huttériens, ou communistes moraves. Allem. MS; 

    47. Objections contre Samuel Przipcovius, concernant le magistrat, etc. MS. 

    48. Contre André Wissowatius, "Sur la prescience de Dieu selon les futures contingences." 

    49. Réprimandes sur "Histoire ecclésiastique" de Sandius pour les ariens. MS. 

    50. Poursuite de "la révélation de démonologie." MS. 

    51. Une réponse pour un papier de Frédéric Sylvius, intitulé, "Une discussion épistolaire, adressée à Daniel Zwicker, champion dans le jour présent pour la doctrine socinienne, respectant la personne du Christ," Etc. MS.  

    52. Contre le même Frédéric Sylvius, "sur l'autorité de l'Eglise dans ces périodes." MS. 

    53. Contre le "Concernant la Trinité" de Jean Sylvius. MS. 

    54. Une lettre pour J.L. Wolzogenius. MS. 

    55. Manuscrits sur divers sujets, incluant des lettres d'autres correspondants. Ici la liste terminée de Sandius pour les travaux de Zwicker, mais Bock ajoute les deux suivants.

    56. Vertooninghe van de algemeene Vryheid van Spreeken in de Gemeende, Amst. 1680, 4to., qui, ensemble avec le N°21, était formellement en librairie de P.E. Jablonski. 

    57. Tratatus Tractatuum, pour lequel Val. Velthemius, fait référence dans son "Instutiones Metaph". p. 140.

     

    (Vidend. Sandii B. A. pp. 151—156. Bock, Hist . Ant . T.I. pp. 1045—1069. Ruari Epp. Cent. i. N. 70—74. Bp. Butts Primitiva et Apostolica Traditio Dogmatis in Eccles. Cathol. recepti, de Jesu Christi Divinitate, contra Dan. Zuickerum, &c. Lond. 1703, Fol. Controversy between Hartley and Priestley. Life of Bull, by Robert Nelson, Esq., 2nd Ed. Lond. 1714, Sect . lxix. pp. 391—397.) 

     

     
     Didier Le Roux
     
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