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Capito Wolfgang Fabricius
Capito Wolfgang Fabricius (1478-1541)
Dapito Wolfgang Fabricius est mentionné par les Pasteurs et les Anciens de Transylvanie, comme l'ami et collègue de travail de Cellarius, dans un livre "Sur la Divinité d'un Médiateur, l'Homme Christ Jésus."-"Fabricius Capito," ils disaient, "un homme autant distingué pour la piété que l'érudition, après avoir annoncé les talents mentaux supérieurs de son collègue de travail, Cellarius, et le caractère utile de ses traités [Sur les Oeuvres de Dieu], mentionne certains sujets religieux sur lesquels il avait eu quelques discussions privées avec Cellarius, tel comme la connaissance d'un Dieu Unique, et du Christ, le Saint esprit, &c."
Pour le Travail au dessus de Cellarius, publié en 8 vo. A Strasbourg, en 1527, un message préliminaire au lecteur, écrit par Capito, est préfixé, dans le quel il, par conséquent, s'exprimait lui-même comme une nature imparfaite, et une présence limitée pour la Réformation, dans laquelle ils étaient lui est son collègue de travail alors engagés. "Ce Livre de Cellarius, excellent comme il est, et le 'Mattieu' de Bucer, lequel précautionneusement enseigne beaucoup de choses au dessus de la capacité du vulgaire, aussi bien pour nos propres "Osée, Malachie, et Jonas,' dans lesquels, selon pour notre pauvre capacité, nous avons traité sur des matières relatives à Dieu et la vérité, dans une manière qui ne soit pas totalement différente du style de Cellarius; nos travaux, je dis, pourrirons et périront, dans le cours naturel des choses, avec nous leurs auteurs, et avec notre propre consentement. Ceci nous le connaissons, et écrivons par conséquent, mais seulement pour le but présent, jusqu'à ce que Dieu nous révèlera de grandes choses."
Capito est né à Haguenau, en Alsace, dans les environs de 1478, et recevait son éducation académique à Bâle. Il était porté pour les études de la physique, dans lesquelles il fut diplômé : mais après la mort de son père, dans les environ de 1504, il commençait à tourner son attention pour la Loi et la Théologie. La dernière de celle-ci, finalement il la choisissait comme sa profession.
Il a d'abord prêché à Spire, duquel lieu il était invité pour Bâle. L'Archevêque de Mentz, ayant entendu de ses grands mérites, l'appointait conne son Chancelier en 1520. Cette fonction il l'acceptait, avec la vue d'enrôler le clergé dans le service de la Réformation, et de mettre en avant le changement envisagé sans perturbation; et aussi longtemps qu'il entretenait n'importe quel espoir de réussi dans ses motifs louables, il faisait prévaloir sur Luther, non pour exaspérer les chefs du clergé par sa véhémence, dans l'espoir qu'il puisse être gagné au dessus de manières modérées. Mais quand il voyait les intérêts et l'ambition qui dominait avec l'Archevêque, il rejetait sa fonction, et quittait la cour, et se retirait à Strasbourg où il exerçait, durant le reste de sa vie, dans la fonction humble de Pasteur. Il tombait comme victime de la peste en 1541, ou 1542, à l'âge de soixante trois ans.
Capito supervisait la publication d'une édition en 8 volumes du Nouveau Testament Grec, qui était imprimé à Strasbourg, en 1524, par son cousin, Wolfgang Koephel; et lequel était remarquable pour son élégance et son exactitude. Ses principaux travaux été,
1. Institutions Hébraïques, en deux livres;
2. Commentaires sur Osée, Jonas, Habacuc et Malachie;
3. Une Vie de John Oecolampadius;
4. Un Traité sur la première formation d'un théologien; et
5. Sur les Six Jours de la Création.
Ses écrits publiés sont très rares, et non pour être présentés, exceptés pour les anciens, et mieux fournis en librairies. Il laissait derrière lui plusieurs manuscrits en allemand, et écrivait des Commentaires davantage sur les livres de l'Ecriture. Mais ceux-ci n'ont pas été publiés, et ont probablement depuis péris.
Il est représenté, par des écrivains contemporains, comme un Théologien enseigné et éloquent, et il est dit particulièrement pour avoir excellé comme un érudit en Hébreux. Melchior Adam le décrit comme un ami de littérature, et des institutions littéraires; un homme de talents admirables et jugement, et d'une grande tenue de principe religieux. Il demandait à Erasme de s'exprimer, et le blâmait de ne pas tenir une résistance courageuse contre les erreurs et les corruptions de ces jours. Sandius, non sans totalement de raison, lui assignait la première place dans son "Bibliotheca Antitrinitariorum."
didierLe Roux
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