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Wycliffe John
Wyclif ou Wycliffe John (1324-1384).
De nos jours la Bible a pratiquement touché tous les confins de la terre ; ses multiples traductions en différentes langues et dialectes, ont permis à d’innombrables personnes de toutes origines et lieux de se délecter de ses enseignements.
Si nous pouvons considérer acquises ses informations de nos jours, il nous faut replonger, 600 années plutôt, dans des temps bien différents, du féodalisme moyenâgeux, pour comprendre toute la portée de cette avancée.
De tout temps, il s’est élevé des Hommes pour défendre la liberté religieuse.
Wyclif J. était l’un d’entre eux, un solide défenseur de la Bible dont La rivière Swift fut témoin d’un grand réveil…
Wyclif J. naquit dans les environs de l’année 1324 à Hipowell près de Richmond dans le comté anglais du Yorkshire et dans le diocèse de Durham.
Des experts s’avancent à démontrer que son nom peut avoir jusqu’à 20 orthographes différentes comme : Wyccliffe, Wiclif, Wicleff et bien d’autres déclinaisons possibles. Un document officiel d’état, daté du 26 juillet 1374, lui donne Wiclif, toutefois Wyclif est l’orthographe la plus utilisée généralement.
Nous n’avons que très peu d’informations sur sa jeunesse, nous savons que Wyclif J. étudia au collège Balliol d’Oxford, la théologie et la philosophie, qu’il stoppa ses études un moment pour diverses raisons et fut finalement diplômé d’un doctorat en théologie en 1372.
Un bref rappel de l’histoire de cette époque semble approprié pour mieux percevoir ce réveil…
L’Angleterre féodale ressemblait à bien d’autres pays de l’Europe en la matière ; les seigneurs asservissaient les habitants des villages, qui vivaient en vase clos. Ceux-ci exigeaient un lourd tribut du travail des paysans qui exploitaient leurs terres, en échange de leur liberté et offraient uniquement qu’une faible partie du sol (bien souvent la moins bonne), en guise de remerciement et de ration de survie. Nul besoin d’instruction pour ces besogneux qui étaient inhibés, en proie à l’aveulissement, à la superstition et à la crainte de toutes parts. Pour finir, les ravages de la famine, les maladies (comme la terrible peste noir de 1349) et des guerres entre les différents seigneurs rendaient la vie de ces pauvres paysans des plus précaires.
Pouvaient-ils se tourner vers la religion pour un peu de réconfort ? Le clergé dirigeait de A jusqu’au Z la vie spirituelle des gens, pratiquant la culpabilité à outrance en prêchant à tours de bras les sept pêchés capitaux et réclamant des aumônes destinés à l’enrichissement de leur patrimoine.
Depuis l’époque du Roi Jean (24 décembre 1166 - 18 octobre 1216), l’Angleterre payait un impôt au Pape en reconnaissance de sa suprématie sur le pays. Le peuple avait du dégoût pour ce Roi, lui reprochant sa soumission honteuse au Pape. Il en suivait un sentiment de mépris de la part du peuple Anglais pour le Pape qui n’hésitait pas à soutirer de l’argent et de donner divers avantages à des étrangers dans le pays.
Les différents successeurs au Roi Jean se conformèrent plus ou moins à ces exigences, selon leur volonté de s’opposer au Pape en personne ; si bien que le Pape Urbain V n’hésita pas à réclamer plus de 30 années d’arriérés, qui n’obtint pas, suite à ce que le parlement estima que le Roi Jean de son temps avait outre passé ses droits et refusa de se prêter à cette requête.
De plus, les Papes d’alors, dont le siège était en Avignon, s’approchaient ‘naturellement’ bien plus des Rois de France, chose dont les anglais n’ignoraient absolument pas, et en cas de conflit entre les deux pays, pertinemment, ils savaient vers quelle nation pencherait la ‘balance papale’.
Entre L’épée royale et la crosse papale, le peuple anglais avait besoin d’un porte parole, en la personne de Wyclif J. qui se leva en homme de la providence…
Wyclif J., eut une position reconnue en tant que scolastique d’Oxford, il fut reconnu également pour son patriotisme, pour ses qualités de traduction en anglais des Ecritures, ainsi que pour ses réformes théologiques.
Dès 1366, il apparaît comme aumônier du Roi par opposition à la suprématie papale dans les affaires ecclésiastiques du royaume.
Le Pape ne manquant pas de cordes à son arc, envoyait des nonces parcourir tout le pays pour récolter des fonds et fit en sorte que l’ordre monastique se souleva à l’encontre des autorités locales.
En ce qui concerne le paiement du tribut au Pape, Wyclif J., s’allia à son Roi et au Parlement, dont un de ses membres disait : « Le Pape a le devoir de se montrer un éminent disciple du Christ. Or, Christ refusa de devenir le chef d’un empire mondial. Le Pape est donc tenu d’en faire autant, et, comme il nous appartient de le soutenir dans l’accomplissement de sa sainte mission, nous nous voyons obligés de na pas accéder à sa présente demande. »
De plus, Wyclif J. rédigea un traité dans lequel il persuadait que la décision du Parlement était conforme à la loi.
En 1372, Wyclif J. rédigea un autre traité, dénonçant ces pratiques et mis en doute que toutes les décisions du Pape étaient automatiquement bonnes.
En 1374, Wyclif J. fit partie d’une commission désignée par le Roi pour se rendre à Bruges, et c’est certainement comme conseiller qu’il se présenta pour dialoguer avec les représentants du Pape Grégoire XI (1370-1378), pour aménager de futurs rendez vous ecclésiastiques en Angleterre et pour des pourparlers de paix avec la France. C’est avec succès qu’il rentra en Angleterre et à partir de ce moment il se présenta en véritable réformateur religieux.
En réalité Wyclif J. était membre du parti anti-papale qui s’opposait aux subsides traditionnels versés à l’Eglise Catholique et ne manqua pas de prêcher par la suite dans Oxford et Londres contre le Pape.
Toujours dans la même perspective, en 1376, Wyclif J. exposa la doctrine de l'« autorité fondée sur la grâce » , selon laquelle toute autorité est accordée directement par la grâce de Dieu et perd sa valeur lorsque son détenteur est coupable de péché mortel. Pour lui, la véritable Église est l'Église invisible des chrétiens en état de grâce :
Wyclif J. met en cause le principe de l'autorité et de la hiérarchie dans l'Église et préconise la désignation du Pape par tirage au sort. Il dénie aux prêtres en état de péché mortel la possibilité de remettre les fautes. Wyclif laisse clairement entendre que l'Église d'Angleterre est pécheresse et coupable de corruption.
Le Roi Edouard III (1327-1377) qui ne souhaitait pas payer les subsides au Pape voyait en Wyclif J. un allié de poids et ne manqua pas de le remercier en le nommant recteur de Lutterworth. Toutefois les positions ouvertes de Wyclif J. ne tardèrent pas à lui coûter une convocation à comparaître devant une assemblée, dont l’archevêque de Londres à sa tête, lors d’une réunion dans la cathédrale Saint Paul. Wyclif J. s’y présenta accompagné pour l’aider dans sa défense, en autre de
Jean de Gond, Duc de Lancaster en personne. Le Duc eut un rôle des plus décisifs en intervenant lors de cet entretien, et évita les pires ennuis à Wyclif J. avec les autorités ecclésiastiques.
Dans cette même période, Wyclif J. coucha par écrit : « De civili domino e De domino divino » qui confirmait ses idées quant à la domination royale sur le Pape. Wyclif J. avait un bon nombre de soutiens, ce qui n’empêchait pas de véritables ennemis insatisfaits qu’aucune condamnation ne fut prononcée à son encontre lors de sa convocation à la cathédrale de Londres et firent appel à la juridiction supérieure, celle du Pape en personne. Le Pape
Grégoire XI édita 5 bulles papales qui condamnèrent Wyclif J. en raison de ses vues qualifiées hérétiques et réclama que des sanctions soient prises à son égard. Mais une fois de plus, Wyclif J. échappa au pire, suite à l’intervention de la mère du Roi et de l’entrée en force de sympathisants dans le hall du Conseil qui se contenta de l’interdire de prononcer des discours et des sermons qui iraient à l’encontre des enseignements de l’Église Catholique.
C’est en 1377, que Wyclif J. en opposition avec l’ordre monastique, implanté fortement dans le pays et qui s’érigeait comme unique guide spirituel auprès des pauvres gens, créa un mouvement : ‘les wyclifites’, baptisés par l’Église orthodoxe du nom de Lollards, qui se traduit également par Babilleurs qui signifierait 'laisser pendre sa langue'. Ce nom fut déjà attribué à des membres d’autres sectes étrangères. Le but de Wyclif J. était de répandre ses doctrines dans le pays par l’intermédiaire de prêtres appelés « pauvres prêtres ou simples prêtres », vêtus de longues robes rousses et rugueuses, prêchant dans les campagnes, Bible et bâton à la main et vivant le plus simplement possible, un peu à la ressemblance des franciscains.
En mars 1378, suite à un décret du Pape Grégoire XI, une crise se produisit que l’on appela plus communément « Grand schisme d’Occident », qui perdura jusqu’en 1417.
Urbain VI, nouveau Pape élu, ne tarda pas à connaître l’opposition de cardinaux influents qui lui reprochaient certaines de ses actions et dénonçaient son élection de frauduleuse. Ces mêmes cardinaux élisirent leur propre Pape en la personne de Clément VII, ce qui fut à l’origine de ce schisme. Les personnes d’alors s’allièrent à l’un ou à l’autre de ces deux papes qui se fustigeaient pour la suprématie de la fonction, employant souvent des procédés que nous pourrions qualifier de pas très catholique, pour obtenir la victoire comme le feraient de bons politiciens pendant une campagne.
Wyclif J., dans un premier temps était disposé à pencher vers le Pape qui lui semblerait le plus acceptable pour ses convictions, mais se rendit très vite compte de cette intrigue Vaudevillesque. Wyclif J. déclara que ces deux hommes avaient tord et que le spectacle proposé par la chrétienté était bien suffisant pour mettre en doute l’origine divine du Pape.
A partir de ce moment, Wyclif J. devint encore plus impliqué dans son rôle de réformateur religieux, usant d’un esprit vif et n’hésitant pas à utiliser l’ironie et voir l’injure dans certaines circonstances. Sa droiture, sa pertinence et ses facultés d’écrire en latin comme en anglais, ont facilement éclairé ‘l’esprit populaire’ et toucha souvent les consciences. Ses convictions profondes et sa passion firent de lui le premier pamphlétaire religieux d’Angleterre et essaya de fournir une nouvelle proclamation de l’évangile pure dans le pays. Ses écrits en anglais et ses vues sont devenues notoires pour les personnes de toutes les classes. Son plus grand travail fut la traduction de la Bible en anglais.
Wyclif J. comprit très rapidement, la valeur unique de la Bible et son contenu est : « Le miroir dans lequel nous pouvons trouver des vérités éternelles.» (G.A. Benrath)
En 1380, Wyclif J. s’en prend à l’Eucharistie appelé aussi par les catholiques la doctrine de la transsubstantiation, et déclare dans un traité que la substance du pain reste toujours la même et qu’aucun prêtre a la possibilité ou la procuration de le transformer réellement, même si le Christ était présent dans le pain, quoique pas de façon matérielle. Le Credo officiel, en cette affaire de croyance du 4ème concile de Latran en 1215, déclarait plutôt que la substance du pain devient la substance du corps du Christ. Cette vue de Wyclif J. aliéna les faveurs du duc de Lancaster et accéléra la condamnation de Wyclif J. L’université d’Oxford condamna publiquement ses enseignements. D'abord atterré, Wyclif J. se ressaisit. Il fit une profession publique de ses doctrines, sans en rien retrancher, et il la termina par ces fières paroles : « Ma conviction est qu'à la fin la vérité triomphera.»
De 1379 à 1382, Wyclif J. traduisit la Bible à partir de la vulgate latine dans l’anglais, alors que l’Église Romaine n’en autorisait pas la traduction dans n’importe quelle autre langue que celle qui était officielle, le latin. Le but recherché par cette traduction était des plus louables, que tous les hommes et les femmes, du paysan au notable de son pays puissent accéder à la lecture de la Bible et la comprendre indépendamment de l’enseignement de l’Église. Par ailleurs, il confina un traité ‘La vérité de l’écriture simple’ dans lequel il démontrait les distinctions de la Bible et de la tradition.
A partir de 1382, Nicolas Herford débuta la traduction des écritures hébraïques et fut à ce titre l’un des principaux disciples, tout comme Repyngdan, Williams James, Williams Thorpe, J. Horme ou encore John Purvey qui fut le secrétaire de Wyclif J. pendant plusieurs années.
Pour Wyclif J., le pouvoir de la Bible est assuré par le fait que Jésus Christ lui-même en garanti la vérité. La vie de Jésus fut un modèle du respect des lois en toutes circonstances, qui plus est, donna des commandements et les observa. Sa pauvreté, son humilité et la patience qu’il témoigna face à la souffrance, méritent toute notre considération comme exemples du devoir pour le chrétien.
Wyclif J. ne pouvait faire autrement que de constater la différence du comportement de L’Église en rapport de l’enseignement et de la vie pleine d’abnégations de Jésus et dénonça les pratiques usuelles telles que : les indulgences, l’extrême onction, les requiems, la vénération des saints et la sécularisation assez générale.
Toutefois, Wyclif J. reconnaissait le pouvoir de l’état, comme autorité mise en place par Dieu en s’appuyant peut-être sur le passage de la Bible en Romain 13 : 1 « Que tout âme soit soumise aux autorités supérieures, car il n’y a pas d’autorité si ce n’est de par Dieu : les autorités qui existent se trouvent placées par Dieu dans leurs positions relatives. » (Traduction du Monde nouveau). L’état doit gouverner et assuré la paix.
En 1381, une révolte des paysans éclata et Wyclif J. fut accusé d’en être à l’origine bien qu’aucune preuve tangible n’attestait ces accusations. Mais en tous cas, cela aggrava d’autant plus l’hostilité à son égard. A la tête de la révolte,
Watt Tyler accompagné de milliers d’insurgés répandirent le feu et le sang dans Londres et finirent par tuer l’archevêque de Canterbury, avant d’être eux-mêmes défaits. Ces graves incidents ne manquèrent pas de retomber également sur les disciples de Wyclif J., dont on ne s’abstint pas de malmener.
Le 17 mai 1382, à Blackfriars (quartier du centre de Londres, qui se situe dans le sud-ouest de la ville), Williams de Courtenay devenu archevêque de Canterbury suite à l’assassinat de son prédécesseur, convoqua un synode, connu dans l’histoire de l’Angleterre sous le nom de ‘synode de tremblement de la terre’, en raison du choc ressenti pendant les discussions. On y examina 24 thèses extraites des écrits de Wyclif J., que l’on déclara hérétiques, après que les discussions se soient prolongées jusqu’au 27 du mois. Cette condamnation ne manqua pas une fois de plus par extension de retomber sur les disciples de Wyclif J., les lollards d’être persécutés. Wyclif J., indigné par de telles réactions, réagit et déclara dans son verbiage habituel : « Puisqu’ils ont fait un hérétique de Christ, il n’est pas difficile de faire passer de simples chrétiens comme tels.»
En dépit de toutes ces accusations, Wyclif J. ne fut pas arrêté en raison d’indéfectibles membres du Parlement toujours présents pour sa défense. Toutefois, Wyclif J. fut expulsé d’Oxford et accompagné de Purvey dû se résigner à regagner sa paroisse de Lutterworth dans le comté de Leicestershire. Toujours très actif, Wyclif J., en plus de son office de curé, continua la traduction de la Bible, sous le nom de ‘Bible de Wycliffe’, qui sera une arme précieuse pour ses successeurs. Appelé à comparaître devant le Pape, il ne se fit pas prier de répondre sur un ton sarcastique et pour la dernière fois dans ces termes : « Je suis toujours heureux d’exposer ma foi à qui que ce soit et par-dessus tout à l’évêque de Rome, car je suis assuré que, si elle est orthodoxe, il la confirmera, que si elle est erronée, il la redressera. J e suis certain aussi que, comme vicaire du Christ sur la terre, l’évêque de Rome est de tous les hommes mortels celui qui est le plus attaché à la foi de l’évangile du Christ, car, parmi les disciples de Christ, la majorité ne dépend pas comme dans le monde du nombre des individus, mais de leur degré de perfection dans l'imitation de leur Maître. Or, Christ, durant sa vie sur la terre, fut de tous les hommes le plus pauvre, refusant pour lui toute autorité séculière. Je déduis de ces prémices et donne comme simple conseil que le Pape devrait abandonner tout pouvoir temporel aux autorités civiles et engager son clergé à faire de même. »
Dans le début de l’année 1382, Wyclif J. subit une première attaque qui lui laissa de lourdes séquelles, mais deux années plus tard, pendant qu’il écoutait la messe dans sa paroisse de Lutterworth, une seconde attaque de paralysie eut raison de lui après quelques jours et le 31 décembre 1384 est la date officielle de son décès.
La mort physique de Wyclif J., n’empêcha pas la circulation de ses pensées, les Lollards s’employèrent également à propager sa Bible dès la parution en 1388. Pour autant à titre posthume, les enseignements de Wyclif J. continuaient d’être décriés si fort que le concile de Constance en 1415, à son tour les déclarait Hérétiques, allant jusqu’à demander par décret que soit exhumé son corps, ce qui se traduisit dans les faits en 1428 sous le règne d’Henri VI et ses cendres furent déversées dans les affluents de la rivière Swift.
Wyclif J. fut le précurseur de la Réforme en dénonçant vivement les pratiques de l’Église moyenâgeuse. Son intérêt pour les enseignements de la Bible le convainquit que le message du Christ ne pouvait être vraiment compris, à condition que l’Église se repentait et cherchait à le suivre réellement comme modèle en vivant avec humilité, pauvreté et dans la souffrance. Wyclif J. était persuadé que cela était possible en remettant tout en cause et en modifiant radicalement l’Église. C’est avec obstination qu’il s’évertua tout au long de sa vie à démontrer que la direction prise par l’Église d’alors, pour son ingérence dans les affaires de l’état n’avait rien de chrétienne. Il recherchait le rapprochement des hommes vers Dieu en leur faisant part de l’évangile pur, non édulcoré par la tradition et le pouvoir religieux. Wyclif J. comprit que c’est par l’enseignement de la Bible rendu accessible par tous, du paysan au notable de son pays, qu’ils pouvaient se forger une vraie conscience et agir en toute conséquence.
Wyclif J. influença par la suite des croyants comme Jean de Huss. Le peuple anglais, au même titre que John Latimer ou John Wesley, le considère faisant partie des chefs religieux importants de leur pays, indépendant touchant les consciences, plein de bon sens religieux et ayant une saine exposition des évangiles.
L’historien catholique d’Angleterre, Lingard, après avoir parlé de la perversion intellectuelle de Wyclif J., se réfère à lui : « En tant qu'homme extraordinaire qui, exemplaire dans ses morales, déclamant le vice avec liberté et la sévérité d'un apôtre.»
didier Le Roux
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