• CHRISTIANISME UNITAIRE.PRINCIPES DU CHRISTIANISME UNITAIRE. NOTICE SUR CHAMMING ET SES ÉCRITS

          W.-E. CHANNING

    CHRISTIANISME UNITARIEN.

    PRINCIPES DU CHRISTIANISME UNITARIEN.

    François Van Meenen.

     

     

    NOTICE

    SUR CHAMMING ET SES ÉCRITS.

     

    William Ellery Channing est né le 7 avril 1780, à Newport, dans cet État de Rhode-Island (États-Unis de l'Amérique du Nord), que Roger Williams, son fondateur, consacrait à la liberté religieuse en un temps (1635) où le nom même de tolérance était inconnu en Europe. Dès l'âge de 13 ans il perdit son père, avocat de mérite, et fut élevé par sa mère. Son intention fut d'abord d'apprendre la médecine, mais ensuite il s'adonna avec ardeur à la théologie. Il fit des études brillantes à l'université de Cambridge, dans l'État de Massachusetts, université où les doctrines unitaires étaient en faveur, et, en 1803, à peine âgé de 23 ans, il fut choisi comme ministre ou prédicateur par une église de Boston, qui s'appelait la Société chrétienne de la rue de la Fédération, et où dominait l’unitarisme (l'unitarianisme). On sait qu'aux États-Unis, la plupart des sectes ou communautés religieuses sont indépendantes, et que les fidèles eux-mêmes choisissent leur pasteur, qui, par parenthèse, n'est pas salarié par l'État. C'est donc à Boston, la ville calviniste par excellence, où les doctrines unitaires de Channing devaient rencontrer naturellement de l'opposition, que, pendant quarante ans, il se consacra tout entier à ses devoirs et que, malgré sa santé délicate, il s'occupa exclusivement de la propagation de ses doctrines religieuses et morales et de la pratique de la charité. Il mourut le 2 octobre 1842, âgé de 02 ans, à Bennington, dans l'État de Vermont, où il était allé faire un petit voyage.

    Les écrits de Channing peuvent se diviser en trois catégories : les uns traitent de problèmes religieux et moraux; les autres, de questions politiques et sociales ; enfin, les derniers roulent sur divers sujets, tels que la littérature, l'histoire, etc.

    Nous n'entendons pas évidemment établir par là une classification rigoureuse, car, par exemple, dans plus d'une des œuvres sociales de Channing, ainsi que dans les Essais sur Milton et sur Fénelon, on rencontre des questions morales et religieuses. Nous n'avons eu pour but que d'indiquer le caractère prédominant de chaque catégorie d'écrits, et de faciliter ainsi les recherches.

     

    1. — ÉCRITS RELIGIEUX.

    Du système d'exclusion et de dénonciation en matière religieuse (1815). L'intolérance est d'ordinaire, comme on sait, la traduction des prétentions à l'orthodoxie. L'Église presbytérienne orthodoxe, qui était l'Église dominante à Boston, ne voulait donc pas reconnaître les unitaires comme chrétiens. Channing revendique au contraire cette qualité pour eux au nom des grands principes de charité et de tolérance.

    De la manière de prêcher le Christ (1813). Il s'agit surtout, selon le ministre unitaire, d'insister sur les vérités enseignées par le Christ, et non sur les circonstances particulières de sa vie; d'élever le caractère, de s'adresser à l'intelligence et au cœur, de présenter le christianisme d'une manière rationnelle. A cet écrit on peut rattacher les suivants, parce qu'en les réunissant, il serait possible de former, pour ainsi dire, un excellent petit manuel des devoirs qui incombent aux ministres du culte : Des moyens de répandre le christianisme. Le principal de ces moyens, c'est l'exemple, c'est la moralité de ceux qui ont mission de l'enseigner. — Sur l'extension de l'éducation théologique à l'université de Cambridge (1816). L'auteur fait ressortir ce point que notre époque de lumières exige des ministres du culte éclairés, et il ajoute que des ministres éclairés sont de puissants agents du progrès. — Des exigences de notre époque quant au ministère religieux (1824). L'état actuel de la société réclame des ministres instruits, zélés, qui appuient surtout sur les preuves internes et rationnelles du christianisme et qui soient animés de l'esprit d'amélioration. On voit que ce thème est à peu près le même que le précédent. — Du ministère chrétien (1826). Le devoir des ministres du culte est d'exercer une influence salutaire sur l'intelligence, la conscience, les sentiments et la volonté morale de leurs auditeurs. — Instruction sur la manière de prêcher l'Évangile aux pauvres. Dans ce discours, l'orateur recommande de prêcher avec un esprit d'indépendance, d'après ses convictions personnelles, de respecter et d'aimer les pauvres, d'aller au-devant d'eux. — Ajoutons encore deux discours, l'un, préparé en 1839, pour l'ordination d'un ministre unitaire à Large, l'autre, prononcé en 1840, lors de l'ordination d'un autre ministre unitaire à Northampton, en Massachusetts, et un écrit intitulé : Du respect dû à tous les hommes, dans lequel l'auteur parle encore du respect pour les pauvres.

    Le christianisme unitaire (1819). C'est le discours dont nous donnons la traduction. A cet écrit se rattachent les Objections contre le christianisme unitaire (1819), où sont reproduites ces objections avec leur réfutation. C'est en quelque sorte le commentaire du précédent morceau — Le christianisme unitaire est très favorable à la piété (1826). L'auteur motive cette opinion sur ce que l’unitarisme (l'unitarianisme) professe l'unité et la spiritualité de Dieu, a une haute idée de ses perfections morales, et enfin est une religion rationnelle. —Du culte chrétien (1836). La religion est la plus haute fin de l'homme ; l’unitarisme (l'unitarianisme) est la religion la plus avancée, parce qu'il a une saine conception de l'unité et du caractère essentiellement paternel de Dieu, et qu'il s'occupe moins du culte extérieur que du culte intérieur.

    Des preuves de la religion révélée (1821). L'auteur y cherche à concilier les miracles avec la raison, et à établir que le christianisme doit son origine à des moyens surnaturels. — Dans un autre écrit, intitulé : Des preuves du christianisme, il cherche à mettre hors de doute la vérité de l'Évangile et de la révélation. — Dans un troisième : Le christianisme est une religion rationnelle, il soutient que le christianisme est fondé sur l'autorité de la raison et ne peut se mettre en opposition avec celle-ci, sans travailler à sa propre ruine. —Dans un quatrième : Le grand but du christianisme (1828), il enseigne que ce but, c'est d'imprimer de l'énergie à la volonté, d'élargir nos sentiments, de donner à l'intelligence plus de clarté et de vigueur.

    De la ressemblance avec Dieu (1828). La vraie religion consiste à nous proposer pour but essentiel de devenir de plus en plus semblables à Dieu. —Du caractère du Christ. L'auteur y appuie sur tout ce que le caractère de Jésus présente de sympathique et il ajoute que la raison de l'amour du Christ pour l'humanité, c'était sa conviction de la grandeur de l'âme humaine. — Dans un autre discours, il traite de l'Imitation du caractère du Christ, et dans deux autres, de l'Amour pour le Christ; enfin, dans un dernier, intitulé : Le philanthrope (1837), il dit que Jésus-Christ est le premier philanthrope.

    Deux discours de Channing roulent Sur le renoncement de soi-même. Il entend par là la soumission des principes inférieurs de notre nature aux principes les plus élevés, et non l'abaissement de la raison ou l'anéantissement de la volonté. Le disciple de Jésus-Christ, recueil mensuel du progrès moral et religieux, publié à Paris par M. Martin Paschoud, contient, dans son numéro de juin 1855, une traduction du premier de ces discours. La même question est aussi traitée dans l'Essai sur Fénelon, que nous citons plus loin.

    Du mal du péché. Le mal moral est le plus grand des maux, et il exerce de l'influence jusque sur la vie future. Tels sont les principaux points de ce morceau. — Dans deux discours, l'un Sur la vie future (1834), et l'autre Sur l'immortalité, Channing fait dériver l'immortalité de la nature môme de l'esprit humain et semble professer la doctrine d'un développement de l'homme au-delà de cette vie. — De la prière quotidienne. Le matin et le soir sont présentés comme les époques de la journée les plus favorables à la prière.

    De la liberté spirituelle (1830). Le but de ce discours est de montrer que la liberté intérieure ou spirituelle est le bien suprême de l'homme, et que la liberté civile et politique a peu de valeur, si elle ne découle pas de la première et ne lui imprime pas de la vigueur. L'orateur s'y occupe aussi de la religion et du gouvernement comme moyens de faire progresser la liberté spirituelle, c'est-à-dire de donner de la force et de l'élévation à l'âme. —De l'importance de la religion pour la société. La religion est l'âme de la liberté, telle est la conclusion de ce petit écrit.

    L'argument moral contre le calvinisme (1820). L'auteur y combat vigoureusement la sombre doctrine de Calvin et prouve qu'elle méconnaît les perfections divines et dégrade la nature humaine. —Dans une lettre adressée, en 1836, au Western Messenger (journal publié à Louisville, dans le Kentucky), Sur le catholicisme, a propos des prétendus progrès de cette religion dans l'ouest des États-Unis, il fait ressortir son désaccord avec les tendances progressives de notre époque et l'incompatibilité de son organisation aristocratique avec l'esprit républicain des citoyens de l'Union. — Des confessions de foi. 11 s'y prononce contre les symboles qu'il considère comme contraires à la liberté de l'esprit humain et au progrès. La thèse soutenue dans cet écrit s'adresse aussi bien au catholicisme qu'au calvinisme.

    L'Église [1841]. C'est un des derniers discours de Channing et c'est un des plus remarquables. Il y développe avec une chaleur communicative cette idée, que l'essence de la religion consiste dans l'amour de Dieu et du prochain, que la charité est la seule et véritable base de l'Église universelle.

    On peut encore ranger ici un discours prononcé, en 1840, à l'occasion de la mort du rév. Dr Follen, qui avait péri par suite de l'incendie d'un bateau à vapeur. Channing saisit cette circonstance pour parler des maux de la vie et de leur conciliation avec là Providence divine. — Il est inutile de mentionner quelques autres éloges funèbres.

    II. — ÉCRITS SOCIAUX ET POLITIQUES.

    De la Culture de soi-même, ou de l'éducation personnelle (1838). Cet excellent discours a été traduit en français et publié à Bruxelles, en 1854. Nous en avons donné une courte analyse dans l'avant-propos qui précède cette traduction. Les quatre discours suivants, qui roulent sur le même ordre d'idées, ne sont pas moins remarquables :

    De l'élévation des classes laborieuses (1840) ; — De la tempérance (1837); — Du ministère pour les pauvres (183S); — De l'obligation pour les municipalités de veiller à la santé morale de leurs membres, suivi de la Vie de J. Tuckermann (1841). — Ces cinq écrits ont été traduits en français et réunis en un volume, sous le titre à'OEuvres sociales de Channing; Paris, 1854. M. Éd. Laboulaye les a fait précéder d'un Essai sur la vie et les doctrines de Channing et d'une Introduction, qui contiennent une très bonne appréciation des travaux du ministre unitaire de Boston. M. Éd. Laboulaye peut se vanter d'avoir contribué largement à la propagation des nobles idées de Channing. Nous regardons comme un devoir de lui en témoigner publiquement ici notre gratitude.

    De l'esclavage (1838) ; — Remarques sur la question de l'esclavage (1839), lettre a Jonathan Phillips, à propos d'un discours de Clay en faveur de l'esclavage ; — Sur l'annexion du Texas, lettre à Henri Clay (1837). — Ces trois écrits ont été traduits en français et publiés à Paris, en 1855, sous le titre A'OEuvres de Channing; de l'Esclavage. M. Éd. Laboulaye les a fait précéder d'une étude très intéressante sur l'esclavage aux États-Unis. — Cette grave question a encore fait l'objet de plusieurs autres morceaux de Channing : Les abolitionnistes ; De l'émancipation (1840), à l'occasion de l'émancipation des esclaves dans les possessions anglaises des Indes occidentales ; — Le devoir des États libres (1842), à propos d'un différend avec l'Angleterre, celle-ci ayant fait mettre en liberté des esclaves qui s'étaient rendus maîtres d'un brick américain, dont ils formaient, comme on disait, une partie de la cargaison ; — un Discours prononcé à Lenox, le 1er août 1842, deux mois avant sa mort, le jour anniversaire de l’émancipation des esclaves dans les possessions anglaises des Indes occidentales. — Il est presque inutile de dire que, dans tous ces écrits, Channing se montra l'adversaire le plus ardent de l'esclavage, en s'élevant aux considérations politiques les plus hautes, et non seulement en en faisant une question de sentiment.

    Des devoirs des citoyens dans les temps d'épreuve et de danger. Ce sont des extraits de sermons prononcés, en 1812, à l'occasion d'une déclaration de guerre contre la Grande-Bretagne, et, en 1814, lorsqu'on appréhendait, à Boston, une invasion des forces anglaises. Channing y recommande le respect du gouvernement, l'obéissance aux lois, l'attachement aux institutions républicaines de l'Union, à la liberté de la presse ; il y rappelle les devoirs des citoyens envers leur patrie et envers leurs ennemis.

    Trois discours Sur la guerre, prononcés, l'un en 1816, le deuxième, en 1835, le troisième, en 1838. Il y est question des malheurs et des crimes qu'entraîne la guerre, de ses causes, de ses remèdes, de l'honneur national, etc.

    Remarques sur les associations. L'action des associations sur les individus est bienfaisante, si elles leur communiquent le pouvoir d'agir par eux-mêmes, si elles fortifient l'énergie et la liberté intellectuelles et morales. Ce que Channing redoute donc dans les associations, c'est l'abdication de l'individualité. Il passe en revue, dans cet article, certaines associations de bienfaisance, les sociétés de tempérance, les sociétés bibliques, les associations pour l'observance du sabbat ou du dimanche.

    L'Union (1829). Channing y appelle l'attention sur l'importance de l'Union nationale des États-Unis, sur les malheurs qu'entraînerait une séparation, sur la nécessité, pour maintenir l'Union, d'une administration nationale peu compliquée et impartiale, d'une magistrature judiciaire nationale digne et indépendante, etc. Il est également question, dans cet article, de la présidence et du parti fédéral.

    L'Époque actuelle (1841). Notre époque est la résultante des époques antérieures; dans tous ses mouvements cependant, elle a une tendance à l'expansion, à la diffusion, à l'universalité, tandis que l'esprit d'exclusion, de restriction, de monopole prédominait dans les âges écoulés ; cette tendance de notre époque à l'universalité se manifeste dans la science, dans la littérature, dans les beaux-arts, dans l'éducation, dans la religion, dans l'industrie. Mais, d'autre part, le grand vice de notre époque, c'est la prédominance des intérêts matériels. — M. Salvador Morhange, dans une conférence donnée au Cercle des arts, à Bruxelles, pendant l'hiver 1854-1855, a exposé les idées de Channing, contenues dans ce beau discours.

    III. — ÉCRITS DIVERS.

    Remarques sur le caractère et les écrits de John Milton (1826). Dans cet essai, Milton est envisagé comme poète, comme théologien et comme homme. Ce sujet fournit à l'auteur l'occasion d'émettre des vues élevées sur la poésie, sur le style, sur la liberté morale, sur la religion, sur les ministres du culte, etc.

    Remarques sur la vie et le caractère de Napoléon Bonaparte (1827-1828), à l'occasion de la publication de la Vie de Napoléon, par Walter Scott. Channing y passe en revue les circonstances principales de la vie de Napoléon, et il conclut en lui refusant la grandeur morale et la grandeur intellectuelle, mais en reconnaissant en lui la grandeur de l'action ou de l'activité. La Revue britannique de décembre 1835, dans un article traduit de la North american Review, a donné la traduction de quelques passages de cet essai.

    Remarques sur le caractère et les écrits de Fénelon (1829). Dans cet écrit, Channing commence par signaler le fait de la pauvreté et de la sécheresse de la littérature religieuse, notamment dans l'Église anglicane, et il en attribue la cause à l'absence de liberté de penser; puis il passe à Fénelon, qu'il regarde comme un penseur, sinon profond, du moins original, et libre, quoique catholique ; il lui reproche cependant d'avoir trop mauvaise opinion de la nature humaine ; il rend justice aux grands hommes sortis de l'Église catholique", tout en montrant peu de sympathie pour la papauté; il admire le caractère de Fénelon, approuve certaines de ses idées sur Dieu, mais combat sa doctrine du renoncement de soi-même; il termine par d'intéressantes considérations sur l'alliance de la religion et de la littérature.

    Trois écrits sur l'éducation, intitulés : Remarques sur l'éducation ; Des devoirs des enfants ; École du dimanche. Il y a là des vues saines, comme dans tout ce que Channing a écrit. Amasser des connaissances dans l'esprit des enfants, est moins important, selon lui, que d'imprimer une bonne direction à tous les éléments de leur nature.

    Remarques sur la littérature nationale. L'auteur commence par dire ce qu'il entend par littérature nationale ; puis il parle de l'importance qu'il faut y attacher. Il convient qu'elle n'a pas encore atteint un grand développement aux États-Unis, et il en recherche les causes; il examine la question de l'influence des littératures étrangères; il regarde le style comme une chose essentielle à cultiver, comme une manifestation de la puissance créatrice des écrivains ; il recherche les moyens de favoriser le développement d'une littérature nationale.

    Il y a eu plusieurs éditions des œuvres de Channing. Lui-même en a publié une, en 1836, à New York, en 2 volumes. — Une autre édition a paru à Londres, en 1854, en 2 vol. in-8"; — une autre encore, à Glascow, en 1839. —L'édition dont nous nous sommes servi est celle de Boston, 1849, en 6 vol. pet. in-8°. C'est la onzième édition complète ; elle est précédée d'une introduction très intéressante, écrite par Channing lui-même, et datée du 18 avril 1841. — En 1849, on a imprimé à Londres un volume intitulé : Beautés de Channing; c'est un recueil d'extraits de ses œuvres. — Un neveu de Channing a composé une biographie très détaillée de son oncle. Cette vie a été réimprimée à Londres en 2 vol. On a également publié sa correspondance. — Le Nouveau Dictionnaire de la conversation et la Nouvelle Biographie universelle contiennent quelques renseignements sur Channing. — Nous avons récemment inséré, dans la libre Recherche, dirigée par M. Pascal Duprat, Bruxelles, septembre 1855, un Essai sur les idées de Channing.

     Table des matières. 

     

     

    Notice. 

    Préface partie 1.

    Préface partie 2.

    Christianisme unitaire principe : L'emploi de la raion dans l'interprétation de la Bible partie1.

    Christianisme unitarien principe : point de doctrine ; Unité de Dieu partie2.

    Christianisme unitarien principe : point de doctrine ; Nature de Jésus Christ partie3.

    Christianisme unitarien principe : point de doctrine ; Perfection morale de Dieu partie4.

    Christianisme unitarien principe : point de doctrine ; Mission de Jésus Christ partie5.

    Christianisme unitarien principe : point de doctrine ; De la vertu chrétienne partie6.

     

     

    DidierLe Roux

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