• Le Christianisme Unitarien plus favorable pour la piété ; sermon de Channing

      Le Christianisme Unitarien plus favorable pour la piété ; sermon de Channing Le Christianisme Unitarien plus favorable pour la piété.

    Le Christianisme Unitarien plus favorable pour la piété ; sermon de Channing

     

          William Ellery Channing, le père des unitariens américains a toujours été un remarquable défenseur de l’Unitarisme Chrétien. Ses paroles frappent l’esprit de ceux qui les entendent. Dans son sermon " Unitarian Christianity", en 1819, à Baltimore, il dévoile d'une façon ouverte sa foi dans l'Unitarisme. En 1826, soit cinq années plus tard, il confirme et étaye intelligemment ses convictions unitariennes, lors de l'inauguration de la seconde église unitarienne de New York. La supériorité de l'Unitarisme sur le Trinitarisme prévaudra tout du long de son sermon intitulé : "Le Christianisme unitarien plus favorable pour la pitié." Par de fines et profondes démonstrations, il atteindra le cœur du néophyte comme celui de l'averti. En fait, il est loin de promulguer un discours ésotérique, il s'adresse à toutes âmes sensibles pour la vérité, tant par les Ecritures, que par la révélation, et encore par la raison, qui est fondamentale à son sens, pour que l'esprit soit réceptif à Dieu, et puisse reconnaître l'homme Jésus dans sa pleine et véritable mesure. L'opposition est forte, mais le cœur est vaillant, et Channing n'en manque pas dans sa défense de l'Unitarisme, qu'il fait non par les armes, mais avec la foi. Ce dernier sermon, moins connu, mérite à mon sens, sa place, dans toutes les bibliothèques des unitariens chrétiens, qui sont en recherche de racines de l'Unitarisme, et surtout, en recherche de sens, pour leur propre foi… Didier Le Roux




    LE CHRISTIANISME UNITARIEN
    PLUS FAVORABLE POUR LA PIETE.

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    DISCOURS
    A L'ENGAGEMENT DE LA SECONDE 
    EGLISE UNITARIENNE CONGREGATIONALISTE.

    New York, 1826.

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    Marc XII. 29, 30 : "Et Jésus lui répond, Le premier de tous les commandements est, Ecoute, Ô Israël ; le Seigneur notre Dieu est l'unique Seigneur. Et tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de tout ton esprit et de toute ta force. C'est le premier commandement."

    Nous sommes rassemblés pour dédicacer cet édifice pour le culte du seule vivant et vrai Dieu, et pour l'enseignement de la religion de son fils, Jésus Christ. Par cette action nous ne comptons pas nous entretenir sur cette position de fond et pour ces murs d'une sanctification particulière ou d'une propriété mystérieuse. Nous ne devons supposer, qu'en, conséquence des rites maintenant accomplis, le culte offert ici sera plus acceptable que la prière prononcée dans l'isolement, ou le souffle de l'âme dans le milieu de l'entreprise, ou que les instructions délivrées de ce pupitre seront plus effectives, que si elles étaient prononcées dans une habitation privée ou en plein air. Par engagement, nous comprenons seulement une solennelle exposition du but pour le quel cet édifice est élevé, joint avec une prière pour Lui, qui est le seul qui puisse couronner notre entreprise avec succès, que notre projet puisse être accepté et rempli. Pour ces actes religieux, nous ne trouvons pas en effet de précepte dans le Nouveau Testament, et sur ce compte, quelques personnes ont douté alors de sa bienséance. Mais nous ne faisons pas partie de ceux qui considèrent les écrits de la Parole comme un livre de loi, à la lettre, par qui toute étape de la vie doit être gouvernée. Nous croyons sur l'autre position, que l'une des grandes excellences du Christianisme est, qu'il ne doit pas faire le commencement d'un compte de régulation, mais, qu'ayant donné de larges vues du devoir, et enjoignant un pur et désintéressé esprit, et nous laissant pour appliquer ces règles et exprimer cet esprit selon pour les indications du divin contrôle en nous, et selon les revendications et exigences de toutes les différentes conditions dans lesquelles nous sommes placées. Nous croyons, aussi, que la révélation n'est pas pour suspendre les autres modes d'instruction de Dieu, qu'elle n'est pas pour essayer de noyer, mais de rendre plus audible, la voie de la nature. Maintenant, la nature dicte la propriété d'un tel acte comme nous sommes ce jour rassemblé pour exécuter. La nature a toujours enseignée les hommes, sur l'achèvement d'une importante structure conçue pour le public et le bien permanent, pour solenniser sa première appropriation pour le but pour lequel elle a été élevée, selon un certain service spécial. Pour nous, il y a un sacrement dans cette moralité instinctive, dans cette loi écrite sur le cœur, et en énumérant révérencieusement les ordonnances de Dieu, cependant communiquées, nous ne doutons pas que nous serons apprécier son acceptation et bénédiction.
    J'ai dit, nous dédicaçons cet édifice pour l'enseignement de l'Evangile du Christ. Mais dans l'état présent de l'église Chrétienne, ces paroles ne sont pas alors définies comme un jour elles le seront. Cet Evangile est interprété différemment. La Chrétienté est divisée en différentes sectes. Quand, cependant, nous voyons une nouvelle maison de culte élevée, la question immédiatement posée, à quel mode d'enseignement le Christianisme est-il voué ? Je n'ai pas besoin de dire, que cette maison a été construite par cette classe de chrétiens, qui sont appelés Unitariens, et que l'Evangile sera ici enseigné, comme interprété par ce corps de croyants. Ceci vous tous le savez, mais peut-être que toutes les personnes présentes ne sont pas attachées à une très précise signification du mot, par lequel nos vues particulières du Christianisme sont désignées. L'Unitarisme a été rendu comme un terme avec tant de reproches, et avait été formulé avec de nombreuses tonalités pour alarmer, horrifier, indigner, et mépriser, que pour beaucoup, il laissait seulement une vague impression de quelque chose de monstrueux, d'impie, et périlleusement indescriptible. Pour tel, je voudrais dire, que cette doctrine qui est considérée par certains comme les dernières et plus perfectionnées inventions de Satan, la consommation de ses blasphèmes, la plus rusée arme jamais forgée dans les flammes de l'enfer élevée pour ceci : Qu'il y a Dieu, égale au Père, et que Jésus Christ n'est pas ce Un Dieu, mais son fils et messager, qui reçoit toutes ses passions et gloires par le Parent Universel, et qui vient dans le monde non pour revendiquer un hommage suprême pour lui-même, mais pour porter l'âme de son Père comme la Seule Divine Personne, le Seul Ultime Objet d'adoration religieuse. Pour nous, cette doctrine ne semble pas pour être provenue de l'enfer, mais pour descendre du trône de Dieu, et pour nous inviter et nous attirer là. Pour nous, elle semble pour venir des Ecritures, avec une voix forte comme le son de beaucoup d'eau, et comme articulée et éclairée, comme alors si Jésus, dans un corps formé, (228) la prononçait distinctement dans nos oreilles. Pour cette doctrine, et pour interpréter le Christianisme en cohérence avec ceci, nous consacrons cette édifice.
    Que nous désirons propager cette doctrine, nous ne le dissimulons pas. C'est un trésor, que nous ne souhaitons pas confiner à nous même, laquelle nous n'osons pas enfermer pour notre propre sein. Nous la considérons pour être donnée à d'autres, aussi bien que pour nous-mêmes. Nous devrions nous réjouir de la répandre par cette grande ville, pour la porter dans chaque habitation, et pour l'envoyer aussi loin et largement, pour lui donner la chance d'être établie dans notre pays. Puis-je demander, pourquoi nous souhaitons cette diffusion ? Nous n'osons pas dire, que nous ne sommes à aucun degré influencé par des sentiments sectaires, pendant que nous les voyons faire rage autour de nous, et nous devrions plus que les hommes, échapper totalement à une passion épidémique. Nous devrions espérer, cependant, que notre principal but et objectif ne sont pas sectaires, mais de promouvoir une pure et noble piété que celle qui prévaux maintenant. Nous ne sommes pas poussés de répandre nos idées par la simple conviction qu'elles sont vraies, pour qu'elles soient de nombreuses vérités historiques, métaphysiques, scientifiques, et littéraires, dont nous n'avons aucune anxiété à propager. Nous les considérons comme la lumière, plus importante, plus efficientes vérités, et cependant demandant un ferme témoignage, et sérieux efforts pour les faire connaîtrent. En parlant ainsi, nous ne signifions pas, que nous considérons nos idées particulièrement comme essentielles pour le salut. Il est très loin de nous cet esprit d'exclusion, l'esprit même d'anti-Christ, la pire de toutes les illusions de la Papauté et du Protestantisme. Nous ne tenons rien d'essentiel, sauf la simple et suprême consécration de l'esprit, du cœur, et de vivre pour Dieu et sa volonté. Cette intérieure et pratique dévotion pour l'Etre Suprême, nous sommes assurés, quelle est atteinte et acceptée sous toutes les formes du Christianisme. Nous croyons, cependant, qu'elle est favorable pour cette vérité que nous maintenons, comme par aucun autre système de foi. Nous considérons l'Unitarisme comme particulièrement l'ami de l'interne, vivante, pratique religion. Pour ceci, nous l'évaluons. Pour ceci, nous souhaitons le répandre, et nous ne désirons personne pour l'embrasser, mais qu'il sera vu et parviendra de cette céleste influence.

    Le caractère et la propriété du Christianisme unitariens, ses capacités pour promouvoir la vérité, profondément, et pour vivre avec piété, étant notre principal fond d'attachement à lui, et notre principale motivation pour dédier cette maison pour son inculcation. J'ai pensé proprement de faire ceci le sujet de mon présent discours. Je ne propose pas de prouver la vérité de l'Unitarisme par les autorités Scripturales, pour cette argumentation qui dépasserait les limites d'un sermon, mais de montrer sa tendance supérieure, pour former et élever le caractère religieux. Si, cependant, cette position peut-être soutenue, j'aurais offert aucun faible argument en support de la vérité de nos vues, pour le principal but du Christianisme est sans aucun doute, de promouvoir la piété, de nous amener vers Dieu, pour remplir nos âmes avec ce Grand Être, pour nous rendre vivant par lui, et un système religieux ne peut pas porter plus la marque d'une origine divine, que ses évidences, directions, et particulière adaptation pour accélérer et élever l'esprit de son Créateur. - En parlant ainsi du Christianisme unitarien alors promouvant la piété, je devrais pour observation, que j'utilise ce mot dans son propre et haut sens. Je n'implique pas toute idée qui porte le nom de piété, pour sous ce titre de superstition, de fanatisme, et formellement sont pour marcher à l'étranger et réclame le respect. Je ne signifie pas un anxieux encadrement de l'esprit, ni une abjecte et esclave crainte, ni une appréhension de l'enfer, ni une sévère censure pour les autres religions, mais l'amour filial et révérence envers Dieu, une gratitude habituelle, une joyeuse vérité, une obéissance qui est prête, bien qu'enfin, une imitation de la bienveillance toujours active et illimitée du Créateur.
    L'objet de ce discours me requière de parler avec une grande liberté des différents systèmes de religion. Mais ne me laissez pas être mal compris. Ne laissez pas ce qui n'est pas charitable, que je condamne, être mis à la lumière par mon accusation. Laissez être rappelé, que je parle seulement des systèmes, non de ceux qui les embrassent. En mettant en avant, en toute simplicité, ce qui me semble les bonnes ou mauvaises tendances des doctrines, je n'ai pas à l'idée de donner des standards ou des mesures par lesquelles estimer la vertu ou le vice de leurs enseignants. Rien ne serait être plus injuste, que de décider au sujet des caractères des hommes pour leurs particularités de foi, et la raison est évidente. De telles particularités ne sont pas les seules causes qui impriment et déterminent l'esprit. Notre nature est exposée à d'innombrables autres influences. Si, en effet, un homme était pour connaître rien sauf sa croyance, était pour ne rencontrer d'autres êtres humains, sauf ceux qui l'adoptent, était pour voir aucun exemple, et pour entendre aucune conversation, mais comme elle était formé par elle, si sa croyance était qu'il la rencontre partout, et pour exclure tout autre objet de pensée, alors sa personnalité pourrait être supposée de répondre d'elle avec une grande précision. Mais notre Créateur ne nous avait pas fait taire dans une si étroite école. L'esprit est exposé pour une infinie variété d'influences, et celles-ci sont multipliées avec les progrès de la société. Education, amitié, voisinage, opinion publique, l'état de la société, "le génie de l'endroit" où nous vivons, les livres, les évènements, les plaisirs, les affaires de la vie, les créations extérieures, le tempérament physique, et innombrables autres causes, sont perpétuellement torrentielles dans et sur l'âme des pensées, vues, et émotions, et ces influences sont si compliquées, si combinées particulièrement dans le cas de toute individualité, et si modifiées par les susceptibilités originelles et constitution de tout esprit, que sur la formation du caractère, pour déterminer précisément l'opération d'une opinion religieuse admettant cette foule d'influences, surpassant la puissance humaine. Une grande vérité peut être totalement neutralisée par d’innombrables impressions et excitations que l’esprit peut recevoir d’autres sources, et aussi une erreur peut être désarmée de beaucoup de sa puissance, par l’énergie supérieure des autres et meilleures vues, des premières habitudes, et des vertueux exemples. Rien n’est plus de commun que de voir une doctrine crue sans influencer la volonté. Ses efficaces dépendances, non sur l’assentiment pour l’intellect, mais sur la place quelle occupe dans les idées, sur la distinction et avec le précision avec laquelle elle est conçue, et pour ses ordres d’attentions, sans lesquels elle a aucune vie. Par conséquence, les opinions pernicieuses sont rarement tenues par les hommes de la plus illustrée vertu. Je ne signifie pas, alors, pour recommander ou condamner les systèmes, pour passer une condamnation sur leurs enseignants. Je connais la puissance de l’esprit pour sélectionner d’une multitude de systèmes, pour son utilisation habituelle, ces caractéristiques ou principes qui sont généreux, purs et nobles, et par ceux-ci, de soutenir sa vie spirituelle admettant la nominale profession de beaucoup d’erreurs. Je sais qu’une croyance est une idée, alors écrite dans un livre, et autrement, elle existe dans les esprits de ses défendeurs. Dans le livre, toutes les doctrines apparaissent en égales puissance et lisibles lignes. Dans l’esprit, beaucoup sont légèrement tracées et pour souvent répétées pour, que pendant d’autres sont inscrites comme avec des rayons de soleil, et sont le choix, constamment éclairé par l’âme. D’où, dans les bons hommes de dénominations opposées, une réelle entente peut subsister alors pour leurs vitaux principes de foi, et admettrent la division des langues, il peut y avoir unité d’âme, et la même adoration interne de Dieu. Par ces remarques, je ne dois pas signifier que l'erreur n’est pas mauvaise, ou qu’elle ne porte pas de pernicieux fruits. Ses tendances sont toujours mauvaises. Mais je signifie, que ces tendances s’exercent d’elles-mêmes admettant aussi beaucoup d’influences contrebalancées, que ses injurieuses opinions si souvent liées à la mort, par le désir de mélanger avec les idées communes, bien que les esprits ne les absorbent pas, et les modifient dans leurs propres substances, que le haut respect puisse, et doit d’être caressé par les hommes, dans laquelle foi nous pouvons trouver davantage de désapprobation. Dans ce discours je parlerai librement, et certain peuvent dire sévèrement, du Trinitarisme, mais je n’aime pas et honore pas un peu pour ses avocats, et m’opposant à ce que je juge être leurs erreurs, je ne voudrais sur aucune explication diminuer leur travail. Après ces remarques, j'ai l'espoir d'une sérieuse discussion et forte conviction ne seront pas construites dans la volonté de cette charité, dont je reconnais comme la première grâce pour notre religion.

    Je procède maintenant pour illustrer et prouver la supériorité du Christianisme Unitarien, comme des moyens de promotion d’une profonde et noble piété.

    I - L’Unitarisme est un système plus favorable pour la piété, en raison qu’il présente pour l’Unique esprit, et seulement une, Infinie Personne, à qui le suprême hommage doit être offert. Il ne doit pas affaiblir l’énergie du sentiment religieux, en le divisant parmi divers objets. Il rassemble et concentre l’âme sur Un Père d’une illimitée, indivisible, sans égale gloire. Pour Lui il enseigne l’esprit pour s’élever à travers tous les êtres. Autour de Lui, il rassemble toutes les splendeurs de l’univers. Pour Lui, il nous enseigne d’attribuer n’importe quel bien que nous recevons ou regardons, la beauté et magnificence de la nature, le don libre de la Providence, les capacités de l’âme, les engagements de la société, et spécialement la richesse de la grâce et de la rédemption, la mission, les puissances, et les influences bienveillantes de Jésus Christ. Tous les bonheurs, il les trace du Père, comme la seule source, et l’esprit, dont ces vues avaient pénétré, par l’intime association de toute la pensé existante et exaltant dans l’univers Une Infinie Parenté, peut et s’offre d’elle-même pour lui avec un profond et intense amour, pour qui la nature humaine est sensible. Le Trinitaire en effet professe de croire en un Dieu, et affirme de tenir fortement cette vérité. Mais trois personnes,ayant de distinctes qualités et relations, par qui une est envoyée et une autre l’envoie, une est donnée et l’autre est le donneur, de qui une intercède et l’autre entend l’intercession, de qui une prend chair, et l’autre jamais devient incarnée, - trois personnes, ainsi différenciées, sont comme vraiment trois objets pour l’esprit, comme si elles étaient reconnues pour être des divinités séparées, et, pour les principes de notre nature, elles ne peuvent pas agir sur l’esprit alors profondément et puissamment comme une Infinie Personne, de qui la seule bonté et tous les bonheurs sont attribués. De multiplier d’infinis objets pour le cœur et de le distraire. Pour éparpiller l’attention parmi trois égales personnes, et pour affaiblir la puissance de chacune. La plus stricte et absolue unité de Dieu, le plus facilement et le plus intimement toutes les impressions et émotions de piété circulant ensemble, et sont condensées dans une brillante idée, un palpitant amour. Aucun langage ne peut exprimer l’absorbante énergie de la pensée pour un Infini Père. Quand elle est vitalement implantée dans l’âme, elle grossie et gagne fortement pour toujours. Elle s’enrichie d’elle-même par toutes nouvelles idées de la parole ou des œuvres de Dieu, rassemblant l’hommage de toutes régions et tous âges et réalisant en elle-même tous les rayons de la beauté, gloire, et joie, dans la matérielle et spirituelle création.
    Mes auditeurs, comme vous devez ressentir la pleine influence de Dieu sur vos âmes, gardant secrètement, conservant non obscurément et sans tâche, cette fondamentale et glorieuse vérité, qu’il y a Un, et seulement Un Tout Puissant Agent dans l’univers, un Infini Père. Laissez habiter cette vérité en moi, dans son incorruptible simplicité, et j’ai la source et la substance pour une toujours croissante piété. J’ai un objet pour mon esprit vers lequel toutes choses me portent. Je sais où aller en première instance, pour qui bénir dans toute joie, pour qui adorer dans tout ce que j’observe avec attention. Mais les trois personnes revendiquent de moi un suprême hommage, et le revendiquent sur différents terrains, une pour envoyer une autre pour venir pour mon soulagement, et je suis divisé, distrait, perplexe. Mon frêle intellect est accablé. Au lieu d’Un Père sur qui m’appuyer et que je peux me reposer, mon esprit est déchiré d’objet en objet, et je tremble, moins parmi autant de revendications d’un suprême amour, je devrais retenir pour un ou un autre de son dû.

    II – L’Unitarisme est le système le plus favorable pour la piété, en raison qu’il tient en avant et qu’il préserve inviolée le spiritualité pour Dieu. "Dieu est un esprit, et ceux qui l'adorent, doivent l'adorer en esprit et en vérité." C'est d'une grande importance pour leur progrès et l'élévation du principe religieux, que nous devrions peaufiner de plus en plus pour nos conceptions de Dieu, que nous devrions séparer de lui toute matière appropriée, et n'importe laquelle qui est limitée ou imparfaite dans notre propre nature, que nous devrions le considérer comme une pure intelligence, un non mélangé et infini esprit. Quand il plaisait à Dieu de sélectionner le peuple Juif et les placer sous des interpositions miraculeuses, un des premiers préceptes qui leur était donné, et qu'ils ne devaient pas représenter Dieu sous aucun corps formé, ni de graver d'image, ou de portrait de n'importe quelle créature. Celui qui a suivi, le Christianisme, qui avait un de ses grands objets, de rendre la religion toujours plus spirituelle, par l'abolition du cérémonial et culte extérieure des temps anciens et par mise au rebut ces grossières modes de description de Dieu, par qui les anciens prophètes avaient recherchés de faire comprendre à un peuple qui n'était pas perfectionné.
    Maintenant, l'Unitarisme est en accord avec ce sublime but moral de Dieu. Il affirme sa spiritualité. Il l'approche sous aucun corps formé, mais alors un pur esprit, comme l'infini et universel Esprit. Sur l'autre position, c'est la directe influence du Trinitarisme pour matérialiser les conceptions du Dieu des hommes, et, en vérité, ce système est une rechute dans l'erreur des rudes et premiers âges, dans le culte d'un corporel Dieu. Cette importante particularité est, la doctrine d'un Dieu revêtu d'un corps et s'activant et parlant par un cadre matériel, - D'une Infinie Divinité mourant sur une croix, une doctrine qui sérieusement nous rappel la mythologie pour le rude paganisme, dans lequel un pieu Juif, dans le crépuscule de la religion mosaïque, s'en serait dérobé avec horreur. Il me semble pour moi aucune petite objection pour la Trinité, qui suppose Dieu prendre un corps dans le dernier et amélioré âge du monde, quand c'est évident, que telle une manifestation, si nécessaire pour tous, était particulièrement réclamé dans l'enfance de la race. L'effet pour un tel système en rabaissant l'idée de Dieu, en association avec les infirmités et passions de la Divinité humaine, est trop évident pour obliger à plus d'élucidation. Sur la supposition que la seconde personne de la Trinité devienne incarnée, Dieu pourrait être dit un être matérialisé, sur le même fond général, sur qui ceci est affirmé par l'homme, pendant que l'homme est matérialisé seulement par l'union de l'esprit avec le corps, et que l'affirmation de l'incarnation est, que Dieu prend un corps, par lequel il agit et parle comme l'âme humaine opère à travers ses organes corporels. Toute charnelle affection peut aussi être attribuée à Dieu. Par conséquence le Trinitaire, dans son plus solennel acte d'adoration, est entendu pour prier dans ces épouvantables mots : "Seigneur Dieu, délivre-nous, par le mystère de ta sainte incarnation, par ta sainte nativité et circoncision, par ton baptême, jeûne, et tentation, par ton agonie et sang transpirant, par la croix et passion, bon Seigneur délivre-nous." Maintenant, je vous demande de juger, pour les principes de la nature humaine selon les adorateurs qui adorent leur Dieu pour ses blessures et déchirures, son agonie, son sang, et sueur, les idées pour une existence corporelle et souffrance humaine qui ne pourront pas prédominer sur les conceptions purement d'essence spirituelle, si l'esprit, en s'accrochant de l'homme, ne perdra pas le Dieu, si une sûr méthode pour déprécier et dénaturer la pure pensée pour la Divinité pourrait avoir été crée. Que le Trinitaire est inconscient de cette influence pour sa foi, je le sais, ni, je ne l'accuse alors d'un crime. Toujours, elle existe et ne peut être trop déplorée.

    Les Romains Catholiques, croient pour la nature humaine et leur croyance, ayant vus, par peinture et statue, pour porter leur Dieu imaginé devant leurs yeux, et avait ainsi obtenus presque des vivifiantes impressions de lui, comme s'ils avaient vécus avec lui sur la terre. Les Protestants les condamnent pour l'utilisation de ces similitudes et représentations pour leur culte, mais, si un Trinitaire, il le fait aussi pour sa propre condamnation. Pendant que si, comme ils croient, il était seulement un devoir de s'incliner en adoration devant le vivant corps de son incarné Dieu, quelle possible culpabilité peut ici être dans l'adoration devant une image ou une sculpture en mémoire de ce même être ? Le corps du Christ peut alors être vraiment représenté par l'artiste, comme pour toute autre forme humaine, et son image peut être utilisée alors affectueusement et proprement, comme celle d'un ancien sage ou héros, pour le rappeler d'une manière vivante à l'esprit. Est-il dit, que Dieu avait expressément interdit l'usage des images dans notre culte ? Par qui cette prohibition avait été mise sur les Juifs ? Pour cette expresse raison, que Dieu ne s'était pas présenté de lui-même sous aucune forme à eux, qui admettait de représentation. Entend le langage de Moïse : "Prenez bien garde à vous-mêmes : puisque vous n'avez vu aucune forme, le jour où Jéhovah, à l'Horeb, vous a parlé du milieu du feu." Si, depuis cette période, Dieu avait pris un corps, alors la raison de prohibition aurait cessée, et s'il prend un corps parmi d'autres buts, qu'il soit possible d'assister la faiblesse de l'intellect, qui nécessite une forme matérialisée, alors une statue qui offre une si grande aide pour les conceptions d'un ami absent, n'est pas seulement justifié, mais semble être exigée.
    Cette matérialisation et incarnation de l'Etre Suprême, qui sont l'essence du Trinitarisme, ne peut pas, mais sont opposées pour une progression et exaltation de la piété. Les propriétés humaines et divines étant confondues dans un être, abaissent leur distinction. Les splendeurs de la Divinité sont diminuées. Les adorateurs d'une Déité incarnée, par la fragilité de leur nature, sont fortement tentés principalement de s'accrocher à ses attributs humains, et leur dévotion, au lieu de s'élever pour le Dieu Infini, en prenant le caractère particulier dont les infinies inspirations devient plutôt une affection humaine, portant davantage pour sa ferveur des idées de la souffrance, du sang, et de la mort. Il est en effet possible, que cet homme – Dieu (Pour utiliser l'étrange phraséologie des Trinitaires) puisse exciter l'esprit plus facilement qu'une pure divinité spirituelle, juste comme une tragédie, adressée pour l'œil et l'oreille, qui intéressera davantage la multitude que la contemplation pour le plus exalté caractère. Mais les émotions, qui sont les plus facilement élevées, ne sont pas les plus profondes, ou les plus endurantes. Cet amour humain, inspiré par un Dieu humain, bien, qu'au début plus fervent, ne peut grandir et se répandre dans l'âme, aussi bien que le révérencieux attachement, dont un infini, réveil spirituel du Père. Les conceptions raffinées de Dieu, bien que plus lentement atteintes, ont une plus rapide et toute pénétrante énergie, et admettant de perpétuelles accessions d'éclaircissement, de vie, et force.

    La vérité, nous sera dite, que le Trinitarisme avait converti seulement une de ses trois personnes dans une Déité humaine, et que les deux autres restent purement des êtres spirituels. Mais qui ne fait pas connaître, que l'homme s'attachera de lui-même plus fortement pour le Dieu qui est devenu un homme ? Ce n'est-il pas le devoir, si la Divinité avait pris un corps de le placer de lui-même dans l'élévation de la compréhension humaine et sympathie ? Que les idées des Trinitaires de la Divinité seront colorées davantage par sa visibilité, tangible, Dieu corporel, que par ces personnes de la Trinité, qui restent comparativement cachées dans leur invisible et spirituelle essence, est si accordant avec les principes de notre nature, alors il n'est pas nécessaire d'élaborer de preuve.

    Mes amis, tenons fermement la doctrine d'une pure Divinité spirituelle. C'est un des grands supports et instruments pour une vitale piété. Elle amène auprès de Dieu, comme aucune autre doctrine ne le peut. Un des principaux buts du Christianisme est, de nous donner un toujours progressif sens de la présence immédiate de Dieu, une conscience de lui dans nos âmes. Maintenant simplement autant que de corporels ou limités attributs entrent dans notre conception de lui, nous le retirons de nous. Il devient externe, un être distant au lieu d'un être vue et ressenti comme habitant dans l'âme elle-même. C'est un indiscutable bénéfice pour les doctrines pour une pure spiritualité de Dieu, qu'il puisse être considéré comme habitant, ressentant notre spirituelle nature, et, par cette communion avec nos esprits, il peut et devient l'objet d'une intimité et amitié, telles comme aucun être incarné peut appeler au devant.

    III – L'Unitarisme est le système le plus favorable pour la piété, en raison qu'il présente un distinct et intelligible objet d'adoration, un être, cette nature, reste sublimement inexpressible, et encore simple et suivi par la compréhension humaine. Un Père infini est le plus exalté de toutes les conceptions, et encore la moins déconcertante. Elle n'implique pas d'idées incongrues. C'est illustré par des analogies de notre propre nature. Elle coïncide avec cette fondamentale loi de l'intellect, par qui nous demandons une cause proportionnée aux effets. C'est aussi intéressant comme c'est rationnel, aussi que c'est une agréable particularité avec l'amélioration de l'esprit. La sublime simplicité de Dieu, comme il est enseigné dans l'Unitarisme, pour le soulagement de la compréhension de la perplexité, et le plaçant dans l'élévation de l'idée, et de l'affection, lui donnant une particulière puissance sur l'âme. Le Trinitarisme, sur l'autre position, est une énigme. Les hommes l'appellent un mystère mais il est mystérieux, pas comme les grandes vérités de la religion, par son immensité et splendeur, mais par les idées irréconciliables, qu'il implique. Un Dieu consistent de trois personnes ou agents, et étant si étrange, contraire à nos propres esprits, et tous les autres avec qui nous tenons un rapport, est autant brumeux, autant contradictoire, autant incongru, qu’il ne puisse pas être appréhendé avec cette distinction et cette sensation de réalité, qui appartient au système opposé. Tel un hétérogène être qui au même moment est un et beaucoup, qui inclus dans sa propre nature les relations du Père et du Fils, ou, dans d’autres paroles, est le Père et le Fils de lui-même, qui, dans une de ses personnes, est au même moment le Dieu Suprême et un homme mortel, omniscience et ignorant, tout puissant et impotent, tel un être qui est certainement le plus curieux et distrayant objet toujours présent dans la pensée humaine. Le Trinitarisme, au lieu d’enseigner un Dieu intelligible, offre pour l’esprit une étrange composition, d’hostiles attributs, supportant les pleines marques de ces âges sombres, quand le Christianisme répandait une légère lueur, et la malade et timide imagination, avec des prodiges et la surnaturelle création. En contemplant un être, qui présente une telle différence et inconsistants aspects, l’esprit trouve rien pour rester dessus, et, au lieu de recevoir de distinctes et harmonieuses impressions, est perturbé par de louches, et incertaines images. De communiquer avec un tel être doit être aussi dur, comme de converser avec un homme de trois différentes contenances, parlant avec trois différentes langues. Le croyant dans ce système doit l’oublier, quand il prie, ou il ne doit trouver aucun repos en dévotion. Qui peut le comparer, en distinction, réalité, et, puissance, avec la simple doctrine d’Un Infini Père ?

    IV - L’Unitarisme promeut une fervente et éclairée piété, par l’affirmation de l’absolue et non limitée perfection du caractère de Dieu. C’est le haut service qui peut être rendu pour l’humanité. De justes et généreuses conceptions de la Divinité sont la vraie richesse de l’âme. De répandre ceci est de contribuer plus efficacement, que pour tout autre organisme, pour le progrès et le bonheur de la création intelligente. D’obscurcir la gloire de Dieu est de faire une grande incorrection, comme de cacher le soleil. Le caractère et l’influence d’une religion peut répondre pour les vues quelle donne de la Divinité, et, il y a une pleine tendance dans ce système, qui manifeste les divines perfections plus resplendissantes, pour réveiller la plus sublime et la plus bénissant piété.

    Maintenant, le Trinitarisme a une fatale tendance de dégrader le caractère de l’Etre Suprême, par ses défenseurs, je suis sûr, ne prévoyant pas un tel mal. Par la multiplication de personnes divines, il prend de chaque la gloire de l’indépendance, de la toute suffisance, et de l’absolue perfection. Ceci peut être présenté dans différentes particularités. En premier lieu, l’idée que trois personnes dans la Divinité sont dans n’importe quel degré d’importance implique et nécessite l’imperfection de chacune, pendant que c’est évident, que si une personne divine possède toute puissance, sagesse, amour, et bonheur, rien ne sera gagné par elle-même ou pour la création par la jonction avec lui de deux, ou deux cent autres personnes. De dire qu’il y a besoin d’autres pour n’importe quel but ou dans n’importe quel degré, c’est de lui enlever de l’indépendance et toute suffisance majesté. Si notre Père dans le ciel, le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus Christ, n’est pas de lui-même suffisent pour toutes les volontés de sa création, si, par son union avec d’autres personnes, il peut accomplir n’importe quel bien dont il n’est pas lui-même égal, ou s’il ainsi acquière une revendication pour le moindre degré de vérité ou d’espoir pour qu’il n’est pas de lui-même autorisé par ses propres indépendants attributs, alors c’est évident, il n’est pas un être d’une infinie et absolue perfection. Maintenant, le Trinitarisme enseigne, que le haut bien accru pour la race humaine par l’existence de trois divines personnes, soutenant différentes fonctions et relations pour le monde, et il considère l’unitarien, alors subversif pour le fondement de l’espoir humain, en affirmant que le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus Christ est le seul et unique Dieu. Ainsi il déroge de son infinie gloire.

    En lieu qui suit, le Trinitarisme dégrade le caractère de l’Etre Suprême, en mettant ses disciples sous la nécessité de faire une distribution de fonctions et relations parmi les trois personnes, alors qui servira pour les désigner et les distinguer, pendant que dans cette voie il interfère avec les sublimes conceptions d’Une Infinie Personne, dans qui toutes gloires sont concentrées. S’il nous est réclamé d’adorer trois personnes, nous devons les voir dans différentes éclairages, ou elles seront seulement répétées de l’une de l’autre, seulement des noms et des sens présentant aucun objet, convoyant aucune affirmation de l’esprit. Un certain caractère approprié, certains actes particuliers, sentiments, et relations doivent être attribués à chacune. Dans d’autres mots, la gloire de tous doit être coupée, qu’une certaine spéciale distinction brillante puisse être jetée sur chacune. Par conséquence, la création est associée particulièrement avec la conception d’un Père, satisfaisant pour la culpabilité humaine, avec celle d'un Fils, momentanément satisfaisante, le plus noble travail de tous, est donné pour le Saint Esprit alors sa plus particulière oeuvre. Par une toujours plus fatale distribution, le travail de justice, la fonction de réclamer des droits pour la Divinité, abaisse particulièrement pour le Père, alors que l’excellence de l’interposition de la clémence habille particulièrement la personne du Fils. Par cette malheureuse influence du Trinitarisme, par qui les esprits communs ont au moins pas pu échapper, les splendeurs de la Divinité étant éparpillées parmi trois objets, au lieu d’un être uni en Un Infini Père, sont affaiblies, et lui, cet esprit est absolument et pratiquement possédé par son système, et peut à peine concevoir l’éclat de la gloire dans laquelle l'Unique Dieu s’offre lui-même pour un pieux croyant dans sa stricte unité.
    Mais le plus mauvais n’a pas été dit. J’observe, alors, en troisième lieu, que si Trois Divines Personnes sont crues, telle une administration ou gouvernement, alors le monde leur doit être attribué, comme leur sera fourni avec une sphère d’opérations. Aucun homme n’admettra trois personnes dans sa croyance, sans trouver une utilité pour elles. Maintenant c’est une évidente remarque, qu’un système de l’univers, qui prend part et demande plus qu’un Infini Agent, doit être sauvage, extravagant, et indigne du Dieu parfait, en raison qu’il n’y a aucune possibilité ou concevable bien, pour lequel pareillement un agent n’est pas adéquate. Par conséquence, nous trouvons le Trinitarisme ce connectant avec un procédé d’administration, extrêmement dérogatoire avec le caractère de Dieu. Il enseigne que le Père Infini voit satisfaisant de mettre dans les mains de nos premiers parents le caractère et condition de toute leur progéniture, et que, par un acte de désobéissance, toute la race porte avec eux dans l’être une corrompue nature, ou sont nés dépravés. Il enseigne que les offenses d’une courte vie, bien qu’elle est débutée et utilisée sous cette désastreuse influence, mérite infiniment la punition, et que la loi de Dieu, menace cette infinie pénalité, et ainsi que l’homme est accablé par la culpabilité, qu’aucune souffrance de l’univers puisse expier, dont rien sauf les souffrances d’un Etre Infini peut arrêter ! Dans cette condition, la nature humaine, le Trinitarisme trouve une sphère d’action pour ses différentes personnes. J’ai pris conscience que certains Trinitaires, en entendant cet établissement de leur système, puissent me reprocher, avec attribution d’eux les erreurs du Calvinisme, un système qu’ils exècrent beaucoup de nous-mêmes. Mais pas une des particularités du Calvinisme entrent dans cette exposition. J’ai donné que j’ai compris pour être les principales particularités du Trinitarisme, tout le monde au dessus, et les bienveillants professeurs de cette foi, qui reculent de son établissement, ne devraient pas blâmer le prédicateur, mais les croyances et les établissements par ces doctrines qui sont diffusées. Pour nous-mêmes, nous regardons avec horreur et griefs au dessus des vues du gouvernement de Dieu, qui sont naturellement et intimement unies avec le Trinitarisme. Elles prennent de nous notre Père dans le ciel, et substituent un sévère et injuste seigneur. Nous voyons pour le Trinitarisme, ne toucher à rien sauf les perfections de Dieu. Ne jetez aucune tâche sur cette impeccable pureté et excellence. Nous pouvons endurer toutes les erreurs sauf celles qui subvertissent ou dérèglent la conviction d’une bonté paternelle de Dieu. Nous ne consultons pas par nous-mêmes, un système, qui fait de l’existence une malédiction et qui enveloppe l’univers dans la tristesse. Vivons la joyeuse lumière, la libre et apaisante atmosphère, pour une libérale et rationnelle foi, les exaltantes et consolantes influences de la doctrine dont la nature est la révélation en harmonie bénie qui nous enseigne, pour un Père d’un amour illimité et inépuisable.

    V - L’Unitarisme est particulièrement favorable pour la piété, en raison qu’il s’accorde avec la nature, avec le monde autour et le monde en nous, et par cette accordance, il donne de l’aide à la nature, et reçoit de l’aide d’elle, en imprimant l’esprit avec Dieu. Maintenant, l’Unitarisme est en accordance avec la nature. Il enseigne un Père, et ainsi il fait pour la création, le plus qui soit exploré. La philosophie, en proportion comme elle étend ses vues de l’univers, regarde à l’intérieur, de plus en plus, une sublime et magnifique unité, et de multiples preuves, que toutes choses proviennent d’une intelligence, d'une puissance, d'un amour. La toute externe création proclame pour l’unitarien la vérité dans laquelle il se délecte. Ainsi fait sa propre âme. Mais aucune nature, ni l’âme ne porte une trace de Trois Divines Personnes. La nature n’est pas Trinitaire. Elle ne donne pas d’indication, pas d’idée d’un auteur tri-personnel. Le Trinitarisme est un système confiné, faisant taire dans un nombre de textes, dans un nombre de lignes, oui beaucoup de sages idées avaient échouées pour le découvrir. Ce n’est pas inscrit dans le ciel et la terre, ni né de tout volonté, ni retentissant et raisonnant par l’univers. Le soleil et les étoiles ne disent rien des trois personnes de Dieu. Ils parlent tous d’un Père que nous adorons. Pour nos oreilles, une et même voix vient de la parole et des œuvres de Dieu, une pleine et gonflée tension, grossissant clairement, bruyamment, plus saisissante comme nous écoutons, et avec une influence bénie soulèvent nos âmes pour le Tout puissant Père.

    Cette accordance entre nature et révélation augmente la puissance des deux sur l’esprit. Concourant comme elles le font dans une impression, elles rendent cette impression profonde. Pour les hommes de réflexion, la conviction de la réalité de la religion est extrêmement augmentée, par une perception de l’harmonie dans les vues d’elles qui viennent de sources variées. La révélation n’est jamais reçue avec une aussi intime persuasion de ses vérités, alors quand elle est vue pour contribuer pour les mêmes buts et impressions, pour qui toutes autres choses sont faites. Ce n’est pas une petite objection pour le Trinitarisme que c’est une doctrine isolée, qui révèle un Dieu qui, nous rencontre nulle part dans l’univers. Trois Personnes Divines, je le répète, sont trouvées seulement dans un peu de texte, et ceux-ci si sombres, que les doués esprits de Milton, Newton, et Locke, ne peuvent pas les trouver ici. La nature ne leur donne pas un chuchotement d’évidence. Et peuvent-elles être réelles et puissantes pour l’esprit comme pour un Père, dont la contrainte générale et la voie commune de l’Ecriture, et la voie universelle de la nature nous appelle pour adorer ?

    VI - L’Unitarisme favorise la piété pour l’ouverture de l’esprit pour de nouvelles et toujours plus élargies vues de Dieu. Enseignant, comme il le fait, le même Dieu avec la nature, il nous emmène pour le voir dans la nature. Il ne doit pas nous enfermer dans la parole écrite, précieuse comme est cette manifestation de la Divinité. Il considère la révélation, non indépendante des autres significations d’instructions, non pas comme un agent séparé, mais comme une part du grand système de Dieu pour éclairer et élever l’âme humaine, comme intimement jointe avec la création et la providence, et essayant d’être en accord avec elle, et comme donnée pour nous assister en lisant le volume de l’univers. Ainsi, l’Unitarisme, où son authentique influence est expérimentée, tend pour enrichir et fertiliser l’esprit, ouvrir pour de nouvelles lumières, où elles se présentent, et, par combinaison, rendre plus efficaces, les affirmations d’une connaissance religieuse. Le Trinitarisme, sur l’autre position, est un système, qui tend de confiner l’esprit, de le faire taire dans ce qui est écrit, de diminuer ses intérêts dans l’univers, et peu disposé pour emmener et élargir les vues des oeuvres de Dieu. Cet effet, sera expliqué, en premier lieu, si nous considérons, que les particularités du Trinitarisme diffèrent tant des enseignements de l’univers, que celui qui s’attache à un, sera dans la danger de perdre son intérêt pour l’autre. Les idées de Trois Personnes Divines, pour Dieu s’habillent lui-même dans la chair, pour l’infini Créateur sauvant de la culpabilité en transférant leur punition pour un être innocent, ces idées ne peuvent pas être facilement faites pour coaliser dans l’esprit avec ce que la nature donne, d’un Dieu Tout Puissant et Incommensurable Esprit, dont aucun monde peut contenir, et qui dirige dans le sein de l’humanité le prononce un crime, pour porter la peine d’un vice sur le pur et l’inoffensif.

    Mais le Trinitarisme à toujours une plus positive influence en fermant l’esprit contre l’amélioration des vues de l’univers. Il tend à jeter l’obscurité sur les oeuvres de Dieu. Imaginant que le Christ est pour être exalté, en lui donnant un exclusif agencement en éclairant et recouvrant l’humanité, il est tenté de désobliger d’autres lumières et influences, et, pour le but de magnifier son salut, il incline pour exagérer l’assombrissement et le désespoir de la condition présente de l’homme. L’esprit ainsi marqué, naturellement aminci pour ces vues de la nature et de l’entreprise, qui renforcera les idées de désolation et de culpabilité. C’est tenté d’aggraver la misère de la vie, et pour voir dans elle seulement les marques du déplaisir divin et de la juste punition, et d’oublier leurs évidentes aptitudes et désignations pour réveiller nos puissances, exercer nos vertus, et renforcer nos égalités. De la même manière, il exagère les péchés des hommes, que le besoin d’un rachat éternel puisse être maintenu. Certains des plus affectueux symboles de l’amour de Dieu en et autour de nous sont obscurcis par cette sombre théologie. Les glorieuses facultés de l’âme, ses hautes aspirations, sa sensibilité pour le grand et le bien dans la personne, sa sympathie avec désintérêt et souffrante vertu, sa bienveillance et religieux instincts, sa soif pour un bonheur non trouvé sur la terre, celles-ci sont oubliées ou jetées dans l’ombre, qu'elles ne puissent pas perturber la persuasion de la corruption naturelle des hommes. Ingénieusement, il est employé pour désobliger ce qui est intéressant dans la personnalité humaine. Pendant que les élans de passion dans l’enfant nouveau-né sont gravement exhortés comme des indications pour une native et originelle corruption, ses élans d’affections, ses sourires doux, ses innocentes et irrésistibles joies, ses excellences et beautés, ne sont pas énumérés pour, bien qu’ils plaident plus avec éloquence son alliance avec les hautes natures. Les affections sacrées et tendres de la maison, les infatigables surveillances et allègres sacrifices des parents, la révérencieuse et reconnaissante assiduité des enfants, lissant la décente d’un père ou d’une mère vers la tombe, l’amour d’une femme plus puissant que la mort, l’amitié des frères et sœurs, l’anxieuse affection, qui tend autour du lit du malade, la voie constellée, qui souffle confortablement dans le cœur pleureur, toutes les engageantes fonctions, qui répandent une sereine lumière à travers nos habitations, ceux-ci sont mis à distance minutieusement pas les avocats de ce système, ainsi pour inclure aucune réelle vertu, ainsi alors pour consister avec une naturelle aversion de bonté. Même les efforts plus élevés de la bienveillance désintéressée, et la moins affectueuse expression de piété, si elle n’est pas en lien avec ce qui est appelé "la vraie foi", sont, par les plus rigides doctrines auxquelles je suis opposées, résolues dans la passion pour distinction, ou quelques autres marchant par la "nature insatisfaite." Ainsi, le Trinitarisme et ses gênantes doctrines ont une tendance pour mettre en vieil les bontés de Dieu, pour souiller ses équitables travaux, pour assombrir le lustre de ces innocentes et pures affections, dont les semblables souffles divins dans l'âme, pour briser la beauté et fraîcheur de la création, et dans cette voie pour consumer même le nutriment de la piété. Nous savons et nous réjouissons de connaître, que dans des multitudes cette tendance est contrebalancée par un joyeux tempérament, une bienveillante nature, et une force de gratitude, qui éclatent les entraves d'un mélancolique système. Mais par la nature de la doctrine, la tendance existe et elle est forte, et une impartiale observance les discernera souvent résultant en assombrissant, dépréciant les vues de la vie et de l'univers.

    Le Trinitarisme, pour ainsi tend d'exclure, d'amener et d'élargir les vues de la création, semble pour rassembler non seulement, pour refroidir le cœur, mais pour injurier la compréhension jusqu'au moral, et la vérité religieuse est concernée. Il ne peut pas envoyer l'esprit loin et largement pour de nouveaux et élevés objectifs, et nous avons ici une explication de la stérilité et faiblesse, par lesquels les écrits théologiques sont si généralement marqués. Ce n'est pas mystérieux que la théologie qui prévaux devrait vouloir la vitalité et l'élargissement de la pensée, pendant quelle n'est pas accordée avec les perfections de Dieu et l'esprit de l'univers. Il n'a pas ses racines dans la vérité éternelle, mais il est limité, techniquement, système artificiel, la fabrication des âges non raffinés, et en conséquence incapable d'être mélangé avec les nouvelles lumières qui sont répandues sur les plus intéressants objets, et pour être incorporé avec les résultats et les anticipations des originaux et progressifs esprits. Il se tient à part dans l'esprit, au lieu de saisir sur de nouvelles vérités, et les convertissant dans sa propre substance. A quelques exceptions, la théologie trinitaire du présent jour est grandement déficiente dans de nouvelles idées, et dans la puissance pour réveiller l'intérêt et pour rassembler les intellectuelles et spirituelles volontés des hommes pensants. Je vois, en effet les supérieurs esprits et grands esprits parmi les adhérents du système prévalent, mais ils semblent pour moi pour remuer dans les chaînes, et pour totalement appauvrir leur haute fonction et pour additionner à la richesse de l'intellect humain. Dans la discussion théologique, ils me rappellent plus de Samson moulant dans l'étroit moulin des philistins, que pour cet intimidé champion achevant les victoires pour le peuple de Dieu, et élargissant les limites de leur héritage. Maintenant, un système qui a une tendance pour confiner l'esprit, et pour affaiblir sa sensibilité pour les manifestations de Dieu dans l'univers, il est aussi éloigné d'être inamical pour la piété, pour un brillant, joyeux, prometteur, et toujours croisant amour pour le Créateur. Il tend pour généraliser et nourrir une religion d'un ton mélancolique, telle, j'appréhende, alors maintenant prédominant dans le monde Chrétien.

    VII - L'Unitarisme promeut la piété, par la haute place qu'il assigne à la piété dans la personnalité et le travail de Jésus Christ. Qu'est-ce que l'Unitarien considère comme la principale gloire de la personnalité de Jésus ? Je réponds, sa dévotion filiale, la totalité avec laquelle il se lève pour la volonté et les biens veillant buts de Dieu. La piété de Jésus, qui, sur les suppositions de sa Suprême Divinité, est une subordonnée et incongrue, est, pour nous, ses importants et croissants attributs. Nous plaçons son "unité avec Dieu," non une inintelligible unité d'essence, mais dans l'unité de l'esprit et du cœur, dans la force de son amour, par lequel il renonçait à tous les intérêts séparés, et s'identifie lui-même avec les plans de son Père. Dans d'autres paroles, la piété filiale, la consécration de tout son être pour la bienveillante volonté de son Père, c'est l'esprit de gloire dans lequel il s'est toujours offert pour nos esprit, et, par conséquence, toute notre sympathie avec lui, tout notre amour et vénération envers lui, sont ainsi beaucoup formés de délices dans le pieu caractère, et toute notre connaissance de lui, nous incite pour se livrer de même pour notre entière nature et existence pour Dieu.

    En dernier lieu, l'Unitarisme enseigne, que le haut travail ou fonction du Christ est, pour appeler en avant et renforcer la piété dans le sein humain, et ainsi il place au devant nous ce caractère comme la principale acquisition et fin de notre être. Pour nous, la grande gloire de la mission du Christ consiste avec la puissance par laquelle il "révèle le Père" et établi le "Royaume ou Règne de Dieu" dans l'âme. Par le couronnement dont il porte, nous comprenons l'immensité avec la quelle il prend plaisir dans la plus bienveillante œuvre dans l'univers en rapportant l'esprit perdu pour la connaissance, l'amour et la sincérité pour son Créateur. Avec ces vues les fonctions du Christ, rien ne peut nous sembler aussi important comme une éclairée et profonde piété, et nous sommes rapidement pour le voir, la perfection et le bonheur pour qui la nature et rédemption conjuguées nous assignent.

    Maintenant, nous maintenons, que le Trinitarisme obscure et affaibli ces vues de la personnalité et du travail du Christ, et ceci est fait, par insistance sur d'autres d'une incongrue, discordante nature. Il diminue la puissance de sa piété, le rendant, comme il le fait, l'Etre Suprême, et le plaçant comme égal sur le trône de son Père, il tourne l'esprit de lui comme le docile adorateur de Dieu, jetant dans l'ombre, alors pour toutes œuvres inférieures, son auto refus d'obéissance, et nous donne d'autres terrains pour le révérer, que son entier hommage, son fervent amour son authentique sacrifice pour le Parent Universel. Il y a une pleine incongruité dans la croyance de cette Divinité Suprême avec les idées d'une filiale piété et exemplaire dévotion. L'esprit qui avait été enseigné pour le considérer alors pour une égale majesté et autorité avec le Père, ne peut pas facilement ressentir la puissance de sa personnalité comme l'affectueux fils, qui rencontre et était pour faire la volonté du Père. L'esprit habitué pour faire de lui l'ultime objet de culte, ne peut pas facilement reconnaître en lui, le motif de culte, le guide pour le Plus Haut. Les personnalités sont incongrues, et leur union rendant perplexe, ainsi que ni l'un ni l'autre emploi sa pleine énergie sur l'esprit.
    Le Trinitarisme ainsi exhibe le travail aussi bien que la personnalité du Christ, en éclairant moins favorablement la piété. Il ne fait pas la promotion de la piété sa principale finalité. Il enseigne que le plus formidable obstacle pour le bonheur de l'humanité se trouve être dans la revendication et menace de la divine justice. D'où, il mène les hommes pour primer davantage le Christ pour répondre à ces revendications et évitant ces menaces, que pour réveiller dans l'âme humaine des sentiments d'amour envers son Père dans le ciel. Par conséquence, des multitudes semblent de primer le pardon plus que la piété, et pensent qu'il est un grand avantage d'échapper, par les souffrances Christ, au feu de l'enfer, que de recevoir, par son influence, l'esprit du ciel, l'esprit de dévotion. Est-il, tel un système propitiatoire pour une généreuse et toujours croissante piété ?

    Si je peux être autorisé pour un court écart, je voudrais conclure cette idée avec l'observation générale, que nous jugeons nos vues de Jésus Christ plus intéressante que celles du Trinitarisme. Nous ressentons que nous devrions perdre beaucoup, en échangeant la personnalité distinctement, et l'esprit rayonnant avec qui il s'offre lui-même pour nos esprits, la confuse et incorrigible gloire avec qui ce système élabore pour l'investir. Selon l'Unitarisme, il est un être qui peut être compris, par un esprit, une nature consciencieuse. Selon la loi opposée, il est un inconvenable composé de deux plus différents esprits, joints dans une personne, une infinie, et nature infinie, une âme faible et ignorante, et une âme toute puissante et omniscience. Et, est-il tel un objet approprié pour la pensée et l'affection humaines ? – J'ajoute, alors une autre importante considération, que pour nous, Jésus, au lieu d'être la seconde de trois obscures et inintelligibles personnes, est en premier et proéminant dans la sphère dans laquelle il agit, avec aucune égalité ou rivalité. Pour nous, il est le premier des fils de Dieu, le Fils, particulièrement prêt et apprécié par le Père. Il est le premier de tous les pasteurs de la bienveillance et bénédictions de Dieu, et par lui le large flot du généreux courant pour la création. Il est le premier dans la faveur et l'amour de Dieu, le plus accepté des adorateurs, le plus dominant des intercesseurs. Dans ce puissant univers, cadré pour être un miroir de son Auteur, nous nous tournons vers une place dans nos âmes, en second seulement pour le Père Infini, pour qu'il dirige lui-même notre suprême affection.

    VIII - Je procède maintenant pour un grand sujet. L'Unitarisme promeut la piété, en rassemblant le besoin de l'homme comme un pécheur. Les besoins du pécheur peuvent être expliqués presque par une parole. Il veut l'assurance de la piété de son Créateur. Il veut la promesse que Dieu est Amour dans sa pure forme, et immuable, que l'ingratitude et la désobéissance de ces créatures ne puissent pas passer au dessus de celle-ci. Cette inexorable amour, qui est dans les Ecritures est dénommé grâce, et qui n'attend pas pour mériter de l'appeler en avant, mais coule pour le plus coupable, elle est le seul espoir du pécheur, et il est ajusté pour appeler en avant la plus dévouée gratitude. Maintenant, cette grâce ou piété de Dieu laquelle regarde l'égaré, et le reçoit et le béni. Le retour de l'enfant est-il proclamé par cette foi que nos défendons, dont une clarté et énergie, qui ne peut pas être surpassée. L'Unitarisme ne sera pas guetté pendant un moment pour des erreurs communes, par qui son clair attribut est obscurci. Il ne sera pas entendu pour une vindicative colère de Dieu, qui doit être désaltérée par le sang, ou d'un justice, qui aveugle sa piété avec une chaîne de fer, jusqu'à ce que ses demandes soient satisfaites en totalités. Il ne sera jamais entendu que Dieu nécessite n'importe quelle influence étrangère pour réveiller sa pitié, mais enseigne, que les envies de la tendresse humaine des parents envers un enfant égaré, sont tout sauf un feinte image de la profonde et toujours fleurissante compassion de Dieu envers l'homme errant. Cet essentiel et inchangeable propension du divin Esprit de Dieu pour pardonner, le nom Unitarien brille par toute la Parole de Dieu, et spécialement dans la mission et révélation de Jésus Christ, qui vivait et mourait pour rendre manifeste l'inépuisable plénitude de la grâce divine, et, aide par révélation, il voie cet attribut de Dieu en tous lieux, autour de lui et en lui. Il le voit dans le soleil qui brille, dans la pluie qui retourne pour l'esprit en proportion de son retour pour Dieu et devoir, dans le sentiment de compassion, qui se répand spontanément dans le sein humain envers le tombé et perdu, et dans l'instinct moral, qui nous enseigne de chérir cette compassion comme un principe sacré, comme une émanation de l'infini amour de Dieu. En vrai, l'Unitarisme affirme ainsi fortement la piété de Dieu, que le reproche jeté sur lui est, qu'il prend du pécheur la mort pour punition, - Un reproche totalement sans fondement, pendant que notre système enseigne que la piété pour Dieu n’est pas une instinctive tendresse, qui ne pourra pas infliger de douleur, mais un amour plein de sagesse, qui désire la vérité, et une durable bonté pour son objet, et par conséquence désire d’abord pour le pécheur cette restauration de la pureté, sans qui, la honte, et la souffrance, et la séparation avec Dieu et le ciel sont nécessaires et inaltérables pour sa condamnation. Ainsi, l’Unitarisme tient en avant la grâce et la bonté du pardon de Dieu plus resplendissants, et par cette manifestation de lui, il tend pour réveiller une tendre et confidente piété, un ingénieux amour qui pleure ce qui avait offensé, une ingénieuse aversion pour le péché, non en raison que le péché porte la punition, mais en raison qu’il sépare l’esprit de son clément Père.
    < Maintenant, nous disons pour le Trinitarisme, qu’il obscurci la pitié de Dieu. Il fait ainsi dans différentes voies. Nous avons déjà vu, qu’il donne de telles vues du gouvernement de Dieu, que nous pouvons à peine concevoir pour cet attribut alors entrant dans sa personnalité. La pitié, pour le pécheur est le principe de l’amour ou bienveillance dans sa haute forme, et sûrement ceci ne peut être exprimé par un être qui nous amène dans une existence endettée d’une héréditaire culpabilité, et qui traite avec une interminable punition et malheur les héritages d’une aussi frêle et faible nature. Avec un tel Créateur, l’idée de pitié ne peut pas fusionner et je dirais plus, que, sous un tel gouvernement, l’homme n’aura pas besoin de pitié, pendant qu’il n’aura aucune allégeance pour un tel faiseur, et ne pourra pas, bien sûr, être en accord avec le culpabilité pour la violenter, et, sans culpabilité, ni grâce ou pardon seraient recherchés. La sévérité de ce système le placerait sur le terrain d’un être injurié. Le faux se lierait sur le côté du Créateur.

    En prochain point, le Trinitarisme obscurci la pitié de Dieu par la manière dans laquelle il est supposé pour pardonner pour être communiqué. Il enseigne, que Dieu remet la punition à l’offenseur, en conséquence de recevoir une équivalence d’une innocente personne, que les souffrances du pécheur sont éliminées par une pleine satisfaction faite de la justice divine, dans les souffrances d’un substitut. Est-ce en ceci "la qualité de la pitié?" Que signifie pardonner si ce n'est pas la réception d'un enfant qui revient par la force de l'amour parental ? Cette doctrine investi le Sauveur avec une déclaration de mérite, avec un droit de rémission pour les péchés de disciples, et représente la réception de Dieu pour le pénitent, alors une récompense due pour la valeur de son fils. Est-ce la pitié, qui affirme libre et immérité amour, rendant plus manifeste, plus resplendissant, par l'introduction du mérite et droit comme le fond de notre salut ? Peut-il être inventé un sûr expédient pour obscurcir sa liberté, et pour tourner la gratitude du pécheur de la souveraineté que demande, pour le souffrant qui offre toute satisfaction pour sa culpabilité ?

    Je sais qu'il est dit, que le Trinitarisme magnifie la pitié de Dieu, en raison qu'il enseigne, que lui-même fourni le substitut pour la culpabilité. Mais, je répète que le travail ici attribué pour la pitié n'est pas le plus approprié, ni le plus convenable pour le manifester et l'imprimer sur le cœur. Ceci peut-être rendu apparent par de familières illustrations. Supposez qu'un créditeur, par compassion pour certains débiteurs devrait persuader un bienveillant et opulent homme de payer à leur place. Ne devraient-ils pas, les débiteurs, voir une grande pitié, ou ressentir une favorable obligation, s'ils étaient pour recevoir une libre et gratuite libération ? Et leur principale gratitude ne devait-elle pas errer au dessus du créditeur pour le bienveillant substitut ? Ou bien, supposez qu'un parent ne souhaitant pas infliger une pénalité sur un désobéissant mais faible enfant, devrait persuader un enfant fort pour la porter. L'offenseur ne devrait-il pas voir une plus touchante pitié dans un libre pardon, se répandant immédiatement du cœur d'un parent, que dans cette indirecte rémission ? Et ne sera-t-il pas tenté de se tourner pour le puissant amour de la souffrance généreuse ? Dans ce procédé de substitution, de qui le Trinitarisme se vente si fortement, la pitié de Dieu devient compliquée avec les droits et mérites du substitut, et il est une plus distante raison de notre salut. Ces droits et mérites sont plus proches, plus évidents, et plus que divise la gloire avec la grâce et la pitié dans notre délivrance. Ils détournent l'esprit de la Divine Bonté, alors la seule source de son bonheur, et le seul rock de son espoir. Maintenant, c'est de priver la piété d'une de ses principales affirmations de croissance et de joie. Rien ne devrait tenir entre l'âme et la pitié de Dieu. Rien ne devrait partager avec la pitié le travail de notre salut. L'intercession du Christ doit toujours être considérée comme une application de l'amour et de la pitié, non comme une demande de justice, non comme une revendication de mérite. Je suis dans le deuil de dire que le Christ, comme maintenant vu par des multitudes, cache le lustre de cet attribut dont il est son grand but pour présenter. Je crains, que pour beaucoup, Jésus use de la gloire pour une plus séduisant, tendre pitié, que son Père, et qu'il soit considéré comme la ressource principale du pécheur. Est-ce la voie pour vivifier la piété ?
    Les Trinitaires imaginent, qu'il y a une vue de leur particulier système convenable pour donner la paix et espoir pour le pécheur et par conséquence pour promouvoir la gratitude et l'amour. C'est cela. Ils disent, qu'il fourni un Infini substitut pour le pécheur, que dont rien peut donner un grand relief pour la conscience endettée. Jésus, étant la seconde personne de la Trinité, était-il capable de rendre une infinie satisfaction pour le péché, et qu'ils demandent, dans l'Unitarisme, peut-il être comparé avec ceci ? J'ai le temps seulement pour fournir deux brèves réponses. En premier, cette doctrine pour une infinie satisfaction, subvertie, à la place de construire, l'espoir, en raison qu'il argue une sévérité infinie pour le gouvernement qui l'exige. Dois-je croire que le Trinitarisme enseigne que la moindre transgression, pas même le premier péché pour le naissant esprit de l'enfant, puisse être attribué sans une infinie expiation, je devrais ressentir de moi-même vivre sous une affreuse inexplicable législation, sous des lois écrites, aussi bien que Draco dans le sang, et, au lieu de remercier le Souverain pour fournir un infini substitut, je devrais trembler pour les attributs que rendent cet expédient nécessaire. C'est communément dit, qu'un rachat infini est nécessaire pour rendre le dû, et profondes impressions pour le mal du péché. Mais, celui qui cadre toutes les âmes, et leur donne leurs susceptibilités, ne devrait pas être pensé si nécessaire, bon, et sage, alors pour constituer l'univers, qui demande ainsi une épouvantable et dégradante méthode pour forcer l'obéissance, comme les souffrances pénalisante d'un Dieu. Cette doctrine, pour un Infini substitut souffrant le peine du péché, pour manifester la colère de Dieu contre le péché, et ainsi pour supporter son gouvernement, est, je crains, si familier pour nous tous, que son énergique personnalité est négligée. Laissez-moi, alors, la mettre devant vous, dans de nouveaux termes, et par une nouvelle illustration, et si, ainsi faisant, je peux blesser les sentiments de certains qui m'entendent, je les sollicite pour croire, que je le dois avec douleur, et non par impulsion, mais par un désir de servir la cause de la vérité. Je suis en effet conscient, que des multitudes qui professent cette doctrine, ne sont par habitude de la porter dans leurs esprits, distinctement dans cette lumière, qu'elles ne doivent pas ordinairement considérer la mort du Christ comme une criminelle exaction, comme une infinie et affreuse infliction de justice, alors essayant de montrer, que sans une infinie satisfaction, elles doivent rien espérer de Dieu. Leurs esprits tournent, par un généreux instinct, de ces épouvantables vues, pour l'amour, le désintéressement, la grandeur morale et beauté pour le souffrant, et par de telles pensées, elles font de la croix une source de paix, gratitude, d'amour, et d'espoir, ainsi favorisant un délicieux exemple pour la puissance de l'esprit humain, pour l'attacher de lui-même pour ce qui est bon en purifiant dans le plus irrationnel système. Pas qu'un peu, il peut être frissonné pour l'illustration que j'ai ici donné, mais dans ces respects, c'est injuste pour le doctrine populaire du rachat, que je ne peux pas discerner. Je suis en deuil de choquer certains Chrétiens de n'importe quel nom, mais je pleure pour la corruption de notre foi commune, que j'ai ressenti moi-même maintenant assurément pour exploser.
    J'ai une seconde objection pour cette doctrine de l'Infini rachat. Quand elle est minutieusement examinée, et libérée du langage ambigu, elle disparaît dans l'air. C'est une totale désillusion. Le Trinitarisme me dit, que, selon pour ce système, nous avons un infini substitut, que l'Infini Dieu était heureux de tenir notre punition, et par conséquence, ce pardon est rendu sûr. Mais, je lui demande, Dois-je vous comprendre ? Signifiez le même hier, aujourd'hui, et pour toujours, que cet être Eternel réellement porte la faute de mon péché, réellement souffre et meurt ? Tout homme pieux, quand pressé par cette question, répond, non. C'est alors, rendre la doctrine pour affirmer le rachat Infini ? Pourquoi ceci, que Dieu prend en union avec lui-même notre nature, qui est un corps humain et âme, et ceux-ci portent la souffrance de nos péchés, et, par son union avec ceux-ci, Dieu peut-il être dit pour l'avoir portée lui-même. Ainsi ce vaniteux système va par le monde. L'Infinie victime prouve pour être le frêle homme, et que Dieu partage dans le sacrifice, n'est qu'une pure fiction. Je demande avec solennité, cette doctrine peut-elle donner un moment facile pour la conscience d'un impartial, homme pensant ? Ne rend t-elle pas troublée tout espoir, en rendant toute la religion suspicieuse et incertaine ? Je suis contraint de dire, que je ne voie dans elle aucune impression de majesté, ou sagesse, ou amour, rien de digne pour un Dieu, et quand je la compare avec cette noble foi, qui dirige pour nos yeux et cœurs pour l'essentielle pitié de Dieu, comme notre seul espoir, je suis stupéfait que n'importe le quel devrait attribuer à elle, une efficacité supérieure, alors une religion pour les pécheurs, comme une affirmation pour remplir l'âme avec une pieuse vérité et amour. Je sais, en effet, que certains diront, qu'en donnant un infini rachat, je me prive moi-même de tout espoir d'une faveur divine. Pour autant, je voudrais dire, vous rendez mauvaise la pitié de Dieu. Sur cette pitié, je me jette sans aucune crainte. Je désire en effet Christ pour intercéder pour moi. Je considère cette relation pour moi comme une sorte de nomination de Dieu. Par lui, "grâce et vérité viennent" pour moi du Ciel, et, je regarde en avant pour son amitié, comme parmi les hautes bénédictions pour tout mon futur être. Mais, je ne peux pas, et je n'ose pas lui demander, pour offrir une infinie satisfaction pour mes péchés, pour apaiser la colère de Dieu, pour réconcilier le Père Universel pour son propre rejeton, pour ouvrir pour moi ces armes de Divine pitié, qui m'avaient encerclées et portées du premier moment de mon être. L'essentielle et démesurée pitié de mon Créateur, est le fondement de mon espoir, et un plus large et plus sûr univers ne peut pas me donner.

    IX - Je procède maintenant pour la dernière considération, dont les limites de ce discours me permettront d'exhorter. Elle a été plus qu'une seule suggestion, mais mérite pour être distinctement statuée. J'observe, alors, que l'Unitarisme promeut la piété, en raison qu'il est une rationnelle religion. Par ceci, je ne signifie pas que ses vérités puissent être pleinement comprises, alors qu'il n'y a pas un objet en nature ou religion, qui n'avait pas d'innumérables connexions et relations hors de notre compréhension ou pensée. Je signifie, que ses doctrines sont en accord avec l'une ou l'autre, et avec tout l'établissement de la vérité. L'Unitarisme est en harmonie avec les grands et clairs principes de la révélation, avec les lois et puissances de la nature humaine, aspirations de l'âme, et avec les lumières dont l'univers jette sur le caractère de son auteur. Nous pouvons tenir cette doctrine sans propre contradiction, sans rébellion contre nos rationnelles et puissantes morales, sans mettre au silence le divin contrôle dans le cœur. Et c'est un inexplicable bénéfice, pour une religion ainsi qui coïncide avec la raison, la conscience, et tout notre être spirituel, ayant les fondements de l'empire universel dans le cœur, et le cœur, ressentant aucune résistance dans l'intellect, produisant lui-même totalement, joyeusement, sans doute ou crainte, pour l'amour de son Créateur.
    Pour le Trinitarisme, nous rejetons, ce qui lui a toujours été opposé, qu'il contredit et dégrade la raison, et ainsi expose l'esprit pour les pires désillusions. Certains de ses défenseurs, plus courageux que prudents, ont toujours recommandés "la prostration de la compréhension" comme préparatoire pour sa réception. Sa principale doctrine est un outrage pour notre rationnelle nature. Ses trois personnes qui composent son Dieu, doivent, soit, être gaspillées dans trois insignifiantes directions, dans des sons ne signifiants rien, ou elles sont trois consciencieux agents, qui ne peuvent, par aucun art humain ou dispositif métaphysique, et font pour coaliser dans un être, qui ne peut pas réellement être vu comme un esprit, ayant une conscience et une volonté. Maintenant, un système religieux, le cardinal principe pour qui offense la compréhension, très naturellement conforme lui-même tout le temps pour cette dominante caractéristique, et devient couramment irrationnel. Celui qui est contraint de défendre sa foi dans n'importe quelle particularité, par la supplication, que la raison humaine est ainsi dépravée par la chute, alors pour être un inadéquate juge de la religion, et que Dieu est honoré par notre réception de ce qui choque l'intellect, semble ne pas avoir de défense contre l'accumulation d'absurdités. Selon ces principes, le fanatique qui s'exclamait "je crois, parce que c'est impossible", serait un intitulé important pour canonisation. La raison est une divine faculté, pour être insultée avec impunité. Par conséquence, le Trinitarisme, comme nous l'avons vu se lie de lui-même avec plusieurs dégradantes erreurs, et sa plus naturelle alliance avec le Calvinisme, cette foi cruelle, qui, déshabillant Dieu de la pitié, et l'homme de la puissance, avait fait du Christianisme un instrument de torture pour le timide et un objet de doute ou de dédain pour les hardis esprits. Je le répète, une doctrine qui isole la raison autant que le Trinitarisme, prépare ses défenseurs, pour de pires en pires désillusions. Il démoli les distinctions et barrières entre vérité et fausseté. Il créé un aperçu malade pour prodiguer, fictions, et exagérations, pour démarrer des mystères, et pour de sauvages rêves d'enthousiasme. Il détruit l'aide pour la simple, chaste, sévère beauté de la vérité. Spécialement, quand la prostration de la compréhension est enseignée comme un acte de piété, nous ne pouvons pas nous étonner, que des grosses superstitions devraient être dévorées, et que la crédulité de la multitude devrait garder le pas avec la fausseté de l'imposture et du fanatisme. L'histoire de l'église est le meilleur commentaire sur les effets de la raison divorçant avec la religion, et si, le présent âge est perturbé de beaucoup pour, les suppositions sous lesquelles le Christianisme et la nature humaine qui gémissaient pendant des siècles, il doit son aide, non dans un petit degré pour le rétablissement de la raison dans sa longue violation des droits.
    La blessure pour la religion, des irrationnelles doctrines quand elles sont absolument crues, est immense. L'âme humaine a une unité. Ses différentes facultés sont adaptées pour l'une et l'autre. Une vie l'imprègne, et sa beauté, force, et croissante dépendance sur rien d'autant, comme sur l'harmonie et l'action jointe de tous ses principes. Pour la blesser et la dégrader dans une quelconque de ses puissances de la raison, et d'infliger sur elle une blessure universelle. Aucune notion n'est plus fausse, que c'est le cœur qui est pour pousser par écrasement l'intellect, ces doctrines déconcertantes sont la meilleure nourriture de la piété, cette religion fleurie plus luxuriante dans la brume et la noirceur. La raison était donnée de Dieu comme son grand objet, et pour lui, elle devrait être conservée avec sacralité, tonicité, clarté, protégée de l'usurpation humaine, et inspirée avec une docile auto révérence.
    L'âme n'a jamais d'acte aussi effectif et joyeux, alors, quand toutes ses puissances et affections y contribuent, alors, quand par la pensée et sentiments, la raison et sensibilité, sont appelés en avant ensemble par un grand un bienveillant sujet. Elle ne sera jamais dévouée d'elle-même pour Dieu avec toute son énergie, pour ses facultés de guidage voient en elle un être pour la choquer et la déconcerter. Nous voulons une harmonie dans notre nature interne. Nous voulons une piété, qui joindra la lumière avec la faveur, et sur qui l'intellectuelle puissance regardera favorablement. Nous voulons une religion pour être ainsi exhibée, que dans les éclairées moments pour l'intellect, ses signatures de vérité puissent croîtrent intelligemment, qu'à la place de chanceler, elle pourra recueillir force et stabilité des progrès de l'esprit humain. Ces désirs nous croyons être rassemblés par le Christianisme Unitarien, et cependant, nous les primons comme les meilleurs amis de la pitié. J'ai ainsi statué sur les principaux terrains, sur lesquels, je supporte la revendication de l'Unitarisme pour l'honneur de promouvoir une éclairée, profonde, et heureuse piété.

    Puis-je demander maintenant, pour quoi nous prisons notre système, et pourquoi nous construisons nos églises pour son inculcation ? Si je peux être autorisé moi-même dans le nom des consciencieux Unitariens qui appliquent leur doctrine pour leurs propres noms, cœurs, et vies, je voudrais répondre ainsi : Nous primons et souhaitons répandre nos vues, en raison que nous croyons quelles révèlent Dieu en nous, dans une grande gloire, et nous amènent près de lui, plus que n'importe quelles autres. Nous sommes conscient d'un profond désir, dont la création ne peut pas alimenter, la désir d'un être Parfait, sur qui la force de noter amour peut-être centrée, et pour un Tout Puissant Père, dans qui nos faiblesses, imperfections, et chagrins peuvent trouver ressource, et tel un Etre et Père, le Christianisme Unitarien le met devant nous. Pour ceci, nous le primons au dessus à tous prix. Nous pouvons partager avec tout autre bien. Nous pouvons endurer la noirceur, pour les perspectives justes de la vie. Mais cette éclatante, consolante doctrine du Dieu Un, toujours le Père, est plus chère que la vie, et nous ne pouvons pas la laisser aller. Par cette foi, toute chose croît éclairant pour notre vue. Nés pour un tel Parent, nous estimons notre existence un inestimable don. Nous rencontrons partout notre Père, et sa présence est comme un soleil sur notre sentier. Nous le voyons dans ses œuvres, et entendons sa prière s"élever de tout tâche que nous traitons, nous le ressentons prêt dans nos solitudes et parfois aimons communiquer avec lui plus tendrement que l'amitié humaine. Nous le voyons dans nos devoirs, et les rend performant plus de joie, en raison qu'ils sont le meilleur hommage que nous pouvons offrir à notre Merveilleux Bienfaiteur. Même la conscience du péché, triste comme elle est, ne doit pas être une subversion de notre paix, pour, dans la pitié de Dieu alors rendue manifeste en Jésus Christ, nous voyons une inexhaustible fontaine de force, pureté et pardon, pour tous qui, en filiale dépendance, regarde ces célestes dons.
    Par cette foi, nous sommes conscient d'une nouvelle bienveillance se répandant pour nos amies créatures, purifiée et plus développée que la naturelle affection. Envers toute l'humanité nous voyons un riche et libre amour circulant du commun Parent et, touché par cet amour, nous sommes les amis de tous. Nous compatissons avec le plus de culpabilité, et souhaiterions les gagner pour qu'ils reviennent à Dieu. Par cette foi, nous recevons le bonheur d'un toujours élargissant espoir. Il n'y a pas de bien aussi vaste pour nous pour anticiper pour l'univers et pour nous-mêmes d'un tel Père en qui nous croyons. J'espère de lui, que nous considérons son grand don, toujours le don de son propre Esprit, et le bonheur d'avancer toujours en vérité et vertu, en puissance et amour, en union de l'esprit avec le Père et le Fils.
    Nous sommes tenus, en effet, que notre foi ne prouvera pas être une ancre dans la dernière heure. Mais nous avons connu ceux, qui s'embarquaient avec elle, et l'avaient rendu plus clair, et notre expérience de sa puissance, dans l'épreuve et péril, l'avaient prouvé pour être égale pour tous les désirs de la nature humaine. Nous ne doutons pas que, pour ses sincères disciples, la mort sera une transition pour la calme pureté, joyeuses mentions, préparées par Christ pour ses disciples. Ici, nous comptons de rencontrer cette grande et bonne Délivrance. Avec les yeux de la foi, nous regardons déjà observant autour de lui avec un céleste amour sur tout pour tous les noms, qui ont absorbé son esprit. Son esprit, sa loyale et entière dévotion pour la volonté de Son Père Céleste, son univers, imprenable bienveillance, par qui il donne librement de son côté percé, son sang, sa vie pour le salut du Monde, ce divin amour, et nous les croyants, et noms, et formes, souhaitant alors être trouvés pour attirer son suprême regard. Cet esprit nous espérons le voir dans des multitudes de toutes sectes et noms, et nous espérons aussi, que ceux, qui maintenant nous reprochent, voudrons un jour reconnaîtrent, dans l'épouvantable unitarien, cette seule marque du Christ, et lui offrira la bienvenue pour la joie de notre commun Seigneur. J'ai ainsi établi les vues avec lesquelles nous avons élevé cette édifice. Nous désirons pour glorifier Dieu, de promouvoir une pure, noble et heureuse piété. Même, si nous nous trompons en doctrine, nous pensons que ces motivations devraient nous protéger du reproche, devraient désarmer cette intolérance, qui souhaiterait nous exclure de l'église sur terre, et de la maison de notre Père dans le ciel.

    Nous finissons, comme nous débutons, en offrant cet édifice pour le Seul Vivant Dieu. Nous l'avons érigé au milieu de nos habitations privées, comme un mémorial pour notre Créateur. Nous l'avons érigé dans cette ville animée, comme une retraite pour une pieuse méditation et prière. Nous le dédions pour le Roi et Père Eternel, le Roi des rois, le Seigneur de seigneurs. Nous le dédions à son unité, pour son indivisée et indivisible Majesté. Nous le dédions pour la prière de sa libre, imméritée grâce. Nous le dédions à Jésus Christ, en mémoire de son amour, pour la célébration de sa divine vertu, pour la prédication de cette vérité, dont il scelle avec le sang. Nous le dédions pour l'Esprit Saint, pour la sanctifiante influence de Dieu, pour ces célestes animations de lumières et forces, qui visitent et rénovent l'esprit dévoué. Nous le dédions au culte social, pour la pénétration Chrétienne, pour la communion des saints. Nous le dédions pour la cause des pures morales, de l'ordre publique, de la tempérance, de la droiture et générale bonne volonté. Nous le dédions pour la réprimande de Chrétienne pour ces avertissements, remontrances, et tendres et sérieuses persuasions, par qui le pécheur peut-être arrêté, et porter à revenir à Dieu. Nous le dédions pour la doctrine de l'immortalité, pour de sublimes et joyeux espoirs qui s'élèvent au-delà de la tombe. En un mot, nous le dédions pour le grand travail de perfection de l'âme humaine, et l'installons pour le rendre plus proche de son Auteur. Ici, le cœur peut rencontrer le cœur. Ici, l'homme peur rencontrer Dieu. De cet endroit, ils peuvent entendrent la chanson de la prière, l'attribution de la gratitude, le soupir de la pénitence, le prière pour la grâce, et la sainte résolution, monter en tant qu'encens parfumé vers le Ciel, et, pour beaucoup de générations, que les parents puissent léguer à leurs enfants cette maison, comme un endroit sacré, où Dieu a "levé sur eux sa face", et leur a donné des engagements de son amour éternel.
     



     Le Roux Didier

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