• Locke John

     

     
     


    John Locke

    Locke John

      

    Locke John est né à Wrington, dans le pays de Somerset, le 20 août 1632, et fut éduqué par son père jusqu'à ce qu'il aille à l'école de Westminster, où il fut l'élève du célèbre Dr. Buary. Il fut admis comme étudiant à l'église du Christ d'Oxford, en 1651, et reçut son diplôme de bachelier en 1655, et son Master en 1658. Sur l'autorité de M. Tyrrell, historien, il est dit, qu'il était considéré comme le plus ingénieux jeune homme dans le collège : mais il regretta d’avoir été envoyé par son père à Oxford, et il se plaignit, que la seule philosophie enseignée durant sa résidence était celle de "la Péripathétique (de Pérée), perplexe avec d'obscures termes, et bourrée de questions inutiles". Il était à la base destiné à une profession dans le médical, mais semble, par quelques expressions qu'il lança au cours de sa correspondance avec des amis intimes, pour tenir les médecins et leur empire, dans tous les degrés du mépris. Il continua ses études médicales jusqu'en 1664, et occasionnellement pratiqua à Oxford, mais très rapidement dans sa carrière en tant que médecin, il laissa la profession avec dégoût. L'année lors de laquelle il stoppa ses études, il alla en Allemagne, comme Secrétaire de l'Envoyé British à la Cour de l’Électeur de Brandebourg, mais revint après quelques mois, stoppa ses études à Oxford et prit une attention particulière pour la philosophie naturelle. En 1666, le Seigneur Ashley, le consulta comme Médecin, l'invitant à résider dans sa famille, et lui exhorta de s'appliquer à l'étude des Politiques et Métaphysiques. La première entreprise dans laquelle son patron l'incita à s'engager, était, de dresser un code de loi pour l’État de Caroline. En 1668, il quitta la famille du Seigneur Ashley, et accompagna le Comte et la Comtesse de Northumberland pour Paris, mais le Comte mourut en 1670. M. Locke retourna en Angleterre, et devint à nouveau un proche de la famille du Seigneur Askley. Dans le cours de cette année, il fut élu Membre de la Société Royale, qu'il avait récemment incorporée, et c'était dans les environs de cette époque aussi, qu'il conçut la première fois le plan de son célèbre "Essais sur la compréhension humaine". En 1672, le Seigneur Ashley, qui avait été mis Comte de Shafterbury, et élevé à la haute fonction de Seigneur Chancelier, nomma M. Locke Secrétaire des Présentations, mais ce dernier perdit cette situation dans l'année suivante sur le renvoi du Seigneur Chancelier de sa fonction. Peu de temps après ceci, il obtint l'appointement de Secrétaire pour la Chambre de Commerce, avec un salaire de cinq cent pounds par annuité, mais la commission étant dissoute en 1674, il fut de nouveau sans aucun emploi public. Dans l'année suivante, ayant été admis Bachelier en Médecine à Oxford, il alla à Montpellier pour le bénéfice de sa santé, et, alors ici, il se voua à ses poursuites médicales et à la composition de son Essais au-dessus mentionné. De Montpellier, il retourna à Paris, et fit connaissance avec le célèbre théologien protestant, M. Jurieu, à laquelle maison il vit d'abord le Dr. Guenelon, un Médecin d'Amsterdam et M. Toignard, le grand Médaillé, et auteur d'une Harmonie des Évangiles en Grec et Latin. Durant cette absence d'Angleterre, il y a avait un poste vacant qui se proposa, et il annonça son attention de proposer sa candidature pour le Professorat de Médecine dans le Collège Gresham. A Paris, en 1677, il s'occupa de la Comtesse de Northumberland en qualité de Médecin, et réussit à traiter son désordre. Il resta à l'étranger jusqu'en 1679, quand son patron, le Comte de Shaftersbury, qui avait été nommé Président du Conseil, l'incita à retourner en Angleterre. Le Comte, cependant, en six mois se retrouva en disgrâce et emprisonné, et en novembre 1682, il s'évada pour les Pays Bas, où M. Locke, pas moins fidèle à lui dans l'adversité que dans la prospérité, le suivit, et où il resta jusqu'à la mort de son Seigneur, qui survint dans le mois de janvier 1683. Sa liaison avec le Comte de Shaftesbury l'avait rendu infecte pour le gouvernement de son pays, et en novembre 1684, il fut privé, par mandat royal, de sa place d'étudiant de l’Église du Christ, qu'il avait jusqu'alors tenue, pensant qu'elle pourrait dans une période future lui offrir une honorable retraite des embûches et soucis de la vie publique.

    Pour l'accession de Jacques le Second, William Penn offrit d'utiliser son intérêt à la Cour, en procurant un pardon pour M. Locke, mais cette offre fut même déclinée par le dernier, qui dit, qu'il était conscient d'aucun crime, et cependant se tenait dans aucun besoin de pardon. En mai 1685, il fut accusé par l'Envoyé Anglais devant les États Généraux, et sa personne fut réclamée, sur l'accusation d'avoir fait une correspondance de trahison en faveur de l'invasion de Monmouth. Maintenant il trouva nécessaire de se cacher et de vouer tout son temps à suivre la littérature. Ce fut durant sa résidence aux Pays Bas, qu'il commença sa carrière comme auteur, ce qu'il fit en publiant sa première "lettre sur la Tolérance", en latin. Celle-ci produisit une grande sensation et fut depuis traduite en anglais, aussi bien en hollandais qu'en français. Aux Pays Bas, M. Locke forma plusieurs bonnes liaisons, mais pas une semble ne avoir été aussi proche qu'avec Philippe van Limborch, grand-neveu de Episcopius, et Professeur de Théologie dans l'université de Leyden, avec qui il garda une correspondance épistolaire durant le reste de sa vie. Cette correspondance commença dans l'année 1685, et fut débutée par M. Locke, lequel, après s'être caché deux ou trois mois à Amsterdam, dans la maison d'un M. Veen, beau-père du Dr. Guenclon, se retira à Clèves, une ville sur le Rhin, de laquelle il écrivit à Limborch, le 28 septembre 1685, le remerciant pour ses divers actes de bontés, et le requérant de communiquer à d'autres amis des expressions de gratitude pour des faveurs passées. La dernière lettre de cette correspondance, aussi bien la première, étaient de la plume de M. Locke, et datée du 4 août 1704. En moins de trois mois après cette période, (le 28 octobre), M. Locke décéda dans la soixante treizième année de son âge.

    La vie de cet illustre philosophe, après la révolution de 1688, fut d'une incomparable facilité et tranquillité, et se passa principalement dans la société de ses amis, Sir Francis Masham, et sa femme, à Oates dans l'Essex. Comme il n'était plus nécessaire pour lui de rester en tant qu’étranger, après le grand changement politique qui prit place dans cette année, il retourna en Angleterre, où il arriva par la même flotte qui avait emmené le Prince d'Orange. Il n'était pas depuis longtemps dans son pays natif, qu’avant qu'une offre lui soit faite par un Ambassadeur de la Cour d'Allemagne : mais cette offre il l'a déclina respectueusement. Il fut incité, cependant, d'accepter la fonction de Commissaire des Appels, pour deux cent par an, et en 1695 il fut nommé au poste plus lucratif de Commissaire de Commerce et des Plantations. Mais il arrêta cette dernière fonction au bout d'environ cinq ans, sur le compte de sa santé précaire, qui ne lui permettait plus de respirer l'air de la ville en sécurité.

    Il y a une tradition, que les termes de l'Acte de Tolérance étaient négociés par M. Locke, et le fait est à un certain degré confirmé, par une explication dans une de ses lettres à Limborch. Mais nous savons, de la même autorité, qu'il n'était pas satisfait avec toutes ses dispositions, et particulièrement avec celle, qui excluait de son fonctionnement ceux qui niaient ou contestaient la doctrine de la Trinité.

    Peu de temps après son retour pour l'Angleterre, il publia son célèbre "Essais sur la compréhension humaine". Pendant qu'il était à l'extérieur pour environ quatre années, il commença à exciter l'attention à Oxford, après quoi son succès fut très considérable, comme il est attesté par plusieurs éditions de celui-ci qui furent publiées durant la vie de l'auteur, et traduites en français par M. Coste. Cela portait sur les controverses religieuses pour le jour maintenant devenu perceptible. Toland, dans son "Le Christianisme n'est pas un mystère", qui fut imprimé en 1696, tenta de prouver, qu'ici il n'y a rien dans la religion chrétienne contraire à la raison, ou au dessus d'elle, et en déroulant ses vues, il fit un copieux usage de l'Essai de Locke. Mêmes les auteurs des anciens papiers unitariens, alors en cours de publication, ne furent pas lents à saisir le fond avantageux qu'ils donneraient contre leurs adversaires. Le Dr. Stillingfleet, Évêque de Worcester, en défendant la doctrine de la Trinité contre Toland et les unitariens dénonça certains des principes comme hérétiques, et classa ses travaux avec les leurs. Les propres défenses de M. Locke démontraient une grande habileté, la clarté et la précision avec lesquelles il déployait ses propres vues, et confondait celles de ses opposants, dont il a été dit qu'elles rongèrent l'esprit de l'évêque, autant pour précipiter sa mort. Le Clerc observe, que jamais de controverse n’avait été conduite d'une main si habile, ou, avec l'autre, avec autant de mauvaises compréhensions, confusions et ignorances. Dans une lettre, adressée par M. Locke pour sa relation, M. King, et écrite durant la controverse, il exprima ainsi son mépris pour les tactiques de l’Évêque. "L’Évêque doit prouver que mon livre a quelque chose en lui qui est contradictoire avec la doctrine de la Trinité, et pour tout l'examen qu'il fait dessus, c'est pour me demander, si je crois en la doctrine de la Trinité ? – une digne preuve!" La simplicité de la Seigneurie, s'efforçant de piéger une si subtile personne de raison comme M. Locke ne le pouvait pas mais excitait l'étonnement de tous, dont on savait combien était haute la réputation du distingué Prélat qu'il avait acquise par ses précédents écrits, et particulièrement par ses "Origines Sacrées". Alors que les principes amenés et défendus par M. Locke, dans son Essai, et particulièrement le 7- le huitième chapitre du quatrième livre, étant suivis de leurs légitimes extensions, qui sont subversives non seulement pour la doctrine de la Trinité, mais pour la totalité de ce système qui revendique de lui-même le nom d'orthodoxe, et, ici, il ne peut pas y avoir deux opinions parmi les hommes candides et de réflexion.

    Les études et occupations dans lesquelles M. Locke était engagées après la publication de son Essai, étaient d’une description de la plus variée. "Il était à la même période," dit son biographe, le dernier Seigneur Roi, "Un politicien pratiquant et un profond philosophe spéculateur : un homme du monde, engagé dans les affaires du monde, combinant toujours dans toutes ces activités la pureté et la simplicité d'un primitif chrétien. Il poursuivait chaque sujet avec une incalculable activité et diligence, réglant toujours ses nombreuses requêtes par amour de la vérité, et les dirigeant pour l'amélioration et le bénéfice de son pays et de l'humanité". C'était probablement dans les environs de cette période, et durant la résidence de M. Locke à Londres, qu'il fit connaissance avec Sir Isaac Newton, alors M. Newton. Il vivait aussi dans les habitudes d'une étroite amitié avec Sir Jean Somers, qui avait la réputation d'avoir mis en forme l'Acte de Tolérance, et conduisit à une favorable issue l'union entre l'Angleterre et l'Ecosse, et avec le Comte de Pembroke, auquel il dédicaça son essai, et de qui il dit, qu'il avait grandi sous son œil Seigneurial, aussi, par un Roi naturel de droit, il demandait sa protection Seigneuriale.

    Les occupations littéraires à cette période étaient ses "Deux Traités de gouvernement", dans le premier il détecte et rejette les faux principes de Sir Robert Filmer et de ses disciples, et dans le dernier il met en avant ses idées au sujet de la vraie origine, l’avancement et la fin du gouvernement civil. Dans l’année 1690, il publia son "Réflexions sur l’Éducation", et une seconde lettre sur la tolérance, laquelle fut suivie, en 1692, par une troisième lettre sur le même sujet. Ses "Considérations de la conséquence de l'abaissement de l'intérêt, et de l'augmentation de la valeur de l'argent", apparaît en 1691, et un certain "Plus de considérations au sujet de l'augmentation de la valeur de l'argent", apparaît en 1695, dans laquelle année il donna aussi au monde son célèbre travail, sur "Le caractère raisonnable du christianisme comme délivré dans les Écritures".

    Le titre même de ce dernier traité implique une distinction entre le christianisme scriptural et le christianisme des écoles, et la désignation professée de l'auteur est de montrer, que toute la charge de la prédication des apôtres, était, que Jésus est le Messie, et que n'importe qui tenant cette doctrine est un chrétien, et possède tout ce qui est essentiel pour constituer une vrai croyant. Le mot Trinité n'est pas ainsi beaucoup mentionné dans tout le livre, ni la moindre indication n’est donnée, que la doctrine, dont ce mot est utilisé pour désigner, sous toutes les nombreuses modifications qu’il assume, doit être considérée comme une doctrine fondamentale de l’Évangile. Que M. Locke était dans son cœur un trinitaire, sûrement un si profond silence ne devrait pas avoir été maintenu sur ce sujet, -un sujet usuellement profond pour une telle importance vitale, et considéré comme mensonge à la racine même du christianisme.

    A peine que ce travail avait fait son apparition, qu'il fut furieusement attaqué par le Dr. Edwards, dans son "Le socinianisme dévoilé", et comme M. Locke, en énumérant les bénéfices de la venue du Christ dans le monde, établit maintenant ici, en termes directs, qu'il a racheté la vie ou le salut pour nous par sa mort, et cet écrivain n'hésita pas à dire, qu'il était tout à propos du socinianisme. Pour cette accusation M. Locke répondit, "Que devrais-je dire, j’ai noté autant que mon argumentation le requière, et pourtant je ne suis pas socinien ? Voudrait-il, par mon silence et omission, me donner le mensonge, et dire que j'en suis un ?" Dans cette même justification pour lui-même il dit "J’aimerais faire pleinement apparaître combien son accusation de socinianisme sur moi est désœuvrée et sans fondement" - "Car je le répète encore, il n'y a pas une parole de socinianisme dedans" : et dans sa Seconde Justification, il défie son adversaire de démonter, qu'il avait déjà dit, "que le Christ n'est pas au dessus de la nature humaine". Il devrait apparaître ici, que, si les opinions de M. Locke étaient sur la personne du Christ, l'efficacité de sa mort et les divins honneurs offerts pour lui par les disciples de Socin, il ne pensait en rien nécessaire de les imposer sur l'attention du lecteur, dans sa "Sagesse du Christianisme".

    Un autre des contemporains de ce grand homme, le célèbre Dr. Watts, dans l’un de ses poèmes lyriques, écrit dans les moments de l’ardeur de sa jeunesse, et avant que son esprit soit sérieusement lésé par l'âge et la réflexion, représentant M. Locke comme pleurant, devant "Le trône mystérieux", du Dieu trine, la tendance hétérodoxe du "Caractère raisonnable du Christianisme". L'immédiate occasion de la composition de ce poème était une publication posthume des "Annotations" de M. Locke sur certaines Épîtres de Paul. Son but était de montrer la répugnance avec laquelle un tel esprit que celui de M. Locke était porté à sacrifier sa raison sur le sanctuaire de la foi. "Cependant", dit-il, "dans la quatrième strophe j'invoque la Charité, que par son aide, je peux le trouver en dehors du ciel, puisque ses notes sur 2 Cor : 5, et certains autres lieux, me donnent raison de croire qu'il n'était pas socinien, bien qu'il avait assombri la gloire de l’Évangile, et dégradé le christianisme, dans le livre qu'il avait appelé la Sagesse de celui-ci, et dans certains de ses autres travaux". Le poème, qui n'est pas très connu en général peut être gratifiant pour certains lecteurs de le voir transféré de ces pages.

     

    I

    Ainsi la raison enseigne par de lents degrés,

    Que la foi révèle : mais jusqu'aux complaintes

    Des douleurs intellectuelles,

    Et assombrie la trop exubérante lumière.

    Le flamboiement de ces clairs mystères

    Versés tout d'abord sur les yeux de la nature

    Offense et embrume son faible soupir.

     

    II.

    La raison peut rarement contenir de voir

    Le Tout puissant Un, le Trois Éternel,

    Ou porter la Déité infantile :

    Rarement son orgueil peut descendre d'elle-même

    Son Faiseur stoppant de son trône

    Et habillé en gloires si inconnues

    Un monde racheté, un Dieu bénissant

    Et le ciel apparaît coulant de sang,

    Où les thèmes sont trop douloureux pour être entrepris.

     

    III.

    Foi, tu chantes brillamment, parles et dit,

    N'a jamais l'esprit de la race mortelle

    Tu vaux plus de labeur, ou large grâce

    Pour le confondre et courber à obéir.

    Il était si dur de rendre riche une âme envoyée

    Et de poser ses brillants honneurs à ton souverain pieds.

     

    IV.

    Sœur de Foi, juste Charité,

    Montre moi le merveilleux homme sur la hauteur

    Dis comment il voit la Sainteté Trois en Un :

    La brillante conviction remplie ses yeux

    Ses nobles puissances en profonde prostration se trouvent

    Au mystérieux trône.

    "pardonne", il crie, " oui saints du dessous,

    L'hésitante et froide affirmation

    Je donne pour thèmes la vérité divinement :

    Peux-tu admettre le béni au repentir ?

    L'éternelle noirceur qui voile les lignes

    De ce malheureux livre

    Où scintille la raison avec le faux lustre brillant,

    Où le simple mortel écrit l'erreur

    Ce que le céleste signifie!"

     

    S'il requérait davantage de preuve pour prouver, que "La sagesse du Christianisme" était profondément hérétique pour les contemporains orthodoxes de M. Locke, nous l'avons dans l’une de ses déclarations, pour son ami et correspondant, Limborch, auquel il dit, dans une lettre datée du 29 octobre 1697, "Il est certain que beaucoup de lecteurs ont été choqués par certaines idées, qu'ils rencontrent au début du livre, et lesquelles pour aucune signification ne s'accordent avec les doctrines communément reçues". Et ce n'est pas tout. Les derniers écrivains ont trouvé de la publication de "La sagesse du Christianisme" les progrès que la rationnelle religion en Angleterre avait faits durant le dix huitième siècle, et qui l’avait même accusée d'accueillir et d’encourager un esprit d'infidélité. Le dernier Révérend Joseph Milner, pour quelques restrictions sur les écrits de Gibbon et Hume, publiées en 1871, tenait responsable M. Locke et d’autres auteurs de la même classe, d’avoir écrit en médisance pour la Révélation, aussi bien pour la déclinaison générale du standard de l'orthodoxie évangélique parmi les chrétiens de profession. En section VIII. P. 154, de ce livre intitulé, "Compte de Gibbon du Christianisme raisonné, rassemblé avec certaines restrictions des Dialogues de Hume concernant le Religion Naturelle", il critique ainsi sévèrement les écrits théologiques de M. Locke. "M. Locke amène la manière en introduisant une pompeuse parade de raisonnement dans la religion ; de ce temps une rationnelle religion avait été le possible terme, avec tous ceux qui professent être sages autant que les autres. La propre et humble soumission à la Raison du Christianisme, comme très utile mais très soumise servante, a été mise au rebut. Il apparaît pour connaître peu ou rien de cette foi divine, que les Écritures décrivent ; de Locke qui évolue vers Hume, c'est de dire, d'une froide affirmation historique descendant de l'athéisme lui-même, ou qu'elle est pour beaucoup la même, ici, avait été une graduelle déclinaison mélancolique de la simplicité évangélique. La raison était impertinemment mélangée à l'Evangile, et c’est avec une telle autorité constante, comme pour l'assombrir de plus en plus, que des rivières de larmes ne seraient pas suffisantes pour déplorer l'augmentation de la misère morale, qui, depuis le temps de M. Locke, s'était répandue dans ces royaumes". Le bien connu auteur de "La force de la Vérité", [Le Révérend Thomas Scott, Recteur de Aston Sandfort, Bucks,] raconta à ses lecteurs, qu'il étudiait "La sagesse du Christianisme", et ses "Revendications", à une période de sa vie, "avec une grande attention, et une sorte d'affection fanatique, le prenant presque implicitement pour "son" maître, adoptant ses conclusions, empruntant beaucoup de ses arguments, et imbibant une aversion pour de telles personnes n'offrant pas la même implicite déférence pour son autorité. Mais cette inqualifiable admiration pour les écrits théologiques de notre grand philosophe, M. Scott énuméra parmi les erreurs de ses inflexibles jours. "Ceci", dit-il, "me desservait grandement : alors, au lieu de donner de l'avancement dans mes questionnements quant à la vérité, j'ai depuis rassemblés plus d’argument ingénieux et spéciaux, avec lesquels je défendais mes erreurs". (Londres, 1823, Pt. Ii. Pp. 17, 18.) D'autres écrivains, suivant de la même école de théologie, l’ayant vu avec regret, déplorèrent fortement et sérieusement les effets des écrits de M. Locke, et particulièrement pour "La sagesse du Christianisme", en donnant une impulsion pour ces questions religieuses, lesquelles donnèrent pour résultat une évasive et plus générale diffusion de ce qui avait été exprimé pour être un système de foi rationnelle, quiconque qui connaît l'histoire de la religion dans ce pays depuis le temps de M. Locke, nie, que beaucoup d'esprit pour un libre questionnement, qui maintenant existe, est attribué aux travaux qui viennent de sa propre plume. Mais pour les abus de la liberté de penser, dont ses écrits contribuèrent matériellement à son établissement, il n'est pas plus responsable que ses adversaires ou calomniateurs. Il ressent sa propre valeur, et apporte un exemple pour le monde de son exercice rationnel et sobre. Mais il était restreint, par l'esprit de l'époque dans laquelle il vivait, pour faire connaître, par le moyen de la presse, tous les résultats, pour lesquels ses questionnements l'emmenaient, et il était réservé pour notre propre temps d'écarter le voile, dans lequel partiellement il s'enveloppait des vues de ses contemporains.

    Jusqu'à récemment, la preuve de l'anti-trinitarisme de M. Locke était principalement d'une sorte négative, et restait surtout silencieux au sujet de la doctrine de la Trinité, et le ton général de ses opinions théologiques, déduits de ses écrits édités. Mais nous sommes maintenant en possession d'une preuve d'une nature plus positive, fournie par ses propres papiers.

    Il a été établi, dans une première partie de cet article, que la "Sagesse du Christianisme", fut publiée dans l'année 1695. Durant l'hiver précédant son auteur se voua à un prudent examen des Écritures, avec à l’idée d’affirmer, qu'il constituait les articles primaires et essentiels de la foi chrétienne dans les âges apostoliques, et à quelle distance cet accord, ou combien il était différent, d’avec les doctrines considérées comme fondamentales par la majorité des chrétiens de profession dans les derniers temps. Dans une lettre à son ami, Philippe Limborch, datée du 10 mai 1695, il dit, "Cet hivers, j'ai sérieusement considéré en quoi consiste la foi chrétienne, et j'ai essayé de le déduire de la source des Écritures Sacrées, à part de n'importe quelle opinion et orthodoxie des sectes et systèmes. D'une lecture prudente et diligente du Nouveau Testament, la nature du Nouvel Engagement et la doctrine de l’Évangile apparaissent, pour ma compréhension, claires comme la lune en plein jour. Je suis, en effet, plus fermement persuadé, qu'une sincère recherche dans l’Évangile ne peut rester dans le doute, comme elle l’est pour la foi chrétienne. Mon idée que j'ai jetée sur le papier, que je signifie, alors calmement et à loisir, observe l’agrément mutuel et l’harmonie de plusieurs parties, et le fond sur lequel elles sont supportées. Quand toutes pensées pour lesquelles ma croyance apparaît saine, et en tout lieux conforme à la parole divine, je procède alors pour consulter les Théologiens, (spécialement de l’Église Réformée), pour observer leurs sentiments concernant la foi. Je ressors de Calvin, Turretine et autres, pour lesquels, je suis obligé de confesser, que je trouve l'argument si dirigé, qu'il n'est pas possible de recevoir les doctrines qu'ils voudraient inculquer. Elles apparaissent pour moi si différentes du sens et de la simplicité de l’Évangile, que je ne suis pas en mesure de comprendre leurs écrits, ni, en effet, je ne puis les réconcilier avec le code sacré. Après longtemps, avec d'équitables espoirs, je pris en main votre théologia, et je ne puis lire, sans une grande satisfaction, le Chap VIII. Livre V., qui m'enseigne qu'il y a un Théologien, par qui je ne devrais pas être inscrit comme un hérétique. Ces choses sont chuchotées dans votre cœur, car je les souhaite pour être connues seulement de vous, que j'avais traité cet argument". Dans le passage au dessus, adressé confidentiellement à son ami, (car il souhaitait que le fait soit connu, comme il disait, de personne d’autre), M. Locke décrit, avec sa clarté et simplicité habituelles, le procédé, par lequel il fut amené à entretenir les vues si bien développées dans sa "Sagesse du Christianisme comme délivrée dans les Écritures", un travail dont Le Clerc dit pour être l’un des plus excellents de cette sorte qu’il avait lu depuis un certain temps, et pour lequel Limborch assignait une haute place, pour tous les systèmes de théologie qu'il avait déjà lus. Que les idées de M. Locke étaient anti-trinitaires quand il publia son travail, il n'y a pas longtemps à en douter ou à spéculer, car nous sommes capables de le prouver, par des documents écrits de ses propres mains, et portés à la lumière par la recherche du dernier Seigneur King. M. Rutt, qui publia une traduction en anglais de la correspondance entre Locke et Limborch dans le "Montly Repository" presque quatre années avant, quand il vint sur la lettre dans laquelle le passage se trouve au dessus, il fit remarquer dans une note, que M. Locke semblait "faire référence à ces questionnements, lesquels produisirent la 'Sagesse du Christianisme'" (Mon. Rep. Vol. XIII. 1818, p. 609); et le Seigneur King avait été assez heureux de découvrir, parmi les papiers de M. Locke, un livre en manuscrit, portant le titre "Adversaria Theologiea", lequel fut commencé dans l'année 1694, et où il enregistra le résultat de ses investigations. Les arguments pour et contre certaines opinions sont rangés dans des colonnes parallèles, et parmi les sujets discutés il y a, la matière de l'âme, la Déité de l'Esprit Saint, la simple humanité du Christ, la Loi de la foi et des oeuvres, la Trinité et la suprême sainteté du Christ. Le Seigneur King avait sélectionné les deux derniers de ceux-ci comme spécimens et les édita dans son "Vie de Locke", Vol. II. pp. 187-194), duquel travail le lecteur les trouvera copiés mot pour mot au dessous. Mais en ordre d’éviter un long blanc sous le premier des deux titres, qui occasionnerait l'impression d'eux comme le Seigneur l’avait donné, ils sont ici arrangées, non mis en parallèle l'un pour l'autre, mais consécutivement.

     

    "Trinitas.

    1. Gen. I 26, Laissons.

    2. L'Homme est devenu comme l'un de nous.

    3. Gen III : 22 ; Gen XI : 6,7 ; Isa VI : 8.

    Non Trinitas.

     

    En raison qu'elle subvertie l'unité de Dieu, introduisant trois dieux.

    En raison qu'elle est contradictoire avec le droit de prier directement dans le SS. Car si Dieu est trois personnes, comment pouvons-nous le prier par son Fils pour son esprit ?

    Le Père seulement est le plus haut Dieu. Luc I 32, 35.

    Il y a une première cause indépendante de toutes les choses, qui est le plus haut Dieu. Rom XI 36.

    Le Seigneur sera un, et son nom un. Zach 14:9.

    Le Seigneur notre Dieu, le Seigneur est un. Marc 12:29.

    Or la vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi le Père, le seul vrai Dieu, et Jésus Christ, que tu as envoyé. Jean 17:3.

    Si le Saint Esprit était Dieu, la connaissance de lui serait nécessaire aussi, pour la vie éternelle. C'est la vie éternelle de connaître Dieu comme envoyé, non comme un éternel engendré, non comme co-essence pour le Père. Biddle, 1-24 ; I Cor 8:5,6.

    Il y a un Esprit manifestement distinct de Dieu, c'est-à-dire, un esprit créé par la voie de l'excellence, c'est-à-dire le Saint Esprit. 2 Il y a un Seigneur distinct de Dieu, et cependant fait, autrement ils seraient deux défaits Seigneurs, c'est-à-dire un rendu Seigneur par voie d'excellence, qui est Jésus. Eph 5:4-6 ; Act 2:22, 23, 33, 36 ; Mat 24:36 ; Marc 13:32.

    Rom 16:6.

    Jean 6:27.

    Jacques 3:9.

    Jean 8:54. Les Juifs ne connaissent pas Dieu mais le Père, et qui était le Dieu de St Paul.

    2Ti 1:3 ; Act 3:13, 22:14 ; Neh 9:6. Tu œuvres Seigneur seul. Tu annonças une seule personne.

    1. Laissons faire l'homme, qui ne prouve pas davantage que l'orateur était plus qu'une personne, que la même forme. Marc 4:30 ; Jean 3:2 ; 2Cor 10:1, 2.

    2. Ceci, s’il y a aucune chose, prouve seulement qu'il y avait une autre personne avec Dieu, qu’il employait, comme dans la création des autres choses, ainsi pour l'homme, c'est à dire. L'Esprit, ver 2 ; Psa 54:30 ; Job 26:13, 33:4.

    3. Gen 3:22. Ceci était dit aussi pour le Saint Esprit, comme aussi celui-ci, Gen 9:6, 7 .Isa 6:8".

    Les trois dernières remarques furent évidements essayées comme réponses aux arguments en faveur de la Trinité, usuellement déduites des passages sous l'entête "Trinitas".

    "Christus Deus Supremus.

    1. Si Christ n'était pas Dieu, il ne pouvait pas satisfaire pour nos péchés.

    2. Il est appelé le Tout Puissant Dieu, Isa 9:6.

    3. Rom. 9:5

    Christus non Deus Supremus.

    Par ce que nous devons l'honorer, en raison que le Père lui a alloué tout jugement. Jean 5:22, 23. Mais la grandeur est d’être honoré avec le haut honneur pour lui-même, et pour aucune autre raison que pour son propre égard.

    Parce que l'amour pour le Père donne le fond et la raison de l'amour pour le Fils. 1 Jean 5:1. Il est le Fils du Très Haut, Luc 1:32, et néanmoins distinct du Très Haut. Le Père est plus grand que lui. Jean 14:28.

    Phil 2:5-8. 5. Biddle, 5-24. Personne ne peut lui être égal, l'égalité est toujours entre deux. IB.

    1 Cor 8:6. Par qui sont toutes choses, c'est à dire perpétuellement pour notre salut, ib.7. Dieu l'a fait Seigneur. Act 2:39 ; Phi 2:9, 10.

    La gloire et le remerciement que nous donnons à Christ, et la foi et l'espoir que nous plaçons en lui, ne doivent pas rester en lui, mais par lui tendent vers Dieu le Père. Phi 2:9, 10 ; 1 Pier. 1:21 ; Jean 12:44 ; Rom 1:8, 15:27 ; et cependant il n'est pas égal à Dieu.

    Il délivrera le Royaume, et sera sujet du Père. 1 Cor 15:24, 25, 28.

    Et il sera sujet selon sa nature humaine. Rev 1. Cette distinction n'est pas trouvée dans la parole de Dieu. 2. Elle sollicite la question, car elle suppose deux natures en Christ, qui est la chose en question. 3. Elle rend deux personnes en Christ, car il est pour être sujet qui gouverne et se soumet, c'est-à-dire une personne, car aucune autre peut être un roi, et cependant ils doivent garantir que la personne du Christ, qu'ils tiennent pour être une personne d'une suprême déité, délivre son royaume, et devient sujet, ou que sa nature humaine est une personne. Le dernier de ceux-ci rend subversive la doctrine de la Trinité, le premier lui-même. Ib. 7. 4. Il est dit que le Fils lui-même deviendra sujet : mais comment le fils peut-il lui-même devenir sujet, si seulement une nature humaine, ajoutée au Fils, devient sujet, et non la même personne que le Fils ? Biddle, 8-24. Dieu l'a exalté et fait Seigneur, Phi 2:9, 11, et l'a relevé de la mort. Rom 10:9, 4:24.

    Si le Fils de Dieu éternel, co-égal, et co-essence avec le Père, était conçu et né de la Vierge Marie, comment l'ange pourrait dire à Joseph, que ce qui est conçu en elle est du Saint Esprit ? Mat 1:2 ; Biddle, 11-24. Luc 1:35

    Act 10:38.Luc 22:48. Mat 27:46.

    1. Comment Dieu peut satisfaire Dieu ? Si une personne satisfait une autre, alors celle qui satisfait est toujours insatisfaite, ou bien pardonne. Ib. 12.

    Jean 20:17.

    Eph 1:7.

    Heb 1:8, 9.

    2. Un Dieu Tout Puissant, car, dans Heb., El Gilbbor, non Hael Haggibor, comme le Seigneur des hôtes est appelé, Jer 32:18. En plus les mots dans le contenu du verset 9, distinguent le Christ du Seigneur des Hôtes, faisant sa Sainteté dépendante de la générosité du Seigneur des Hôtes. Biddle, 15-24.

    3. Un Dieu sur tous, car ici, est sans l'article, et ainsi ne signifie pas la suprême Déité".

    Les remarques, numérotées 1, 2 et 3 respectivement, doivent être considérées comme des réponses pour ceux, qui pensent que la doctrine de la Suprême Déité du Christ est enseignée dans les passages référés sur l'entête "Christus Deus Supremus". En addition à ces preuves pour conclusion de l'anti-trinitarisme de M. Locke, le Seigneur King nous en a fourni d'autres sous forme d'extraits pour son "Common-Place Book". Sous le titre Unitaria se trouvent les remarques suivantes. (Vol. II. Pp. 102, 103.) "Les pères d’avant le Concile de Nicée parlaient plutôt alors des ariens que des orthodoxes. Si quiconque désire voir des preuves indéniables de cela, je me réfère au Quaternio de Curcellaeus, où il y trouvera pleinement satisfaction. Il y a à peine un texte pour les trinitaires qui n'est pas autrement exposé par leurs propres écrivains : vous pouvez voir un grand nombre de ces textes et expositions dans un livre intitulé Scriptura S. Trin. Revelatrix, sous le nom de St. Galius. Ici, il y a une multitude de textes qui nient ces choses du Christ qui ne peuvent pas être niées de Dieu, et qui affirme de telles choses de lui qui ne peuvent pas s'accorder à lui, s'il était une personne de Dieu. De la même manière pour le Saint Esprit, dont de deux sortes que vous pouvez trouver exhortées et défendues dans les deux livres de Jean Crellius, touchant un Dieu le Père, et abrégées dans Wolzogenius Praeper. Ad Util. Lection. N.T.2, 3, 4, et aussi dans Brève Histoire, let. 1.5."

    Nous trouvons aussi ce qui suit sous le titre Trinité. (Vol. H. pp. 104, 105.) "Les Papistes nient que la doctrine de la Trinité puisse être prouvée par l'Ecriture : voir ce manifeste enseigné et exhorté très sérieusement par Card. Hosius Cont. De Verbo Dei, c. 19 ; Gretserus et Tenerus dans Colloquio Rattisbon. Vega. Possein. Wiekus. Ces hommes cultivés, spécialement Bellamin, et Wiekus après lui, ont exhortés toutes les Écritures qu'ils pouvaient, avec presque diligence, trouvant dans cette cause, et encore, après tout, ils reconnaissent leur insuffisance et obscurité. Curcellaeus prouva, autant qu’une telle chose peut être prouvée en dehors des anciens écrits, que la doctrine de la Trinité, dans les environs de la période du Concile de Nicée, était pour une spéciale union de trois personnes dans la Déité, et non d'une numérique, comme il est maintenant enseigné, et avait été enseignée depuis que les maîtres chimériques sont écoutés là-dessus. Concernant l'origine des doctrines trinitaires, desquelles elles sont venues ou par qui elles ont été inventées, celui dont on dit généralement et en effet avec mérite pour avoir écrit le plus savamment, est le Dr. Cudworth, dans son Système Intellectuel. La divinité du Saint Esprit n'était pas crue, ou, comme je pense, ou tant mentionné par n'importe qui dans le temps de Lanctantius, c'est-à-dire, année 300, vid. Lact. Inst. L. 4, c. 29 ; Petavius de Trin. I. c. 14? § 14. 21 , Huet. Origenian, L. 2, c. 9. 2. §".

    A la vue de ces passages de la propre plume de M. Locke, personne, on peut le présumer, penserait à les proclamer orthodoxes, ou même avec un doute, au sujet de la Trinité, et des anxieux comme beaucoup de trinitaires se sont montrés pour priver la cause unitarienne du crédit, provenant de l'adhésion de tels hommes comme Milton, Locke et Nexton, les preuves de leur défection des rangs de l'orthodoxie sont trop fortes et claires pour être écartées, soit par le biais des suppositions, ou les confidentes affirmations. Ceci avait été déjà montré pour être le cas, comme selon pour Milton et Locke, et bien que la preuve n'est pas si directe dans le cas de Newton, attendu comme il dépend encore, dans une certaine mesure, sur le témoignage d'autres personnes, une preuve suffisante sera produite sous le prochain article, pour montrer, que les unitariens sont pleinement justifiés en clamant cette grande lumière de la philosophie moderne, comme une venant d'eux-mêmes.

    Durant l'année 1696, M. Locke publia une Première et Seconde "Revendication" pour "La sagesse du christianisme", et aussi trois "Lettres" élaborées en défenses des principes contenus dans son "Essais sur la compréhension humaine", contre les attaques de l’Évêque de Worcester. Son traité "Sur la conduite de la compréhension" qui est l’un des plus utiles et pratiques de ses travaux, et le "Paraphrase et Notes" sur certaines des Épîtres de Paul, fermant la catalogue de ses travaux littéraires qui ont été donnés pour le monde.

    Après que M. Locke se retira de sa nomination à la Chambre du Commerce, ce qu'il fit dans l'année 1700, il visita souvent Londres. Les quatre dernières années de sa vie passèrent totalement en retrait à Oates, où il s'employa à lire et à commenter les Écritures.

    Son "Paraphrase et Notes sur l'épître de St. Paul aux Galates, 1 et 2 Corinthiens, Romains et Éphésiens, pour lequel il attacha un Essai pour la Compréhension des Épîtres de St. Paul, et consultant St. Paul lui-même", était un travail posthume. Il apparut à différentes périodes, et les parties furent rassemblées dans un volume en l'année 1707. Le Paraphrase sur Galates fit son apparition en 1705. Il fut suivi par ceux sur les deux épîtres aux corinthiens en 1706, et en 1707 apparurent ceux pour Romains et Éphésiens, rassemblés avec l'Essai préliminaire. "Dans son travail", dit l’Évêque Newton, "Il donna plus pour éclairer et fixer le sens des épîtres de St. Paul que n'importe quel autre commentateur, je dit presque tous les commentateurs avant lui".

    Le Dr; Watts remarque, que les annotations de M. Locke sur Rom 3:25, et son paraphrase sur Rom 9:5, "avaient incliné certains lecteurs à douter s'il croyait en la Déité et la Satisfaction du Christ", mais il ajoute, qu'il note sur 2 Cor 5., et certains autres emplacements, lui donnent raison de croire, que M. Locke n'était pas un socinien. (Horae Lyriere, ubi supra.)

    Un autre écrivain, le récent Dr. Bruce, de Belfast, avait fait référence au paraphrase et à la note sur Rom 1:3, et aux notes sur Eph 1:4 et 6, alors prouvant que M. Locke était au moins un arien, et avait affirmé, que "pas un seul arien ne pourrait souhaiter être plus satisfait pour ces textes". (Mon. Rep. Vol. VIII. p. 516.) Mais la cause de l'arianisme en proviendra mais fut peu supportée par les passages pointés par le Dr. Bruce.

    La vérité est, comme le Révérend William Field avait observé, dans ses valables "lettres pour les chrétiens calvinistes de Warwick", (pp. 111, 112), et comme d'autres l’avaient souvent remarqué, en substance, avant et depuis, "qu'il y a presque une interprétation unitarienne pour n'importe quel passage, dans cette partie du Nouveau Testament, qui n'est pas trouvée dans ce travail de M. Locke, soit suggérée, ou adoptée, par lui". De ceci, M. F. produit, comme preuves, les observations sur 1 Cor 1:2, 8:6 ; Rom 9:5, 10:9 ; Eph 2:8 ; en même temps fait appel à l'attention de ses lecteurs, dans une note, pour "la manière dans laquelle M. Locke fait référence aux passages qui parlent de la création de toutes choses par Christ, pour la nouvelle création morale". Mais après la positive preuve ajoutée au dessus des propres papiers posthumes de M. Locke, ce serait un gaspillage de temps que de poursuivre sur le sujet davantage.

    Il y a une autre question, cependant, sur M. Locke, dont il est peut être bien d'annoncer, avant que le présent article arrive à une conclusion. Il fut mis en doute, s'il devait être rangé parmi les hommes de l'Église ou les dissidents, et bien qu'ici il reste une dernière chance de clamer qu’il est trinitaire, aucun conformiste profond ne voudrait rien entendre sur sa personne sauf un homme bon de l'église. C'est vrai, le Dr. Caleb Fleming, dans un anonyme pamphlet, intitulé, "Revendications de l'église d'Angleterre sérieusement examinées, Londres, 1764, page 27", affirme, sur l'autorité d'un ami proche de M. Locke, que "si loin d’être un conformiste de l'église d'Angleterre, il usa, pendant qu’il était à Lady Masham’s, préférer l'audience d'un prédicateur laïc parmi les dissidents, en raison qu'il n'y avait d'autre Église non conformiste convenable prêt de lui". Mais aussi longtemps qu'il était convenable de rendre utile le grand nom de M. Locke, dans le but de maintenir les intérêts de l'église comme par la loi établie, celui-ci, et chaque autre chose allant dans la même direction, était représenté comme un simple rapport inoculé. Assez singulièrement, cependant, alors qu’il se moquait des essais des trinitaires et hommes de l'église pour faire croire au monde ce qu'il était ce qu'il n'était pas, parmi d'autres curieuses idées qu'il avait agitées, sur l'examen d'un papier non publié de M. Locke, est pour une "Défense pour la Non-conformité", en réponse au Dr. Stillingfleet, Évêque de Worcester, qui avait, en 1680, prêché un sermon, devant le Seigneur-Maire de Londres, sur "Les méfaits de la séparation", qui contenait une attaque élaborée et sévère sur les non-conformistes. Cette discussion reçut une réponse de M. Baxter, M. Alsop, le Dr Owen, et d’autres importants écrivains parmi les presbytériens et indépendants, et le Dr. Stillingfleet publia, en réponse, un large travail, en 1683, qui est intitulé, "Le caractère déraisonnable de la séparation". Ce fut celui-ci, que M. Locke critiqua, et pour la "Défense de la non-conformité", et qu'il prépara comme moyen de réponse, mais qu'il ne fit pas publier, le Seigneur King imprima plus de vingt pages comme spécimens, dans lesquelles il apparaît, que M. Locke était très opposé aux modes existants du gouvernement de l'Église, comme sur une petite échelle ou celles très grandes, toutes lui apparaissant pour n'avoir autre objet, ou au moins pour conduire à une autre fin, que de forcer la conscience humaine, et de la restreindre dans ses recherches pour la vérité. "Les engagements donnés à leurs Pasteurs dans les Églises indépendantes", dit-il, "montre combien dans cette contestation les Églises sont rendues comme des cages à oiseaux avec des portes à trappes, qui donnent une libre admission à tous les oiseaux, s'ils avaient toujours été les habitants sauvages des airs, ou étaient obtenus de la perte d’autres cages, mais quand ils sont une fois dedans, ils sont gardés ici, et n'ont plus la liberté de sortir, et la raison est, parce que si ceci était permis, notre volière serait gâtée, mais le bonheur de ses oiseaux n'est pas l'affaire de ses oiseaux gardiens". (Vie of Locke, Vol. II. P. 200).

    C'était un jour fatal pour les avocats de l'orthodoxie de M. Locke, quand Le Seigneur King entreprit de préparer une Vie de lui, "Avec des extraits de sa correspondance, journaux, et livres de pensées communes". L'effet de la publication de ce travail sur certains esprits fut qu'ils ne voyaient aucun moyen d’y échapper sauf d’accuser sa Seigneurie de falsification des écrits de M. Locke. Un correspondant pour le "Christian Reformer" de 1834, (p. 848,) mentionne le cas d’un membre du clergé, "qui repoussait la force d'une note du propre manuscrit de M. Locke dans les mémoires, par l'allégation qu'il ne devait pas croire dans la vérité de n'importe quelle chose qui avait été éditée par le Seigneur King". Il est possible, pour une telle insinuation, de trouver une acceptation à un moment de tous les lecteurs, les remarques suivantes, de la plume du Dr Thomas Roes, dans le dernier numéro du "Christian Reformer," (janvier 1835, page. 27), qui serait suffisant de montrer son fondement, et de le tenir dans la réprobation de chaque esprit candide et bien réglé. "Ici il n'est pas nécessaire d'affirmer le haut et honorable caractère du Seigneur King du non moins absurde que la base imputée s’y référant dans les notes de votre correspondant, des annotations falsifiées des écrits de M. Locke. Je suis, cependant, capable d'attester d’une collation personnelle de l’ensemble, de la scrupuleuse fidélité avec laquelle tous les extraits des manuscrits de M. Locke ont été édités par sa Seigneurie. J'ai eu plus d'une fois la gratification d'aller sur la collection à Ockham, et la permission de sa Seigneurie King de glaner de ces parties, qui n'avaient pas été absolument nécessaires de donner au public, une petite pièce, avec l'idée d'un tract, lequel j'avais eu le souhait de publier, pour illustrer les opinions théologiques de M. Locke à partir de ses propres écrits". Si le Docteur devait exécuter ce plan, il est nécessaire de dire, qu'il conférerait un inestimable bénéfice pour le monde, puisque chaque chose qui émanait à tout moment de la plume de M. Locke doit recommander notre attention et respect. En considérant les principales caractéristiques du système théologique de ce grand homme, il ne peut avoir aucun doute qu'ici c'est selon ses opinions sur la tolérance, le gouvernement, l'éducation, ou la philosophie mentale.

    Nous ne pouvons pas parler avec le même degré de confidence, au sujet des vues religieuses du Seigneur Chancelier King, le neveu et confident ami de M. Locke, de qui le Seigneur Barrington dit, que tout le monde l'autorise à être "le Grand critique, le Conseillé, et Théologien de son époque" (Miscellencea Sacra. Londres 1770. Vol. I.) : Mais il y a néanmoins la forte présomption de preuve, que ses vues, aussi bien que celles de M. Locke, étaient antitrinitaires. Cette preuve est fournie principalement de son admirable travail, intitulé, "L'histoire de la foi des apôtres", dans lequel, cependant, il agit seulement sur la partie historique, "son dessin étant", comme il disait, dans la Préface, "seulement de collectionner et découvrir le sens et le moyen des premiers artisans et compositeurs de la Foi, quels étaient pour les introducteurs le but et l'intention de plusieurs articles par conséquence". Mais le Seigneur Chancelier King était plus jeune que M. Locke pour prêt de quatorze années, et bien qu'il s'était distingué par son "Questionnement dans la constitution, discipline, unité et cule de l'église primitive", dès l'année 1691, son nom appartient plus exactement au dix huitième siècle que le dix septième siècle, et pour cette raison un article séparé ne lui a pas été consacré dans ce travail.

    Il est presque inutile de souhaiter faire plus, dans la présente connexion, que de notifier un établissement du Professeur Schlossser, dans lequel il représente M. Locke comme un anti-extranaturel. "Locke", dit-il, "amène ses preuves du christianisme comme une divine révélation, de la nature et des effets se son enseignement, et rejette la preuve qui reste sur les miracles et opérations extranaturelles, en raison qu'il la considérait comme inutile, et comme une preuve historique liée pour attaquer sur des fonds historiques et critiques". (Hist. du dix-huitième siècle, etc.; Traduit par D. Davison, M.A. Vol. I. Londres, 1843, pp. 28, 29). L'incorrection de l'affirmation contenue dans ce paragraphe a été pointée par le Révérend J.J. Tayler, dans son "Rétrospection de la vie religieuse en Angleterre, pp. 552, Note 11", et sa falsification avait été prouvée, dans les propres passages théologiques et travaux philosophiques de M. Locke, par le Révérend Jean Kentish, sous la bien connue signature N, dans une communication pour le "Chrétien Réformateur" d'avril 1844 (pp. 201-205). Pour cette communication, il est juste de dire, que bien qu'elle montrait toutes les exactitudes et discriminations de l'écrivain, elle avait avec éminence réussie en sauvant d'une gratuite et sans fondement pour une imputation de la personnalité de notre chrétien philosophe.

    Les restes de M. Locke furent déposés sur le côté sud du jardin de l'église de High Laver. La tombe était en brique, couverte d'une pierre plate commune. Cette pierre est maintenant remplacée par une de marbre noir qui est enfermée dans des rails en fer, et sur une petite dalle en pierre, sur le mur de l'église, est inscrite l'épitaphe suivante, composée par lui-même.

    "Siste, viator, juxta situs est (Johannes Lockes). Si qualis fuerit rogas, mediocritate suh contentum so vixisse respondet. Literis innutritus, sousque tantum profecit, ut veritali unied studeret. Hoes ex soroptis illius diace, quae, quod de eo reliquum est, majori fide tibi exhibebunt, quàm epitaphli suspecta elogia. Virtutes si quas habuit, minores sape quàm quas sibi laudi, tibi in exemplum proponerest. Vitia una sepeliantur. Morum exemplum si quaeras, in Evangelio habes, (vitiorum unitam nusquam,) mortalistatis certè quod prosit hie et ubique.

    Natum [A.D. 1632, le 29 août]; Mortuum [A.D. 1704, 28 octobre] ; Memorat hae tabula brevi et ipsa interiturs".

    Le château de Oates, où M. Locke passa les dernières années de sa vie, fut démonté au début de ce présent siècle, et le gazon vert maintenant couvre l'endroit, qui avait été jadis distingué par l'un des meilleurs et grands hommes.

    Les travaux de M. Locke ont été publiés dans une forme collective à différentes périodes. Une des meilleures éditions est la huitième, qui apparaissait en 4 volumes, 4 to., 1777, et ce qui suit est le contenu.

     

    Vol. I.

    1. Essai sur la compréhension humaine (pp. 1-457).

    2. Une lettre pour le juste Révérend Edward, Seigneur Évêque de Worcester, concernant certains passages relatant du "Essai sur la compréhension humaine" de M. Locke dans un dernier discours à sa Seigneurie dans Affirmation de la Trinité (pp. 458-515 ; Postscript, pp. 516, 517).

    3. La réponse de M. Locke pour la réponse à sa lettre du juste Révérend le Seigneur Évêque, concernant certains passages pour "Essai sur la compréhension humaine" de M. Locke dans un dernier discours à sa Seigneurie dans Affirmation de la Trinité (pp. 518-573 ; Postscript, pp. 574).

    4. Une réponse pour des remarques sur "Essai sur la compréhension humaine" (pp. 575-577). La réponse de M. Locke en réponse pour la deuxième lettre du juste Révérend le Seigneur Évêque de Worcester, etc. (pp. 578-774).

    5. Une défense de l'opinion concernant l'identité personnelle de M. Locke (pp. 775-78 ; appendis, pp. 787, 788).

     

    Vol. II.

    1. Certaines considérations des conséquences de l'abaissement de l'intérêt, et l'élévation de la valeur de l'argent. (pp. 1-84).

    2. Davantage de considérations concernant l’Élévation de la valeur de l'argent, ou les arguments de M. Lowndes pour cela, dans son dernier rapport concernant "Un essai pour l'amendement des pièces de monnaies en argent", sont particulièrement examinés (pp. 85-134).

    3. Deux Traités de gouvernement. Dans le premier, les faux principes et fondements de Sir Robert Filmer, et ses disciples, sont détectés et renversés : la lettre est un essai concernant la vraie Origine, Extension et Fin du gouvernement civil (pp. 135-312).

    4. Une lettre concernant la tolérance (pp. 313-350).

    5. Une seconde lettre concernant la tolérance (pp. 351-400).

    6. Une troisième lettre concernant la tolérance (pp. 401-662).

    7. Une quatrième lettre concernant la tolérance (pp. 663-681).

     

    Vol. III.

    1. La sagesse du Christianisme comme délivrée dans les Écritures (pp. 1-100).

    2. Une affirmation pour "La sagesse du Christianisme", etc., de "Réflexions" de M. Edwards (pp. 101-116).

    3. Une seconde affirmation pour "La sagesse du Christianisme", etc., (pp. 117-272).

    4. Une Paraphrase et Notes sur les Épîtres de St Paul, pour les Galates, 1 et 2 Corinthiens, Romains et Éphésiens : auxquels sont rattachés un Essais pour la compréhension des épîtres de St Paul, par consultation de St Paul lui-même (pp. 273-610).

    Vol. IV.

    1. Certaines pensées concernant l'éducation (pp. 1-136).

    2. Travaux posthumes de John Locke, Esq. Viz. i. De la conduite de la compréhension (pp. 137-194). Ii. Un examen de l'Opinion pour voir toutes choses en Dieu de P. Malebranche (pp. 195-224). Iii. Un discours des miracles (pp. 225-232). Iv. Partie d'une quatrième lettre pour la tolérance. (Ce fragment, pour conserver un lien avec le sujet, est porté de la première des trois lettres sur la tolérance, à la fin du Vol. II.) v. Mémoires relatant de la vie d'Anthony, premier Comte de Shafterbuty (pp. 223-246). Vi. Sa nouvelle méthode pour un Livre Commun de Pensée, écrit à l'origine en français, et maintenant traduit en anglais (pp. 247-262).

    3. Certaines lettres familières écrites entre M. John Locke et ses amis (pp. 263-496).

    4. Une collection de plusieurs pièces de M. John Locke, publiées par M. Desmaizeaux, sous la direction d'Antony Collins, Esq. (pp. 497—651). (Cette collection est précédée par les titres suivant des pièces contenues dedans.) La personnalité de M. Locke, par Pierre Coste (pp. 509-518). La fondamentale Constitution de Caroline (pp. 519-538). Une lettre d'une personne de qualité pour un ami dans le pays, donnant un compte sur les débats et résolutions de la House of Lords, en avril et mai 1675, concernant un programme, intitulé, "Un Acte pour prévenir des dangers qui peuvent se lever de personnes qui ne sont pas satisfaites du Gouvernement", (pp. 539-570). Remarques sur certains livres de M. Norris, dans lequel il affirme l'opinion de F. Malebranche pour "Notre observation de toutes choses en, Dieu", (pp. 571-579). Eléments de la philosophie naturelle (pp. 580-599). Certaines pensées concernant la lecture et l'étude pour un gentleman (pp. 600-605). Une lettre pour M. Oldenburgh, secrétaire de la Royale Société (pp. 606, 607). Lettres pour Antony Collins, Esq. (pp. 607—633). Une lettre pour le révérend M. Richard King (p. 633, 634). Une lettre (…) sur le Dr. Porocke (pp. 634-638). Une lettre pour le Révérend M. Richard King (pp. 634-638). Une lettre pour le Révérend M. Richard King (pp. 638-641). [Deux autres lettres pour le même sont ajoutées (pp. 641-643)]. Droits pour une société, qui se rencontre une fois par Semaine pour son amélioration dans une connaissance utile, et pour la promotion de la vérité et de la charité chrétienne (pp. 643, 644). [Alors suivent] Une lettre pour M. Collins, dont Locke adresse comme "Cher Collins". (pp. 645-649) ; Une lettre du Seigneur Ashley pour le Dr. Fell (p. 650) ; Une lettre par Sir Peter King, apparemment adressée au Seigneur Ashley (pp. 650, 651).

    5. Observations sur le développement et la culture des vins et des olives, la production de la soie, et la préservation des fruits : écrit sur le demande du comte de Shaftesbury, et d'abord publiées en 1766 (pp. 645-67).

     

    (Vidend. The Life of John Locke, with Extracts from his Correspondence, Journals and Common-Place-Books ; by Lord King. A new Edition, with considerable Additions, in 2 Volumes. London, 1830, 8vo. Monthly Repository, Vol. I. (1806) pp. 81. 176—178 ; Vol. V. (1810) p. 347 ; Vol. VIII. (1813) pp. 15. 516 ; Vol. XIII. (1818) pp. 11—14, etc. Biographia Britannica, Art. Locke. Locke's Works, passim. Tat/let's Retrospect of the Religious Life of England, Chap. v. Sect. vii. Notes, p. 552. Field's Letters to the Calvinistic Christians of Warwick, Letter 8. Hoite Lyric®: Poems chiefly of the Lyrical Kind ; by Isaac Watts, D.D. 12th Ed. London, 1770, pp. 181—183. Christian Reformer, N. S., Vol. I. (1834) pp. 847, 848 ; Vol. II. (1835) pp. 27, 28 ; Vol. XI. (1844) pp. 201—205, etc.)

     

     
     Didier Le Roux
     
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